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1951 AIPAC lobby zionist US

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INITIALEMENT NOMMÉ PAR SON FONDATEUR, ISAIAH LEO "SI" KENEN (1905–1988),
THE AMERICAN ZIONIST COMMITTEE FOR PUBLIC AFFAIRS (AZCPA).

American Israel Public Affairs Committee. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'AIPAC s'appuie sur un réseau de plus de soixante-dix organisations qui lui sont affiliées, dont les représentants siègent à son comité directeur. L'AIPAC, recensé comme « groupe de pression » ou « lobby », est une organisation possédant une certaine influence sur les décisions gouvernementales de politique étrangère relatives au Proche-Orient, et possède un champ d'action extrêmement large. L'AIPAC est décrit par le New York Times comme le « groupe d'intérêt général le plus influent affectant les relations des États-Unis avec Israël »[2] et par Shirelle Phelps et Jeffrey Lehman comme un groupe de plaidoyer national[3].

Histoire[modifier | modifier le code] L'association a été fondée en 1951 par Isaïe L. Kenen. En 2006, la publication par deux professeurs d'université américains Stephen Walt (Harvard) et John Mearsheimer (université de Chicago) d'un article, puis d'un livre sur le lobby pro-israélien aux États-Unis fait scandale[4]. Fondé par Isaiah L. Kenen. Isaiah Leo "Si" Kenen (1905–1988) was the founder of the American Zionist Committee for Public Affairs (AZCPA), the forerunner of the modern American Israel Public Affairs Committee (AIPAC).[1] Kenen was born in Canada on March 7, 1905. His father, born in Kiev, was an insurance agent. His family was active in the Zionist movement and his father established the first Bnei Zion club in Toronto and attended the first meetings of the World Zionist Congress. Kenen studied at the University of Toronto and majored in philosophy.

He married Beatrice Bain, who was also a student at the University of Toronto. They had one son, Peter, who was a professor of economics at Princeton University. Kenen started working as a journalist at the Toronto Star and moved to Cleveland, Ohio in 1926.[2] He studied law and was admitted to the Ohio Bar Association in 1933. "Our Jewish community faced a challenge in 1942. Regarding the establishment of AIPAC he wrote: References[edit] Bibliography[edit] Membre parti communiste de Cleveland en 1939. Newly-released classified documents from the Federal Bureau of Investigation (FBI) have revealed that the founder of the biggest Zionist lobby in America, AIPAC, was also a member of the US Communist Party. AIPAC was founded in 1951 by Isaiah Leo Kenen. The FBI documents, available to download in full here, revealed that he was a member of the Cleveland unit of the Communist Party (CPUSA) in 1939. Kenen, who died in 1988, relied upon a long association with Jewish political organizations to found the committee in 1954.

The committee has been instrumental in assuring that Israel receives more military and economic aid from the United States than any other country. Kenan began his efforts on behalf of eretz Israel in earnest when he moved to New York in 1943 and became the director of the American Emergency Committee on Zionist Affairs and later was a member of the first Israeli delegation to the United Nations. §. Comment fonctionne le lobby zionist US. Israël/Etats-Unis : Qui est le maître ? De Comaguer Le récent déchaînement militaire d’Israël contre la Liban et Gaza et le soutien total du gouvernement et du Congrès des Etats-Unis à ces actions ont donné un surcroît d’actualité à un débat déjà ancien sur les rapports entre les deux pays.

Ce débat met face à face deux thèses. La première qu’on peut qualifier de thèse “impérialiste classique” consiste à dire que l’impérialisme dominant (les USA) disposent avec Israël d’un bras armé régional pour l’exécution de leur politique de domination et de transformation du Proche et du Moyen- Orient à leur profit. La seconde renverse la perspective et considère que le sionisme est politiquement déterminant et que, au moins au Proche et au Moyen-Orient voire dans l’ensemble du monde musulman, les Etats-Unis sont, malgré quelques hésitations tactiques ou divergences momentanées des exécutants de la politique expansionniste de l’Etat sioniste. rapport démographique (population) : 50 contre 1.

Zionism & Israel On The Web. Kennedy & l'AIPAC. Il y a exactement cinquante ans se jouait un épisode déterminant dans l'histoire de la « démocratie états-unienne » ; une lutte épique dont le dénouement engagea l'avenir du monde entier. Laurent Guyénot nous en rappelle l'enjeu.Kennedy et l'AIPAC En mai 1963, le Foreign Relations Committee du Sénat des États-Unis ouvrait une enquête sur les opérations clandestines d'agents étrangers sur le sol américain, visant particulièrement l'American Zionist Council et la Jewish Agency for Israel [1] . Cette tentative de contrer le parasitage grandissant de la politique états-unienne par Israël recevait l'appui du président, bien entendu.

À l'époque où il n'était encore qu'un jeune journaliste couvrant la conférence inaugurale des Nations Unies, John Kennedy avait été troublé par la capacité d'Israël d'acheter des politiciens, et jusqu'au président lui-même. Kennedy, la bombe et Dimona © InconnuJFK et « John-John » à la Maison Blanche © InconnuMordechai Vanunu Johnson et le USS Liberty Notes. 2004 Enquête AIPAC pour espionnage. Eux ou Nous Le Procès de l'Aipac par James Petras CounterPunch, traduit de l'anglais par Jean-François Goulon Août 2004 : le FBI et le bureau de contre-espionnage du Ministère de la Justice des Etats-Unis annoncent qu'ils enquêtent sur un analyste de haut rang du Pentagone, Larry Franklin. Celui-ci est suspecté d'espionnage au profit d'Israël et d'avoir remis à l'AIPAC des documents hautement confidentiels sur la politique américaine vis-à-vis de l'Iran.

À Washington, l'enquête du FBI sur ce réseau d'espionnage s'est renforcée et a conduit à l'interrogatoire de deux membres de haut rang du Bureau des Plans Spéciaux (Office of Special Plans — OSP), dirigé par Douglas Feith : William Luti et Harold Rhode. Janvier 2005 : Un grand jury est convoqué. "Tout le monde" qui est impliqué dans l'exploitation de la richesse, de la puissance et des forces militaires des Etats-Unis pour servir les intérêts expansionnistes d'Israël. 1 Voir Qui est Michael Ledeen ?

Sources : Questions critiques. José Rosenberg balance. 2010 l'AIPAC achèterait les membres du Congrès. L’affaire d’espionnage contre deux hauts responsables d’AIPAC le Lobby Sioniste à Washington DC a été enterrée l’année dernière probablement suite à des pressions politiques. Mais cette affaire risque de resurgir au grand jour avec des détails pour le moins corsés car l’un des deux ex employés d’AIPAC, Steve Rosen, a décidé d’engager des poursuites judiciaires contre son ex employeur AIPAC qu’il accuse de l’avoir diffamé. Selon le quotidien juif américain Forward les documents remis dans le cadre de ces poursuites judiciaires incluent des accusations mutuelles de pornographie aux bureaux du Lobby sioniste.

Les documents font référence à des détails très précis de la vie intime des parties impliquées. Ils révèlent aussi les liens étroits entretenus entre les responsables d’AIPAC et les diplomates israéliens basés à Washington. 2011 Friends of Israel. AIPAC Un oeil sur la planète. 2013 l'AIPAC qualifie ASSAD de barbare. The powerful pro-Israel lobby AIPAC is planning to launch a major lobbying campaign to push wayward lawmakers to back the resolution authorizing U.S. strikes against Syria, sources said Thursday. Officials say that some 250 Jewish leaders and AIPAC activists will storm the halls on Capitol Hill beginning next week to persuade lawmakers that Congress must adopt the resolution or risk emboldening Iran’s efforts to build a nuclear weapon. They are expected to lobby virtually every member of Congress, arguing that “barbarism” by the Assad regime cannot be tolerated, and that failing to act would “send a message” to Tehran that the U.S. won’t stand up to hostile countries’ efforts to develop weapons of mass destruction, according to a source with the group.

Story Continued Below “History tells us that ambiguity [in U.S. actions] invites aggression,” said the AIPAC source who asked not to be named. . ( PHOTOS: Syria: Where politicians stand) ( WATCH: Timeline of Syria crisis response) 04/09/2013 Propagande US pour intervention armée de la coalition en Syrie. Mouaz Moustafa Directeur executif *** in the USA. Primaires US 2016 grand oral de Clinton & Trump. Mots-clés : Aipac, Clinton, élection, États-Unis, Lobby, présidentielle Dans la dernière ligne droite des primaires à la Maison-Blanche 2016, les deux principaux candidats ont passé leur grand oral, ce lundi 21 mars, devant le lobby sioniste américain : l’AIPAC. À ce petit jeu, Donald Trump a remporté, haut la main, la palme d’or des promesses aussi démagogiques que dangereuses : il a été particulièrement applaudi lorsqu’il a brisé un tabou sur le conflit israélo-palestinien en s’engageant, s’il est élu, à reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État hébreu et à transférer l’ambassade américaine de Tel Aviv à la Ville sainte !

« Quand je serai président, il en sera fini des jours où l’on traitait Israël comme un citoyen de seconde zone», a promis le milliardaire, originaire de New York où résident de très nombreux juifs américains. Avec ce genre de promesses, welcome to the third world war… L'AIPAC vu de l’intérieur. Retirer Israël de la politique américaine. Préambule Ce qui suit est une version légèrement révisée d’une conférence que j’ai donnée le 1er mars à Washington, durant les manifestations contre l’AIPAC et la visite de Netanyahou.

Deux jours plus tard, le producteur de Hollywood Arnon Milchan, que je cite ci-dessous, était assis au balcon de la maison des VIP, rayonnant, comme s’il assistait à la lune de miel de Netanyahou avec le Congrès. Ce pourrait être la première fois qu’un agent clandestin, au service d’un pays étranger qui a espionné les Etats-Unis, a été autant honoré. Mais je ferais observer que l’événement a été doublement significatif, du fait que l’orateur, le Premier ministre Netanyahou, a également été impliqué dans le vol de la technologie nucléaire américaine. Philippe Giraldi J’aimerais me concentrer sur deux questions. Beaucoup de gens seraient d’accord avec ce que je viens d’observer, mais peu reconnaissent le rôle de la relation spéciale avec Israël dans l’élaboration de ce que les Etats-Unis sont devenus.