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Hollywood enterre une étude qui démontre que les pirates sont de bons clients. Régulièrement, depuis une décennie, l'industrie culturelle répète à l'envi ce qui semble logique au quidam : pirater c'est voler.

Hollywood enterre une étude qui démontre que les pirates sont de bons clients

"Sans Hadopi, pas de Emma Leprince en 2021", dit la pub. "Le piratage nuit à la création artistique", répètent les FAI dans leurs contrats d'abonnement, comme le leur impose la loi. Mais est-ce bien vrai ? Les études ne manquent pas pour mettre en doute ces affirmations, y compris en France, que ce soit avec les travaux de l'Université de Rennes (complétés l'an dernier) ou ceux du chercheur Patrick Waelbroeck, recruté par l'Hadopi. Cette dernière avait elle-même découvert, dans son étude livrée en janvier dernier, que "les internautes déclarant un usage illicite ont une dépense (de biens culturels) légèrement supérieure à la moyenne", et qu'ils "sont moins nombreux que la moyenne à déclarer " aucune dépense "".

En juin dernier, les autorités allemandes avaient fait fermer le site Kino.to, qui référençait des liens permettait de voir des films en streaming. Etude_hadopi_jan11_p45.pdf - Powered by Google Docs. « Ils voulaient juste surfer peinards sans qu'on les plombe de mouchards » 03/11 > BE Etats-Unis 239 > Apprentissage en ligne et établissements d'enseignement supérieur à but lucratif : une relation intime frisant l'indécence financière ? UniversitésApprentissage en ligne et établissements d'enseignement supérieur à but lucratif : une relation intime frisant l'indécence financière ?

03/11 > BE Etats-Unis 239 > Apprentissage en ligne et établissements d'enseignement supérieur à but lucratif : une relation intime frisant l'indécence financière ?

Imaginez un futur proche où l'université serait virtuelle, les enseignants des écrans, et l'étudiant un cybernomade. Non, il ne s'agit pas d'un décor de science-fiction accouché par l'imagination fertile d'Aldous Huxley, d'Isaac Asimov ou de Dan Simons mais d'une projection mentale issue d'une conversation ayant impliqué l'un des trois cofondateurs d'Apple : Stephen Gary Wozniak. Le "magicien Woz" s'est confié : "Ne peut-on imaginer qu'un ordinateur devienne un enseignant ? L'informatique mobile avec des applications telles que l'iPhone et l'iPad ont déjà changé notre univers de manière radicale.

" [1] Parole de prophète représentant des intérêts privés au royaume de l'intérêt public (l'éducation) ? Aux Etats-Unis, les grands esprits ET les grands intérêts se rencontrent. Quand Calysto passe au lycée, les élèves se demandent s'il ne faut pas arrêter Internet ! Il est des billets que l’on n’aime pas avoir à publier.

Quand Calysto passe au lycée, les élèves se demandent s'il ne faut pas arrêter Internet !

Celui-ci en fait clairement partie tant il m’irrite au plus haut point ! Il illustre malheureusement une nouvelle fois l’incapacité chronique de l’école à comprendre et former aux nouvelles technologies et aux enjeux de demain. C’est donc l’histoire d’un lycée qui souhaite organiser une journée de sensibilisation sur le thème « Réseaux sociaux, gérer son identité numérique ». Louable intention s’il en est. Et l’on imagine fort bien que derrière ce titre se cache l’ombre de Facebook, devenu effectivement omniprésent chez les ados avec toutes les questions et conséquences que cela implique[1] Soit, les enseignants ne sont pas tous des spécialistes du numérique, mais il doit bien y avoir dans une équipe pédagogique quelques compétences en la matière.

Calysto se définit comme « une agence qui concentre son activité dans la maîtrise des enjeux liés aux usages de l’Internet et aux Technologies de l’Information et de la Communication ». Prévention Internet au lycée: l’imposture » Article » OWNI, Digital Journalism. Un professeur a assisté à une formation assurée par la société Calysto dans un lycée.

Prévention Internet au lycée: l’imposture » Article » OWNI, Digital Journalism

Si, sur le papier, tout paraissait idyllique, la réalité l'était un peu moins. Récit d'un prof atterré. Il est des billets que l’on n’aime pas avoir à publier. Celui-ci en fait clairement partie tant il m’irrite au plus haut point ! Il illustre malheureusement une nouvelle fois l’incapacité chronique de l’école à comprendre et former aux nouvelles technologies et aux enjeux de demain. C’est donc l’histoire d’un lycée qui souhaite organiser une journée de sensibilisation sur le thème « Réseaux sociaux, gérer son identité numérique ».

Soit, les enseignants ne sont pas tous des spécialistes du numérique, mais il doit bien y avoir dans une équipe pédagogique quelques compétences en la matière. Calysto se définit comme « une agence qui concentre son activité dans la maîtrise des enjeux liés aux usages de l’internet et aux Technologies de l’Information et de la Communication ». Sur le web, grand succès.