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Quand Calysto passe au lycée, les élèves se demandent s'il ne faut pas arrêter Internet !

Quand Calysto passe au lycée, les élèves se demandent s'il ne faut pas arrêter Internet !
Il est des billets que l’on n’aime pas avoir à publier. Celui-ci en fait clairement partie tant il m’irrite au plus haut point ! Il illustre malheureusement une nouvelle fois l’incapacité chronique de l’école à comprendre et former aux nouvelles technologies et aux enjeux de demain. C’est donc l’histoire d’un lycée qui souhaite organiser une journée de sensibilisation sur le thème « Réseaux sociaux, gérer son identité numérique ». Soit, les enseignants ne sont pas tous des spécialistes du numérique, mais il doit bien y avoir dans une équipe pédagogique quelques compétences en la matière. Calysto se définit comme « une agence qui concentre son activité dans la maîtrise des enjeux liés aux usages de l’Internet et aux Technologies de l’Information et de la Communication ». Voici la page de présentation de l’offre pour le lycée, sachant qu’il en coûtera à l’établissement (et donc au contribuable) 376 euros par jour. Cet extrait anxiogène n’est qu’un avant-goût de ce qui va suivre.

» Le portrait officiel de François Hollande décrypté Le portrait officiel de François Hollande, signé Raymond Depardon, a été dévoilé ce lundi. Il donne déjà lieu à des dizaines de parodies. François Hollande pose à l'ombre des arbres des jardins de l’Élysée où des drapeaux français et européen ont été dressés le long des bâtiments, en second plan. "Cette photo est en résonance avec l’image d’un président normal, accessible, ouvert au monde, qu’a voulu donner de lui François Hollande pendant toute la campagne", estime Amélie Dalmazzo, sémiologue et docteur en communication. Cette spécialiste de l’image des hommes politiques décrypte pour nous les 10 points clés de cette photo. Passez votre curseur de souris sur les balises pour afficher l'explication. Portrait officiel de François Hollande. © Raymond Depardon / Élysée. Comment a été fabriqué cet article ? Ils ont amélioré la réponse

Prévention Internet au lycée: l’imposture » Article » OWNI, Digital Journalism Un professeur a assisté à une formation assurée par la société Calysto dans un lycée. Si, sur le papier, tout paraissait idyllique, la réalité l'était un peu moins. Récit d'un prof atterré. Il est des billets que l’on n’aime pas avoir à publier. Celui-ci en fait clairement partie tant il m’irrite au plus haut point ! Il illustre malheureusement une nouvelle fois l’incapacité chronique de l’école à comprendre et former aux nouvelles technologies et aux enjeux de demain. C’est donc l’histoire d’un lycée qui souhaite organiser une journée de sensibilisation sur le thème « Réseaux sociaux, gérer son identité numérique ». Soit, les enseignants ne sont pas tous des spécialistes du numérique, mais il doit bien y avoir dans une équipe pédagogique quelques compétences en la matière. Calysto se définit comme « une agence qui concentre son activité dans la maîtrise des enjeux liés aux usages de l’internet et aux Technologies de l’Information et de la Communication ». Sur le web, grand succès.

Vidéo en classe et droit le plan : Historique récent La philosophie générale Quelques rappels de base : CPI et droits d’auteurs Utiliser les œuvres de la télévision Utiliser les œuvres libres de droit Utiliser les œuvres du commerce Œuvres dans le cadre de conférences et concours Utiliser les œuvres issues d’Internet Rappel du cadre général Sources Historique récent En janvier 2005 une déclaration commune entre le MEN et les éditeurs a été prononcée à propos des usages des œuvres protégées par des droits d’auteur. Conclusion : nous avons donc une loi (la DADVSI) et un accord entre le MEN et les société SACEM et PROCIREP qui, depuis janvier 2009. définissent le cadre d’usage des matériaux filmiques en classe. La philosophie générale Il est intéressant de reproduire l’alinéa 3 du préambule de l’accord paru au Bo du 4 février 2010 qui montre assez bien l’état d’esprit de notre institution vis à vis de l’œuvre cinématographique en classe : Quelques rappels de base : CPI et droits d’auteurs Le droit d’auteur, c’est quoi ? Contrôle

03/11 > BE Etats-Unis 239 > Apprentissage en ligne et établissements d'enseignement supérieur à but lucratif : une relation intime frisant l'indécence financière ? UniversitésApprentissage en ligne et établissements d'enseignement supérieur à but lucratif : une relation intime frisant l'indécence financière ? Imaginez un futur proche où l'université serait virtuelle, les enseignants des écrans, et l'étudiant un cybernomade. Non, il ne s'agit pas d'un décor de science-fiction accouché par l'imagination fertile d'Aldous Huxley, d'Isaac Asimov ou de Dan Simons mais d'une projection mentale issue d'une conversation ayant impliqué l'un des trois cofondateurs d'Apple : Stephen Gary Wozniak. Le secteur de l'enseignement supérieur y est - pour beaucoup - très rémunérateur, avec pas moins de 3.000 établissements à but lucratif ("for-profit-colleges") qui n'ont cessé de se développer au cours des dernières décennies. Apprentissage en ligne et développement des établissements à but lucratif aux Etats-Unis : en route vers une nouvelle ère de l'éducation tertiaire ?

Hollywood enterre une étude qui démontre que les pirates sont de bons clients Régulièrement, depuis une décennie, l'industrie culturelle répète à l'envi ce qui semble logique au quidam : pirater c'est voler. "Sans Hadopi, pas de Emma Leprince en 2021", dit la pub. "Le piratage nuit à la création artistique", répètent les FAI dans leurs contrats d'abonnement, comme le leur impose la loi. Mais est-ce bien vrai ? Les études ne manquent pas pour mettre en doute ces affirmations, y compris en France, que ce soit avec les travaux de l'Université de Rennes (complétés l'an dernier) ou ceux du chercheur Patrick Waelbroeck, recruté par l'Hadopi. Cette dernière avait elle-même découvert, dans son étude livrée en janvier dernier, que "les internautes déclarant un usage illicite ont une dépense (de biens culturels) légèrement supérieure à la moyenne", et qu'ils "sont moins nombreux que la moyenne à déclarer " aucune dépense "". En juin dernier, les autorités allemandes avaient fait fermer le site Kino.to, qui référençait des liens permettait de voir des films en streaming.

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