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March 2o12

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Peut-on orienter l’épargne des Français vers la dette publique ? Comment UBS organise une fraude fiscale massive à partir de la France. C’est un livre explosif que publie aujourd’hui Antoine Peillon, grand reporter au journal La Croix.

Comment UBS organise une fraude fiscale massive à partir de la France

Bénéficiant d’informations de toute première main il montre comment la banque suisse UBS organise depuis la France un système massif d’évasion et de fraude fiscale vers les paradis fiscaux. A lire absolument. Afin de mettre en contexte les informations incroyables auxquelles il a eu accès, le journaliste a croisé différentes sources bien informées pour estimer à 590 milliards d’euros l’ensemble des avoirs français dissimulés dans les paradis fiscaux, dont 220 milliards appartenant aux Français les plus riches (le reste étant le fait des entreprises). Environ la moitié de ce total (108 milliards) seraient dissimulés en Suisse, la dernière décennie voyant fuir environ 2,5 milliards d’avoirs par an. La parabole des tuileries. A l’OCDE, je pense donc je fuis, par Pierre Rimbert. Le MES n'est pas un mécanisme de solidarité européen.

Le Monde.fr | | Par Claude Debons, Jacques Généreux, Janette Habel, Jean-Marie Harribey, Pierre Khalfa, Marie-Christine Vergiat et Francis Wurtz Dans un point de vue publié dans Le Monde du 25 février ("Mécanisme européen de stabilité : la bourde historique de la gauche"), des députés européens écologistes et des économistes proches d'eux s'en prennent à ceux qui, à gauche, se sont opposés au Mécanisme européen de stabilité (MES).

Le MES n'est pas un mécanisme de solidarité européen

A 75 % les riches partiront ? Mais qu’ils partent donc, ils ne nous manqueront pas.

A 75 % les riches partiront ?

Ils sont très remplaçables, leur fortune est inutile à l’économie, et elle est un trouble à l’ordre public. Ah oui : en partant, qu’ils n’oublient pas de déposer leur passeport à la porte. Vive la dépense publique ! Pourquoi je quitte Goldman Sachs. Un directeur général de la célèbre banque d'affaires américaine claque bruyamment la porte.

Pourquoi je quitte Goldman Sachs

Dans cette tribune virulente, il dénonce le fonctionnement “toxique et destructeur" d'un établissement qui ne pense qu'à plumer ses clients. Aujourd’hui [14 mars], c’est mon dernier jour chez Goldman Sachs. Après douze ans passés dans la société – d’abord comme stagiaire alors que j’étudiais à Stanford, puis à New York pendant dix ans, et maintenant à Londres –, je crois y avoir travaillé assez longtemps pour comprendre l’évolution de sa culture.

Et je peux dire en toute honnêteté que l’environnement y est désormais plus toxique et destructeur que jamais. Pour décrire le problème en termes simples, les intérêts du client continuent de passer au second plan dans la façon dont fonctionne la société. Le public, sceptique, en sera peut-être étonné, mais la culture était un élément essentiel du succès de Goldman Sachs. L’austérité à marche forcée... 10 choses que vous devez savoir sur le Pacte budgétaire. Le 1er mars 2012, 25 chefs d’État et de gouvernements ont signé un nouveau traité [1], qui devrait entrer en vigueur au début de l’année 2013. Ce Pacte budgétaire a été conçu dans l’urgence, et sous de très mauvais auspices : ses promoteurs avaient initialement prévu de l’adopter sous forme de modification des traités existants, mais le véto de la Grande-Bretagne, lors du Conseil européen du 9 décembre, les a obligés à créer un nouveau Traité ad hoc. Cette procédure permettait en outre une adoption plus « souple » et « simple », c’est-à-dire qu’elle garantissait moins d’« interférences » liées à tout débat public et démocratique, en adoptant un traité de l’Union européenne qui n’en était pas vraiment un.

La Grèce sous l’Occupation de l'oligarchie financière - Néo-totalitarisme. « On ne se bat pas seulement contre les mesures d’austérité imposées par l’Union européenne.

La Grèce sous l’Occupation de l'oligarchie financière - Néo-totalitarisme

C’est devenu une bataille pour la liberté et la démocratie », affirme Alexandros Frantzis. Ce biologiste fait partie des Indignés athéniens. Comme beaucoup de Grecs, il est révolté par les mesures imposées par la « troïka » (la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI) pour l’octroi de son nouveau plan de sauvetage, validé le 21 février. L'Ifi évalue à 1.000 milliards d'euros un défaut grec désordonné.

LONDRES (Reuters) - Un défaut non encadré de la Grèce causerait un préjudice dépassant les 1.000 milliards d'euros pour la zone euro et obligerait sans doute l'Espagne et l'Italie à recourir à des financements extérieurs pour éviter tout phénomène de contagion, estime l'Institut de la finance internationale (Ifi).

L'Ifi évalue à 1.000 milliards d'euros un défaut grec désordonné

L'Irlande et le Portugal, dépositaires comme la Grèce d'une aide internationale, auraient besoin, pour se prémunir de toute retombée d'un tel défaut grec, d'un nouveau coup de pouce financier estimé à 380 milliards d'euros sur cinq ans, ajoute l'Ifi, dans un document obtenu par Reuters. Pour la Commission européenne, le déficit budgétaire espagnol est grave. Et de trois : après la Bolivie et l'Équateur, le Venezuela quitte le CIRDI ! par Cecile LAMARQUE. Le CIRDI est un organe d’arbitrage créé en 1966 pour trancher les litiges entre les transnationales et les États.

Et de trois : après la Bolivie et l'Équateur, le Venezuela quitte le CIRDI ! par Cecile LAMARQUE

Aujourd’hui, 147 États reconnaissent sa compétence en cas de litige avec des transnationales. Le Venezuela a adhéré au CIRDI en 1993. Ce tribunal, qui est une composante du groupe Banque mondiale, est majoritairement saisi par les multinationales pour réclamer des indemnisations et compensations lorsque l’État prend des mesures qui « privent l’investisseur des bénéfices qu’il pourrait raisonnablement espérer » ou qui pourraient s’apparenter à une « expropriation indirecte ». Aveux difficiles des recours aux liquidités de la BCE en France. PARIS (Reuters) - A l'inverse de plusieurs de leurs consoeurs italiennes ou anglaises, les banques françaises rechignent à communiquer sur leur participation à la deuxième opération de refinancement à trois ans (LTRO) organisée mercredi par la Banque centrale européenne (BCE).

Aveux difficiles des recours aux liquidités de la BCE en France

Cette dernière a prêté près de 530 milliards d'euros aux banques, portant à plus de 1.000 milliards le montant global des capitaux prêtés à trois ans aux établissements financiers dans le but d'éviter un assèchement du crédit. Conjoncture : Euro : le ton monte entre la Bundesbank et la BCE. Si la zone euro devait s'effondrer, l'institution de Francfort craint de ne jamais revoir une partie de l'argent qui représente les créances de toutes les banques de la zone euro à son égard. 500 milliards d'euros font trembler la Bundesbank.

Conjoncture : Euro : le ton monte entre la Bundesbank et la BCE

Cette somme record représente les créances de toutes les banques de la zone euro à son égard, telles qu'elles apparaissent dans le système de paiement européen Target, qui relie entre eux l'ensemble des établissements financiers européens. Si la zone euro devait s'effondrer, l'institution de Francfort craint de ne jamais revoir une partie de cet argent. Et elle juge les 17 banques centrales de la zone euro, solidaires dans ce type d'éventualité, incapables de porter un tel fardeau. Le président de la Bundesbank, Jens Weidmann, s'en est ouvert auprès du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, dans une lettre qui -fort opportunément- a fuité cette semaine dans la presse allemande. Officiellement, M.

Le nouveau traité européen de discipline budgétaire adopté. Vingt-cinq pays de l'Union européenne ont signé ce vendredi lors d'un sommet à Bruxelles le nouveau traité instaurant plus de discipline budgétaire en Europe pour tirer les leçons de la crise de la dette qui a fait vaciller la zone euro.

Le nouveau traité européen de discipline budgétaire adopté

«C'est une étape importante pour renforcer la confiance dans notre union économique et monétaire», a estimé le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy, lors d'une cérémonie de signature à l'occasion d'un sommet à Bruxelles. Le bilan de la BCE va atteindre 32% du PIB de la zone euro.