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Livre communication. Communication. Comment aider une personne dépressive ? Morose, irascible, renfermé, un de vos proches est déprimé.

Comment aider une personne dépressive ?

Sans cesse fatigué, il voit tout en gris et n'a plus confiance en lui. Quelle attitude adopter : compassion, assistance, sollicitude, accompagnement ? Comment être soi-même suffisamment fort pour le soutenir ? Comment réagir pour l'aider ? Une personne dépressive perd confiance en elle, se dévalorise et culpabilise, ce qui renforce d'autant plus son état. Eviter de le culpabiliser Il faut donc abolir toute leçon de morale, toutes phrases telles que "tu t'écoutes trop", ou "avec de la volonté tu t'en sortiras".

Il ne faut pas non plus l'inciter à se ressaisir car il en est incapable sans aide. De plus, lorsqu'il vous parle de sa vision des choses, il est inutile d'évoquer la logique ou le raisonnable. Prendre la souffrance au sérieux Il ne faut pas non plus banaliser la souffrance de votre ami : inutile de lui dire "ça n'est pas grave", ou encore "chacun à ses propres problèmes". Un entourage positif Garder le contact avec ses amis. Accompagner un proche malade: Comment avoir une attitude rassurante? Comment gérer ses inquiétudes?

Accompagner un proche malade: Comment avoir une attitude rassurante?

« Au début, le proche-aidant n’ose pas pleurer s’il a envie de pleurer. Il n’ose pas non plus montrer son inquiétude, parce qu’il a peur d’influencer le malade. Il croit qu’en restant optimiste, ce sera contagieux. Je pense que la nature humaine a sa part de sagesse. Il y a moyen de gérer nos inquiétudes de façon délicate. Avoir une attitude rassurante, c’est ne pas être en crise soi-même devant un proche qui est touché et qu’on aimerait accompagner. Traversons-nous tous la même gamme d'émotions devant la maladie d'un proche?

On remarque des réactions communes chez les aidants naturels, comme la colère, le déni, la culpabilité, explique Johanne de Montigny. « Les réactions de l’aidant sont généralement décalées dans le temps par rapport à celles de la personne qui reçoit l’aide ». Côtoyer la souffrance des personnes âgées - Bruno Fortin. Rassurer une personne anxieuse - EurekaSanté par VIDAL. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d’intérêts.

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En savoir plus et gérer ces paramètres. Communiquer avec des personnes âgées de type Alzheimer : Naomi Feil - Didier Barbieux - Rhapsodie. Articles, documentation...

Communiquer avec des personnes âgées de type Alzheimer : Naomi Feil - Didier Barbieux - Rhapsodie

Communiquer avec des personnes âgées de type Alzheimer : Naomi Feil - Didier Barbieux Tout le monde vieillit,... voilà une évidence irréfutable. Les démographes le constatent, la croissance démographique a fait que la population atteint aujourd’hui 6 milliards d’habitants mais saviez-vous que cette croissance est surtout liée à l’allongement de la durée de vie plutôt qu’à la croissance du taux de natalité. Selon certains, l’espérance moyenne de vie d’un Mexicain au début du siècle était de 27 ans, aujourd’hui elle se rapproche des 80 ans soit 3 x plus en moins d’un siècle.

Lorsque l’on parle de longévité, on se réjouit en pensant à toutes les possibilités que cela offre à chacun qui puisse enfin jouir pleinement de son temps libre. Que faire concrètement par rapport à cela ? Comment aborder le comportement incohérent, voire absurde de la personne désorientée ? Alzheimer: comment trouver les bons mots? Il n’est pas toujours évident de bien communiquer avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer.

Alzheimer: comment trouver les bons mots?

Dans les premiers temps, elle cherche ses mots, utilise un nom pour un autre, perd parfois le fil de la conversation. Rien d’insurmontable... Mais avec le temps et l’évolution de la maladie d’Alzheimer, ces difficultés se font de plus en plus fréquentes et s’intensifient. Progressivement, la personne démente va éprouver de plus en plus de difficultés à exprimer ses idées, à construire son discours...

L’interlocuteur se sent également dépourvu face à ce langage qui lui semble, à tort, vide de sens. Alzheimer: comprendre ou se faire comprendre Comprendre et se faire comprendre sont deux choses différentes. Pour éviter d’isoler la personne atteinte de démence: Respecter la personne démente Alzheimer: miser sur le non-verbal. Aider une personne endeuillée - Conseils et références. Il n'y a pas de mots magiques pour consoler une personne en deuil.

Aider une personne endeuillée - Conseils et références

Ce qui peut aider, c'est de lui offrir de l'écouter si elle veut en parler. L'écoute est plus importante que tous les mots. Plutôt que de dire n'importe quoi, il vaut mieux exprimer à la personne qu'on ne sait pas quoi dire, l'écouter, respecter ses silences et se montrer disponible. Compatissez avec elle, soyez rassurant, offrez-lui votre aide. Une aide concrète est appréciée par la personne endeuillée ; apporter un repas, garder les enfants, faire le ménage, etc. La personne en deuil a besoin d'être entourée, mais pas avec la même relation qu'à l'habitude.

N'hésitez pas à parler de la personne décédée. Il est primordial, pour la personne qui veut apporter son aide, de se rappeler que l'attitude et le comportement sont plus importants que les paroles. Ce que vous pouvez faire Dites-lui que vous compatissez avec elle et qu'elle peut compter sur vous pour l'accompagner dans cesmoments difficiles. Les attitudes aidantes : Dépression et burnout: comment accompagner son conjoint - La dépression d’un de ses membres est toujours déstabilisante pour la famille, pour le conjoint particulièrement.

Dépression et burnout: comment accompagner son conjoint -

Bien que ce dernier puisse être d’un grand secours pour l’autre, il se demande parfois comment aider et surtout comment ne pas nuire. Certaines attitudes sont à éviter, mais d’autres sont vraiment aidantes. La dépression est une condition largement sous-diagnostiquée, sous-traitée, et quand elle l’est, c’est souvent de façon incomplète. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime pourtant qu’en 2020, la dépression sera la deuxième cause d’invalidité mondiale, derrière les maladies cardiovasculaires. Beaucoup de préjugés, de croyances négatives, d’informations erronées empêchent les gens de consulter et les vouent à la récidive quand ce n’est pas à la chronicité.

Dans l’état actuel de la science, nous reconnaissons maintenant la nécessité d’une médication sur une certaine période de temps, médication d’autant plus efficace qu’associée à une psychothérapie. 13 mai 2014.