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Économie de la contribution

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Les Héros du Web Episode #3 sur l'économie collaborative. C & F Éditions : Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser... Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser les connaissances au XXIe siècle.

C & F Éditions : Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser...

Fiche Libres savoirs, les biens communs de la connaissance. Auteur(s) du livre: Ouvrage collectif coordonné par VecamÉditeur: C&F Éditions978-2-915825-06-0Publié en 2011Première rédaction de cet article le 5 novembre 2011 Qu'est-ce qu'il y a de commun entre la paysanne mexicaine qui réclame de pouvoir faire pousser des semences de maïs de son choix, le parisien qui télécharge de manière nonhadopienne un film qu'il ne peut pas acheter légalement, la chercheuse états-unienne qui veut publier ses découvertes sans enrichir un parasite qui vendra très cher le journal scientifique, le programmeur brésilien qui développe du logiciel libre, et l'industriel indien qui veut fabriquer des médicaments moins chers ?

Fiche Libres savoirs, les biens communs de la connaissance

Tous veulent pouvoir utiliser librement le savoir issu des communs. Les communs, ce sont tous les biens, matériels ou intellectuels, qui n'ont pas été capturés par des intérêts privés et qui sont gérés ensemble. Prosommateur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Prosommateur

Prosommateur est un néologisme issu du terme anglais prosumer qui cherche à décrire les tendances qu'ont les consommateurs à se professionnaliser et s'approcher de la figure de producteur. Notamment par le biais de connaissances acquises grâce à un accès à l'information considérable (ce qui est d'autant plus vrai à l'ère numérique), et poursuivant certaines convictions d'ordre plus politique. Origine[modifier | modifier le code] Ce terme a été créé par la contraction des suivants : producer / professional et consumer. En français producteur / professionnel et consommateur donnant prosommateur. Inventé dès 1980 par Alvin Toffler, ce terme se trouve de plus en plus utilisé dans des publications scientifiques. Il est aussi utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution.

0 L’avènement du prosommateur. Le Prosommateur et la culture du Travail. Le Prosommateur et la culture du travail « L’essence des clubs de troc c’est la culture du travail (…) la finalité du troc ce n’est pas acheter et vendre mais produire » José Sandler (coordinateur du Globito Azul, Viedma- entretien TAOA du 23 Janvier 2011) « Dans un club de troc, il faut travailler » Beatriz Riveiro (coordinatrice du nodo Estrella, Buenos Aires – entretien TAOA du 05 Décembre 2010) « Le RGT est un réseau d’échanges de biens et services par et pour des gens qui croient que l’argent ne doit pas être la condition déterminant la vraie valeur d’une personne.

Le Prosommateur et la culture du Travail

Personne ne va nous sauver, sauf notre propre travail: le secret consiste à travailler et démontrer(prouver) – et se démontrer(se prouver) – que l’échange génère une valeur qui complète le système économique traditionnel». (extrait du paragraphe introduisant les 12 principes du RGT) Les ferias des clubs de troc ne sont pas un marché comme les autres où se rencontrent vendeurs et acheteurs. 1. 2. Vulgarisation web2.0 : le web des prosommateurs « Mglcel’s Weblog. “Information” et “Automatique” ont formés en 1967, après décision du Général De Gaulle, le mot ‘Informatique’ .

Vulgarisation web2.0 : le web des prosommateurs « Mglcel’s Weblog

Alvin Toffler, l’un des futurologues américains les plus célèbres de notre temps, inventa en 1980 le terme ‘Prosumer’, provenant de ‘producer’/’professional’ et de ‘consumer’, ce qui traduit en français à partir de ‘professionnel’/’producteur’ et ‘consommateur’ donne ‘prosommateur’. Wikipedia donne cette définition : Economie de la contribution et outils departage de connaissances, Freddy Limpens, Fabien Gandon. Groupe de travail sur l'économie de la contribution. Contribution à une nouvelle critique de l'économie politique - Bernard Stiegler. "Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite. Eco89 publie un extrait du nouveau livre de Chris Anderson, mode d’emploi du commerce à l’ère du tout numérique.

"Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali. Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler.

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali

Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo. Bernard Stiegler « Siné déblogue. La Zone de Siné Retrouvez sa dernière Zone » Stéphane Mazurier raconte… L'histoire (glaçante) de l'extrême droite française Le parti de Marine Le Pen pourrait devenir le premier parti de France aux élections européennes.

Bernard Stiegler « Siné déblogue

Face à cette perspective glaçante, il est plus que jamais nécessaire de rappeler l’histoire nauséabonde de l’extrême droite française. Lire l’article » Vidéos Le FN n’est pas d’extrême droite Voir la vidéo » Filoche sème son blog. Bernard Stiegler : “Il y a beaucoup d’inventions qui ne produisent aucune innovation” - Nouvelles technos. Constatant l'échec du consumérisme, le philosophe Bernard Stiegler soutient que seule l'intelligence collective permettra une économie innovante.

Bernard Stiegler : “Il y a beaucoup d’inventions qui ne produisent aucune innovation” - Nouvelles technos

Entretien, dans le cadre d’un “spécial innovation” que nous déclinerons jusqu’à ce week-end. C'est la bonne nouvelle de ces temps de crise, l'innovation innove ! Quelque chose semble mourir : le système capitaliste consumériste qui, à force d'avoir détourné le désir et la création en pulsions d'achat, a fabriqué des sociétés démotivées, autodestructrices. Mais quelque chose d'autre est en train de naître : une innovation non plus conçue par le haut, par des ingénieurs et du marketing, mais émergeant de réseaux, d'échanges de savoirs, d'amateurs passionnés.