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Dieu, pensée et possible réalité. Dieu, pensée et possible réalité La question de l'origine de l'univers permet à l'esprit humain d'interroger ses propres fondements: univers qui nous a faits, univers que nous avons observé pour apprendre, univers dont nous sommes partie intégrante. L'univers, c'est l'ensemble de ce qui existe, englobant l'espèce humaine elle-même. L'existence est un rapport à l'univers, une relation nécessaire. Sur l'origine, des réponses différentes ont été proposées, avancées: scientifiques, métaphysiques, mythologiques, surnaturelles, religieuses. Qu'est-ce que Dieu? Créer, c'est introduire un état de fait, observable, qui n'existait pas auparavant. Il y a de toute façon une dimension qui relève de la pensée dans l'idée de Dieu. Si on envisage maintenant la réalité comme une référence concrète et factuelle, sensorielle, référentielle, extérieure au discours, la réalité du divin demeure une affaire de croyance.

Le Dieu métaphysique, c'est l'Etre. 1 ; Connaissance de Dieu et philosophie. 2 : Connaissance de Dieu et philosophie. Le problème philosophique de l'existence de Dieu. Arguments sur l'existence de Dieu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au cours de l'histoire de la philosophie et de la théologie de nombreux arguments en faveur et en défaveur de l'existence de Dieu ont été émis.

Le Dieu dont il est question ici est ce que l'on nomme parfois le Dieu des philosophes, à savoir le Dieu des grandes religions du Livre (judaïsme, christianisme, islam), tel qu'il a été conceptualisé par les philosophes. Ses attributs sont d'être le créateur du monde, omniscient, omnipotent, omniprésent et bon. Cet article s'efforce de recenser les principaux arguments sur l'existence de Dieu, c'est-à-dire ceux ayant été les plus invoqués et discutés. Arguments pour l'existence de Dieu[modifier | modifier le code] Arguments métaphysiques et logiques[modifier | modifier le code] L'argument ontologique[modifier | modifier le code] Cet argument a été proposé à de multiples reprises, il peut se formuler sous la forme générale du syllogisme suivant : Histoire et variantes[modifier | modifier le code]

Incohérences de Dieu. (Cette section ne relève pas vraiment de la métaphysique : en effet on ne part pas d'une position sceptique qui essaierait de tout reconstruire. De toute façon, le scepticisme absolu est irréfutable, ne permet aucune démonstration et par conséquent limite l'intérêt d'une discussion sur l'existence de Dieu. On se place au contraire dans un cadre admettant l'existence du monde extérieur, la validité du raisonnement logique classique. On part aussi de la définition habituelle d'un Dieu omnipotent, intemporel et omniscient.) Classiquement, la preuve ontologique de l'existence de Dieu est souvent avancée, car elle fournit une réponse au problème de la cause du monde : chaque événement est causé par un'événement précédent, mais on ne peut pas remonter indéfiniment et il existe donc une cause première qui est aussi cause d'elle-même. Des critiques classiques de Dieu sont : si Dieu existe, pourquoi a-t-il créé le malheur ?

Voici quelques incohérences de Dieu classiquement relevées. Paradoxe de l'omnipotence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Averroès (1126 - 1198), un philosophe qui s'est intéressé au paradoxe de la toute-puissance, notamment dans le Tahafut al-Tahafut[1]. Le paradoxe de l'omnipotence, ou paradoxe de la toute-puissance est constitué d’une famille de paradoxes portant sur la définition de ce qu'un être tout-puissant est capable de faire ; la question cruciale étant de savoir si un être tout-puissant peut agir de façon à réduire sa propre capacité à accomplir n'importe quelle action. Si cet être peut agir de la sorte, il ne peut donc plus accomplir n'importe quelle action. S'il ne peut pas limiter le champ de ses actions, alors il ne peut pas accomplir n'importe quelle action. Ce paradoxe est souvent formulé au sujet du Dieu des religions abrahamiques, mais il pose une question d'ordre philosophique avant même de toucher à la religion.

Une étude rigoureuse du paradoxe de la toute-puissance implique en tout cas une définition précise de la toute-puissance. J. LE DIEU DES PHILOSOPHES. " Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en Esprit et en vérité ".( JEAN, IV, ) Toute pensée, toute réflexion, toute méditation, quel qu'en soit l'objet ou le terme, repose en définitive sur un principe logique qui est nécessaire et indéfectible : le principe d'identité, dont la formule s'exprime ainsi : l'être, est, le non-être n'est pas. Mais l'être peut être en soi et par soi en autre chose et par autre chose. Or tout être qui n'est pas en soi et par soi implique en dernière analyse, à la limite, un être en soi et par soi. Celui-ci est donc de la sorte, le seul être nécessaire. Que cet être, en soi et par soi, fondement nécessaire de toute existence et de toute réalité, est unique et, par suite, absolu, cela est évident ; car il ne serait pas possible de distinguer l'un de l'autre deux êtres qui seraient parallèlement en soi et par soi : leur identité résulterait de leur propre définition.

Dieu existe-il ? Planche 18 Quand la souffrance devient trop grande, croyant et même parfois non croyant, se tournent vers Dieu. Je ne peux pas parler de la moindre-souffrance sans parler un peu de Dieu. Mais existe-t-il ? « Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester, mais comprendre » nous enseigne Spinoza (1632/1677). La religion et la philosophie sont souvent séparées comme si elles étaient en concurrence l’une vis-à-vis de l’autre. Il n’est pas rare d’entendre des occidentaux dire du Bouddhisme que cela n’est pas une religion mais une philosophie.

Peut-on parler de Dieu en philosophie ou est-il réservé aux religions ? Doit-on être athée pour philosopher ? Dieu existe-il ? La réponse à cette question est-elle si déterminante pour la suite de notre vie ? La religion est-elle nécessaire ou dommageable ? A toutes ces questions, nous ne pouvons pas faire l’économie de chercher des réponses dans cet échafaudage. Comme agnostique, sur la question « Dieu existe-t-il ?

Des hypothèses j’en vois quatre : Peut-on se représenter Dieu ? Comment l’homme, en particulier les chrétiens, se représentent-ils traditionnellement Dieu ? Comment pourrions-nous décrire le Dieu de la Bible ? On s’imagine souvent Dieu comme un homme parfait ayant un champ d’action illimité dans le temps et dans l’espace. On pense que Dieu est semblable à un homme, parce que l’homme a été créé à son image (Genèse 1.27). Comme l’homme, Dieu aurait des yeux, des oreilles, des bras, des mains, etc. Néanmoins, à la différence de l’homme, Dieu ne connait ni la naissance ni la mort, mais il vit perpétuellement.

Cette représentation de Dieu, du Dieu de la Bible plus exactement, n’est-elle pas naïve ? Il n’y a qu’un seul Dieu, mais il est décrit différemment selon que l’on se place du point de vue du philosophe ou de « l’homme de la rue ». Les deux discours sur Dieu (du point de vue de l’éternité ou de la temporalité) sont-ils équivalents ? Non, les deux discours ne sont pas équivalents. Dieu n’est dépendant ni de l’espace ni de temps. Dieu et le mal. « Pourquoi existe-t-il tant de mal, tout étant formé par un Dieu que tous les théistes se sont accordés à nommer bon (2) ? » Comme François-Marie Arouet, dit Voltaire, que nous soyons croyants ou non, nous nous sommes certainement déjà posés au moins une fois cette question... que nous avons laissée également sans réponse !

Comment en effet concilier le mal et la souffrance qui en découle avec la bonté de Dieu ? Henri Blocher reconnaît que « l'énigme du mal est le seul mystère opaque de l'Écriture (3) ». Combien de penseurs et théologiens ont essayé – en vain – d'appréhender le problème du mal pour finalement admettre son incompréhensibilité ! Bien évidemment, il n'est donc pas question ici d'apporter une réponse véritable à cette énigme. Tout au plus, à travers sa Parole, nous chercherons simplement à mieux connaître Dieu. Cependant, au préalable nous tirerons profit de l'approche philosophique de ce problème. La théodicée Avant tout, un Dieu d'amour qui souffre avec nous.