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L'actualité de ce début 2013 est marquée par un regain de tension entre la Corée du Nord et ses voisins - Corée du Sud, Japon, Chine.

Les Etats-Unis étant des alliés stratégiques du Japon et de la Corée du Sud, et des concurrents à l'extension de l'influence chinoise en Asie-Pacifique, ils ne peuvent rester neutres et surveillent très étroitement les déclarations et les mouvements de Kim Jong-Un. L'ombre d'un conflit ouvert plane sur la région... Corées: reprise fragile des contacts entre le Nord et le Sud - Flash actualité - Monde - 07/06/2013. Le Parisien | 07 Juin 2013, 04h23 C'est à travers la bourgade frontalière de Panmunjom, que passe la ligne téléphonique reliant les deux pays en cas d'urgence, et qui vient d'être rétablie après presque trois mois d'interruption.

Ce lien entre les deux gouvernements est crucial, en l'absence de relations diplomatiques entre ces deux frères ennemis.Pyongyang avait suggéré Kaesong, qu'il avait fermé en avril alors que les tensions étaient au plus haut depuis plusieurs semaines, le Nord menaçant les Etats-Unis et son allié sud-coréen de guerre nucléaire.Pyongyang souhaite la tenue d'une première rencontre, avant la réunion inter-ministérielle évoquée par Séoul et prévue, si le Nord accepte, pour le milieu de la semaine prochaine à Séoul.Les dernières discussions de travail entre les deux pays datent de février 2011. > Venez débattre et poser vos questions sur nos forums ! Kim Jong-Un pose ses conditions à Washington. Cette initiative de Pyongyang après la tournée asiatique du secrétaire d'État américain, John Kerry, laisse espérer un apaisement des tensions.

Séoul La Corée du Nord entrouvre la porte du dialogue. Après bientôt trois mois de surenchère belliqueuse, assortie de menaces de frappe «nucléaire» à l'encontre des États-Unis et de ses alliés, le régime de Kim Jong-un évoque une possible sortie négociée de la crise. Pour la première fois, Pyongyang a posé jeudi ses conditions pour une reprise des négociations avec la communauté internationale, par la voix de sa Commission nationale de défense, l'un des organes clés de la dictature. L'État paria exige d'abord l'annulation des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU votées à son encontre, «sur des bases ridicules», selon un communiqué publié par son agence de presse KCNA.

Il demande également à Washington et Séoul de cesser leurs manœuvres militaires conjointes et de retirer toute arme nucléaire de la péninsule. Corées: au Nord, parade militaire pour le «Jour du Soleil» - Corée du Nord. Avec notre correspondant à Séoul, Frédéric Ojardias La propagande de Corée du Nord surnomme ce 15 avril « le Jour du Soleil ». En effet, le régime célèbre à cette date et en grande pompe le 101e anniversaire de son fondateur, Kim Il-sung. L’occasion de célébrations démesurées qui ont pour but d’exalter la grandeur des dirigeants nord-coréens et donc de renforcer la légitimité et le pouvoir de Kim Jong-un, le leader actuel. Celui-ci s’est déjà rendu ce matin au mausolée où sont conservées les dépouilles de Kim Il-sung et Kim Jong-il, son grand-père et son père.

En ce 15 avril, chaque individu nord-coréen se doit d'aller se prosterner devant l’une des milliers de statues de Kim qui parsèment le pays. Un grand défilé militaire est aussi organisé à Pyongyang, la capitale. A Séoul, beaucoup d’observateurs estiment que le régime pourrait profiter de cette démonstration de force pour procéder à un tir de missile, qui pour le moment n’a pas eu lieu. A Séoul, on oscille entre apaisement et regret. A quoi ressemble la Corée du Nord ? COREE DU NORD. Le Japon va déployer des missiles Patriot à Okinawa. Le Japon a annoncé vendredi 12 avril qu'il allait déployer des missiles Patriot sur l'île méridionale d'Okinawa de façon pérenne, afin de renforcer son bouclier antimissile en pleine tension avec la Corée du Nord.

Le ministre nippon de la Défense, Itsunori Onodera, a expliqué que des Patriot seraient installés en permanence sur deux bases militaires d'Okinawa "dès que possible en avril". Son ministère envisageait jusque-là de procéder à ce déploiement constant d'ici à mars 2015, mais a décidé "d'avancer ce projet qui protégera la vie et les biens des personnes contre des missiles balistiques", a souligné M. Onodera lors d'une conférence de presse. La Corée du Nord peut toucher le Japon Cette annonce intervient en pleine tension régionale autour de la Corée du Nord, qui a menacé ses ennemis d'une guerre "thermonucléaire" et pourrait procéder dans les heures ou jours à venir à un ou plusieurs essais de missiles à moyenne portée, d'après les services de renseignement sud-coréens.

Imprévisible. La Corée du Nord menace de plonger le Japon "dans des flammes nucléaires" La Corée du Nord n'a "pas démontré" qu'elle maîtrise la technologie permettant de tirer des missiles à tête nucléaire, affirme la Maison Blanche ce vendredi 12 avril, alors que Pyongyang a menacé le Japon de représailles nucléaires pour le dissuader de s'impliquer dans le conflit. Le porte-parole de Washington précise tout de même que les Etats-Unis prennent des "mesures de prudence nécessaires" dans la crise actuelle. Jeudi, un représentant républicain du Colorado avait pourtant cité un rapport du renseignement militaire américain selon lequel la Corée du Nord disposerait de la capacité de miniaturiser une arme nucléaire et de la monter sur un missile balistique, mais avec une fiabilité "faible". Sous couvert de l'anonymat, un haut responsable américain avait ensuite indiqué que les Etats-Unis "ne pensent pas" que la Corée du Nord ait cette capacité.

Le Japon menacé de "flammes nucléaires" Le Japon prêt à répondre à tout type de scénario. Il y a une logique dans l'escalade des mots en Corée du Nord. De prime abord, les tensions avec la Corée du Nord peuvent faire penser à celles qui agitaient l’Europe en 1914: une nation dérape; une autre lui répond en la menaçant d’une réaction musclée; et puis de fil en aiguille, la Première Guerre mondiale éclate.

Mais à y regarder de plus près, la situation n’apparaît pas aussi désespérée, même si les raisons d’inquiétude sont nombreuses. Bref résumé des épisodes précédents: au cours des semaines qui viennent de s’écouler, les forces américaines et sud-coréennes ont effectué leurs manœuvres militaires annuelles communes. Le dirigeant de Corée du Nord, Kim Jong-un, a réagi vivement par des diatribes belliqueuses, menaçant de transformer la région (et particulièrement Séoul) en une «Mer de feu» à la moindre provocation du camp d’en face. Jusqu’ici, tout va bien. publicité Tout commence par une escarmouche, le scénario de l'escalade Mais certains craignent que la réplique de la présidente Park soit disproportionnée.

Fred Kaplan Devenez fan sur. U.S. and North Korea held secret meeting in March. A top State Department official met with a top representative of the North Korean government in New York in March, The Cable has learned. Clifford Hart, the State Department's special envoy to the now-defunct six-party talks, met North Korea's deputy ambassador to the United Nations Han Song-ryol in mid-March, just before North Korea began its latest string of provocative statements and actions, diplomatic sources said. The meeting was done through what's known in diplomatic circles as the "New York channel," the most common method of direct communication between Washington and Pyongyang. No real progress was made during the meeting and no new offers were made by the U.S. officials present, the sources said.

The U.S. side simply reiterated the administration's call for North Korea to avoid provocative actions as well as its offer for a return to diplomacy if North Korea recommitted to fulfilling its international obligations and pursuing a path of denuclearization. Comment la Corée du Nord organise sa propagande à l'aide de photomontages. Nous avons passé les photos fournies par l'agence officielle nord-coréenne à l'AFP ou à Reuters au crible d'un logiciel d'analyse approfondie exclusif et réservé d'ordinaire aux ministères français de la Défense et de l’Intérieur. Menaces de débarquement chez son voisin du sud, promesses de frappes nucléaires, d'attaques ciblées sur des points stratégiques de la région, rejet d'armistices et attaques annoncées sur le sol américain... La logorrhée de la Corée du Nord, pourtant coutumière des annonces agressives à l'égard de ses ennemis historiques, a atteint ces dernières semaines un niveau de violence jamais vu.

Pyongyang «est prête à mener une guerre totale», a promis le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, elle est désormais «en état de guerre», a-t-il dit après l'annonce d'un renforcement des sanctions internationales contre le pays et le survol du territoire sud-coréen par des avions furtifs B-2 de l'armée américaine. La flotille Les symboles du pouvoir Les plans d'attaque Emile Van Bever. Séoul dément l'imminence d'un quatrième essai nord-coréen. Par Ju-min Park et Terril Yue Jones SEOUL/PEKIN (Reuters) - La Corée du Sud a démenti lundi s'attendre à un quatrième essai nucléaire nord-coréen, dans un contexte de forte tension dans la péninsule en raison des menaces proférées par le régime communiste de Pyongyang. "Nous n'avons pas relevé de mouvements inhabituels qui nous donneraient à penser que (la Corée du Nord) a l'intention de procéder à un essai nucléaire", a déclaré un porte-parole du ministère sud-coréen de la Défense.

Un journal sud-coréen avait auparavant rapporté que les mouvements observés sur le site d'expérimentation atomique nord-coréen étaient similaires à ceux ayant eu lieu avant les précédents essais et semblaient indiquer que Pyongyang s'apprêtait à procéder à un quatrième essai. "Il y a des mouvements de personnels et de véhicules au niveau du tunnel sud (de la base d'essai nucléaire) de Punggye-ri", écrit le quotidien JoongAng Ilbo, citant un responsable gouvernemental anonyme. CORÉE DU NORD • Pyongyang prêt à un nouvel essai nucléaire ? La Corée du Nord semble sur le point de lancer un quatrième test nucléaire. Pourtant, Pékin a mis Pyongyang en garde ce week-end de manière à peine voilée. Courrier international 8 avril 2013 | Partager : Selon le ministre sud-coréen de l'Unification Ryoo Kihl-jae, la Corée du Nord "paraît" être en train de préparer un quatrième test nucléaire, rapporte le South China Morning Post.

Elle semble ainsi ignorer les avertissements de la Chine, prononcés ce week-end par les plus hautes autorités du pays. De son côté, le journal sud-coréen JoongAng Ilbo met en avant deux nouvelles inquiétudes en Corée du Sud : "De l'activité sur les sites de test nucléaire au Nord" et "Pyongyang qui se prépare à des tirs de missiles de moyenne portée". Des informations contradictoires ont été émises par les autorités sud-coréennes, qui, après avoir annoncé qu'un quatrième test semblait en préparation, sont revenues sur ces déclarations. Le jeu dangereux de la Corée du Nord. Combien y a-t-il de Français en Corée du nord? Dans sa langue toute diplomatique, le quai d’Orsay dit prendre la situation en Corée du Nord «au sérieux» et demande «instamment» à Pyongyang de «s'abstenir de toute nouvelle provocation».

Il faut dire que le régime de Kim Jong Un les enquille. Il vient d’installer un deuxième missile de moyenne portée sur sa côte Est, alimentant les craintes d'un tir imminent, et averti qu'elle ne pouvait plus garantir la sécurité des missions diplomatiques à Pyongyang à compter du 10 avril en cas de conflit. Allant jusqu’à suggérer aux diplomates présents sur place de quitter le pays. publicité Combien sont-ils justement, ces quelques Français présents dans le pays le plus hermétique du monde?

Outre les deux «agents» — un «directeur» et un «attaché linguistique» chargé de coopérer en «matière de diffusion et de relation culturelle», l’essentiel de la présence française que le quai d’Orsay qualifie de «marginale» travaille pour des organisations humanitaires. Johan Hufnagel À lire aussi sur Slate.fr. Kim Jong-Un est le roi des Internets. Ces trente derniers jours, le jeune chef d’Etat (30 ans?) Est parvenu à manipuler les médias avec une dextérité que lui aurait sans doute enviée son père. Nous ne sommes qu’au début du mois d’avril, et l’intérêt d’Internet pour la Corée du Nord a atteint des seuils jamais égalés au cours des dix dernières années écoulées, à en croire Google Trends.

(Les recherches d’articles de presse sur le sujet ont connu la même hausse stratosphérique.) Au cours des 30 derniers jours, une recherche de LexisNexis portant sur les grands journaux américains a montré une hausse du volume des articles portant sur cet Etat totalement fermé sur lui-même de 49% par rapport au mois précédent. Publicité [EDIT Slate.fr: le groupe informel de hackers Anonymous a envoyé cette semaine un message au dictateur coréen, atteint selon eux du «syndrome de la petite bite», et piraté les comptes Twitter et Flickr du régime, réussissant selon eux une infiltration dans l’Intranet du pays (nom de code opNorthKorea).

Washington piqué par le «frelon» coréen. La menace de guerre atomique lancée par la Corée du Nord n'est pas prise au pied de la lettre. Mais les Américains se demandent si l'on n'a pas dépassé un seuil de tension. De notre correspondante à Washington, Cela fait maintenant soixante ans que le «frelon» nord-coréen vient régulièrement bourdonner aux oreilles du géant américain, multipliant les déclarations belliqueuses et les provocations armées à l'encontre de la Corée du Sud, alliée stratégique de Washington - qui garantit sa sécurité depuis la fin de la guerre de Corée en 1953. «Un menuet très rodé», note l'ancien ambassadeur américain Chas Freeman, expert de l'Asie et du Moyen-Orient. À chaque fois, Pyongyang lance une provocation, à laquelle Washington et Séoul répondent par des manœuvres militaires, tout en appelant la Corée du Nord à abandonner sa posture agressive en échange de la fin de l'isolement.

La Maison-Blanche exclut que la Corée du Nord ait aujourd'hui la capacité de frapper le territoire américain. Doit-on prendre la Corée du Nord au sérieux ? VIDEOS. Corée du nord : un deuxième missile déployé sur la côte orientale. La Corée du Nord dans les jumelles. La Corée du Nord conseille à la Russie d'évacuer son ambassade. La Corée du Nord s'est déclarée vendredi incapable de garantir la sécurité des ambassades à partir du 10 avril en cas de conflit et a proposé à la Russie, à la Grande-Bretagne et à d'autres pays présents dans le pays d'"envisager" l'évacuation de leurs ambassades. "Le discours du gouvernement nord-coréen consiste à dire qu'à partir du 10 avril il sera incapable de garantir la sécurité des ambassades et des organisations internationales dans le pays dans l'éventualité d'un conflit", a déclaré une porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères.

Plus tôt dans la journée, le porte-parole de l'ambassade russe à Pyongyang, Denis Samsonov, a été le premier à annoncer qu'un représentant du ministère nord-coréen des Affaires étrangères avait proposé à la Russie d'"examiner la question de l'évacuation des collaborateurs de l'ambassade russe". Analyse de la situation "Escalade verbale"

Anonymous pirate des comptes officiels de la Corée du Nord. Le groupe de hackers Anonymous revendique le piratage de l'intranet nord-coréen et a posté des montages parodiques sur des comptes officiels de réseaux sociaux. Petite surprise pour les observateurs de nouvelles nord-coréennes sur Internet. Le compte Twitter et Flickr d'une agence de propagande officielle ont été piratés jeudi par le collectif Anonymous. Le compte Twitter Uriminzokkiri, vitrine de la Corée du Nord et suivi par presque 14.000 personne, arbore ainsi depuis un avatar et des messages aux couleurs des hackers. Plusieurs nouvelles images ont été postées sur son compte Flickr, dont une caricature de Kim Jong-un. Le leader y est montré avec une tête de cochon et affublé d'un tatouage de Mickey - en référence à son arrestation dans un Disneyland. «Il jette l'argent par les fenêtres quand les siens meurent de faim», clame un message sous ce dessin. «Des chatons et du porno» Un message, signé au nom du collectif Anonymous, revendique ces deux piratages.

Corée du Nord : un missile déplacé en appui des menaces. Manifestations en Corée du Nord contre "l'agresseur américain" Corée du Nord: la Russie juge la situation "explosive" Le jeu périlleux de Kim Jong-un, jeune leader en quête d'autorité. Kim Jong-un ferme la porte au Sud. Pyongyang poursuit l'escalade verbale. Les Etats-Unis montrent leurs muscles à la Corée du Nord. Pyongyang coupe le téléphone rouge militaire avec Séoul. La Corée du Nord menace de frapper les Etats-Unis, Guam et Hawaï. La Corée du Nord menace de frapper les bases américaines au Japon et à Guam. Corée du Nord: Faut-il avoir peur de Kim Jong-un? Cyberguerre: la Corée du Nord attaque-t-elle la Corée du Sud?