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Cour de France

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Les cours aristocratiques et leur rôle dans le système curial princier. La cour et la ville au XVIIIe siècle. J'aimerai traiter avec vous d'un aspect de société que l'on a je crois peu aborder (mais peut être je me trompe ) Ainsi, quatre lieues seulement séparent Versailles de Paris, deux heures suffisent à les parcourir. Au siècle de Louis XV, l'installation à proximité du château des ministères de la guerre, de la marine et des affaires étrangères, et la construction à Paris d'hôtels aristocratiques accentuent la séparation entre la demeure royale et la ville.

Société de cour et élites parisiennes ne sont cependant pas étrangères l'une de l'autre. Leurs différences de sensibilité et de goût s'estompent. Au XVIII siècle, Versailles n'est plus la patrie des courtisans, mais une étape, un lieu de passage. L'abandon du château sous la Régence, les fréquentes évasions de Louis XV et les escapades de Marie-Antoinette ont découragé l'assiduité des gens de cour, conquis en revanche par les tourbillons de la capitale.

Aussi, influencée je l'avoue par un autre récent sujets sur la BD. Etiquette de la Cour. Je peux vous aider (assez vaguement, mais j'espère que cela suffira) pour les emplois du temps des souverains, d'après ce que j'ai pu trouver sur internet : Une journée du Roi : (je mets le lien parcequ'il y a plusieurs pages) Une journée de la Reine (basée sur Marie-Leczinska, épouse de Louis XV : Les journées de la souveraine se déroulent selon les règles de l’Etiquette.

Comme le Roi, elle dispose de deux appartements. Le Grand Appartement est le centre de sa vie officielle. Les Cabinets intérieurs sont réservés à sa vie privée. La matinée8h Lever. L’après-midiAprès un moment de repos, la Reine peint, lit, ou fait de la musique : elle joue du clavecin, de la vielle et de la guitare (Cabinets intérieurs de la Reine). La soirée20h Souper. J'espère que cela vous aura un peu aidé ; d'après ce que j'ai pu lire l'Etiquette a assez peu changé entre Louis XIV et Louis XVI, dumoins dans le déroulement de la journée... Maison du Roi Louis XVI et de la Reine Marie-Antoinette. La Cour de France au XVIIIème siècle. D'aprés ce que j'ai lu, la cour de France à la fin de l'ancien régime était assez desertée. Cette thése est-elle crédible ? Je me suis posé à maintes fois la question et cet aspect, à mon sens doit etre revu et corrigé. Certes, la cour de Louis XVI en 1789 n'était pas celle de Louis XIV en 1700.

Je suis d'accord sur ce point. Elle était moins nombreuse et son attrait n'était plus le meme que sous le roi-soleil. Il est cependant utile d'en expliquer les causes pour connaitre le fond de ce problème : la vie de cour était considérée comme surannée à la veille de la révolution -toutes les autres cours d'Europe en avaient modernisé les usages et les règles d'admission étaient moins contraignantes, bien que toutes ces cours en avaient longtemps imité le modèle, le chateau royal de Versailles meme...-. Par ailleurs, Louis XVI et Marie-Antoinette n'aimaient pas la vie de cour, ils la trouvaient contraigante, et n'aimaient pas la vie de représentation qu'était le siège du pouvoir. Histoire du maquillage : l'art de se farder sous Marie-Antoinette. Le blanc et le rouge sont les couleurs dominantes, les plus grands noms de la noblesse ressemblent à des poupées fardées, en effet, au XVIIIe s, la femme admise à Versailles, se doit d'avoir le teint livide, obtenu par le blanc de céruse (ou oxyde de plomb).

Il sert à lisser la peau, souvent très abimée par la petite vérole, et marque surtout le rang auquel elle appartient. Les lèvres sont peintes en rouge vermillon et les pommettes rehaussées, parfois, d'un voile rosé, le plus souvent, d'un rouge franc.Viennent ensuite, les mouches, ces morceaux de tissu en toile, de différentes formes, posées un peu partout sur le visage et le corps. Marie-Antoinette intervient... Malheureusement, certains de ces produits, indépendamment de leur prix élevé, sont extrêmement nocifs puisque à base de plomb ou d'arsenic. Malgré cela, des femmes n'hésitent pas à manger des tablettes d'arsenic qui les anémient et leur donnent la pâleur tant recherchée.

Des recettes pour le moins surprenantes… Lien. Us et coutumes à la cour de Versailles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'étiquette versaillaise a perduré jusqu'à la fin du règne du roi Louis XVI. Appréciation[modifier | modifier le code] " "L'Europe a dû sa politesse et l'esprit de sa société à la Cour de Louis XIV. " (Voltaire)"[1] La journée du roi Louis XIV[modifier | modifier le code] « Avec un almanach et une montre, on pouvait à trois cents lieues d’ici dire ce qu’il faisait » (Saint-Simon). Le petit lever[modifier | modifier le code] 8 h : Heure du petit lever, le premier valet, qui a passé la nuit au pied du baldaquin du roi sur un lit d'appoint, s’approche de celui-ci et murmure : « Sire voilà l’heure ».

Le grand lever[modifier | modifier le code] Le déjeuner[modifier | modifier le code] 9 h : le Roi prenait le déjeuner : deux tasses de tisane ou de bouillon. Occupation de la journée[modifier | modifier le code] Dans la galerie des glaces, en 1685. La journée du roi Louis XV[modifier | modifier le code] La journée du roi Louis XVI[modifier | modifier le code] Étiquette de la cour de France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'étiquette est l'ensemble des règles qui organisent la vie de la famille royale, des courtisans et du personnel qui les entoure. L'étiquette s'occupe donc de la « vie privée » (bien que continuellement en public) du monarque ; la vie publique du roi (celle des cérémonies d'État) relève du cérémonial.

En France, l'étiquette s'est développée à partir du règne du roi François Ier et connut son apogée et sa forme la plus codifiée et la plus rigide d'Europe sous le règne du roi Louis XIV[1] [2]. L'étiquette participe au culte monarchique. Elle permet au roi de manifester sa distinction[3], sa satisfaction ou son mécontentement vis-à-vis des courtisans à qui il procure ou retire l'honneur de le servir de près. Elle permet aussi aux courtisans de s'affirmer, de marquer leur place (quelquefois provisoire) face à la concurrence des autres membres de la cour.

L'étiquette sous le règne du roi Francois Ier[modifier | modifier le code] ↑ G. La Cour - Napoléon III. Cour de France.fr.