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Collection 4 (accueillir des élèves ukrainiens)

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MEN. Accompagnement élèves ukrainiens. Académie de Rennes. Cellule Ukraine. CASNAV Strasbourg. Outils de positionnement, tests de compréhension. CASNAV Aix-Marseille. Ressources pour l'accueil des élèves ukrainiens. Académie de Nantes. Elèves allophones, enfants du voyage - Ressources pour l'accueil des élèves ukrainiens. Canopé. Guide pour la scolarisation des EANA. L’accès à la scolarité pour les enfants allophones nouvellement arrivés (EANA) constitue un enjeu fondamental de leur intégration au sein de la société française. L’objectif est de permettre à ces élèves d’acquérir le plus rapidement possible un usage de la langue française compatible avec les exigences des apprentissages en milieu scolaire.

Cet accès est favorisé si l’accueil, l’évaluation et l’inclusion sont facilités et suivent un cadre, aussi bien administratif que pédagogique, qu’il faudra adapter aux profils des élèves allophones accueillis. Ce guide pour la scolarisation des EANA et ses fiches-outils associées [zip / 2,4 Mo] ont pour objectif de diffuser des outils à l’ensemble de la communauté éducative : conseillers et formateurs Casnav, chefs d’établissement, inspecteurs, conseillers pédagogiques, enseignants en UPE2A (Unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants) ou autres dispositifs d’accompagnement linguistique, enseignants de terrain. Livret de communication français-ukrainien créé par un orthophoniste. Amandine M. Padlet de ressources par disciplines. Charivari. Accueillir un enfant qui ne parle pas français. De nombreux enfants ukrainiens sont accueillis en ce moment dans nos classes alors je partage avec vous ces petites cartes-mission que j’avais créées l’an dernier (2020) : J’avais accueilli dans ma classe de CM une élève espagnole qui ne parlait pas un mot de français.

J’avais préparé pour elle une trentaine de petites cartes de « compétences langagières » avec des petits objectifs accessibles à court terme. Avant l’arrivée de Sahar, j’avais distribué une carte à chacun de mes élèves. Je pensais n’en donner qu’aux volontaires, mais ils en ont tous voulu. C’était leur mission. Ils devaient aider leur nouvelle camarade à réussir ce qui était écrit sur la carte. Chaque élève avait un créneau de 15 minutes dans la semaine au cours duquel il pouvait travailler sa « mission » avec Sahar. C’est un dispositif simple à mettre en place, qui allège vraiment le quotidien de l’enseignant. J’espère que ce témoignage pourra vous aider.