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Influence et viralité

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Social Metrics : obsession de la mesure & trafic d’influence. Comment mesurer l’engagement sur les médias sociaux ? Dans le cadre de la Social Media Week (du 13 au 17 février 2012), j’ai eu l’opportunité d’assister à la conférence donnée par l’agence Rapp sur un thème qui agite le petit milieu des médias sociaux depuis quelques mois : comment mesurer l’engagement sur les médias sociaux ? Sur le fond de la conférence, j’ai noté l’effort pédagogique des intervenants (David Rouseelle (@davidrouselle) et Stéphane Gazzo (@stephanegazzo)) pour exposer la problématique en reprenant les chiffres issus d’études récentes et pour expliquer l’intérêt de Tag Commander et de Ideal Analytics. Tag Commander permet de taguer les contenus qu’une entreprise maîtrise, et ainsi de suivre à la trace les actions des internautes sur ces contenus. L’encapsulation d’autres tags au sein de méta-tags promet une simplification du travail des SI.

Ideal Analytics offre une solution de reporting permettant d’intégrer diverses sources de données. De la théorie à la pratique, il reste encore pas mal de travail. Like this: Quelques trucs pour augmenter l'engagement sur sa page Facebook. « L’engagement » est un terme sacré lorsqu’on s’essaye au Social Media. Savant calcul permettant de connaître la rentabilité d’une présence en ligne, c’est pourtant un axe rarement privilégié par les marques. La cause est simple : l’engagement n’est pas une science.

Plutôt que de parler de science, il faudrait parler de bonnes pratiques, d’habitudes et/ou d’écoute. Je vous propose quelques pistes pour partir sur le bon chemin avec vos communautés. Dans le but de les combler, de les comprendre et de mettre en avant un retour sur investissement de votre implication. Les individus sur les réseaux sociaux aiment « aimer« , « partager« , « critiquer« , « échanger« . Définition du Likeaolic : RP : les grandes tendances de l’influence (1/3) Je me suis rendu à l’invitation de Traackr dans les locaux de Publicis Consultants le 18/04 en fin de soirée afin d’assister à une conférence sur le futur de l’influence, organisée à l’initiative de Stanislas Magniant de Publicis et de la société Traackr, éditeur d’une solution de mesure de l’influence.

Il y avait 2 invités d’honneur à cette soirée, d’une part notre confrère et ami PPC (Pierre Philippe Cormeraie) et d’autre part, Pierre Loïc Assayag, co-fondateur de la société Traackr, co-organisateur de l’événement. Commençons notre compte-rendu en 3 parties, par l’introduction de Stanislas Magniant . [ pour rassembler les 3 parties] lire les 3 articles “Cette présentation ne sera pas un cours d’influence” a d’emblée averti Stanislas. Modestie tout à son honneur, ce qui ne l’a pas empêché de nous livrer un joli panorama et quelques pépites quant à l’évolution des relations avec les “influenceurs”.

Les marques n’arrivaient pas à travailler avec les forums à suivre … L'influence est-elle une farce? La Cordée - Comment mesurer sa performance sur les réseaux sociaux ? Viralité : Schémas de propagation des contenus sur les différents réseaux sociaux. Y’a-t-il des mécanismes et des schémas clefs pour la diffusion et la propagation de contenus sur les réseaux sociaux ? Une forme de recette magique qui garantit la viralité d’une opération ? La réponse n’est pas si évidente ! Car les comportements des publics internautes varient considérablement d’une tranche d’âge à une autre, mais aussi en fonction des évènements, des réseaux et des communautés, ainsi que d’autres paramètres… Gnip, une société d’analyse et de traitement de données en provenance des réseaux sociaux a tenté d’apporter plus de lumière à ce sujet, en procédant à quelques analyses, dont je vous partage les principaux résultats.

Il s’avère que les résultats de diffusion diffèrent considérablement selon la nature de l’évènement : attendu/prévisible comme les élections, les shows TV, les matchs de football, etc ou inattendu/imprévisible comme les catastrophes naturelles, les décès, etc. 10 raisons de ne PAS gérer l’e-réputation de son organisation. Un certains « darwinisme 2.0 » voudrait que chaque organisation gère son e-réputation… Au-delà du fait que toute organisation est différente, et n’a donc pas les mêmes besoins, il apparait aussi des raisons amenant à dire que, non, il n’y a pas nécessité ou alors il ne vaudrait mieux pas se lancer dans une stratégie de gestion de l’e-réputation.

L’e-réputation ne se résume pas au comptage des avis positifs/négatifs et à des actions de CRM. La (e)réputation peut être vue par les organisations comme une manière d’évaluer ses actions et discours par le prisme des opinions de ses publics (internautes ou non). S’il parait alors nécessaire d’analyser cette réputation, voire de la « gérer » sur les systèmes web qui la produise, pour autant, plutôt que de se lancer dans des actions vides de sens, ou qui ne vont pas marcher par non prise en compte de certains aspects (temps, moyens, budgets), autant ne pas agir… Voyons alors quelques raisons de ne pas gérer l’e-réputation de votre organisation. Comment s’assurer de la crédibilité d’une source web. La veille sur le web n’est pas exempt de la nécessaire qualification des sources inhérente à l’intelligence économique : qui est l’auteur d’un message, quelle véracité des informations diffusées, etc. Certains critères sont donc nécessaires à mettre en place.

Mais au-delà, il apparait que, sur le web, plus qu’une question de crédibilité il convient de s’interroger sur la popularité ou « l’expertise » prêtées à un auteur. Voire à sa réputation… Dans un ancien billet intitulé Qualification des sources 2.0 je proposais des outils pour identifier certains critères : pour définir l’identité « réelle » de l’auteur d’une source (ou son hébergeur –Whois), ses liens communautaires, etc. Une fois n’est pas coutume (mais je reprends progressivement après 2 mois d’absence ), les différents critères que je vais proposer son issus de la thèse de Doctorat de J. Dans les annexes de sa thèse (p.264) l’auteur propose un tableau récapitulatif avec différents critères. Des critères de crédibilités… La recommandation sociale est-elle efficace ? Le cas de l’open graph Facebook.

Jeudi 14 février, j’assistais à la conférence d’up 2 social qu’est-ce que l’open graph de Facebook ? Une bonne occasion de revenir sur ce dispositif connu mais pas toujours bien compris, mais aussi de se poser la question-clé sur le sujet : les utilisateurs des réseaux sociaux sont-ils sensibles à la recommandation communautaire ? Commençons par la base : qu’est-ce que l’open graph ? L’ensemble des données que possède Facebook (connexions entre personnes, pages likées, interactions, contenus likés sur le web…) constitue l’open graph. Autrement dit, si vous vous êtes connectés à vos sites préférés via Facebook (grâce au bouton « Facebook connect« ), Facebook enregistre tout ce que vous y faites : ce que vous lisez sur un site de presse, ce que vous achetez sur un site d’e-commerce, ce que vous regardez sur un site de vidéos, etc. Toutes ces actions collectées et archivées par Facebook représentent ces fameuses « données ». A quoi sert l’open graph ?

Quelles applications possibles ? Comment les réseaux sociaux influencent les consommateurs. [Infographie] : Le taux de viralité. RP : les grandes tendances de l’influence (2/3) – « le communicant, un leader, pas un dealer  – @ppc #tfoi | «Marketing. Suite de la série de 3 conférences dans les locaux de Publicis Consultants le 18/04 dont le sujet était le futur de l’influence, organisée à l’initiative de Stanislas Magniant de Publicis et de la société Traackr. Voici la deuxième présentation, celle de mon confrère et ami PPC (Pierre Philippe Cormeraie) lire les 3 articles PPC est patron de l’innovation dans une grande banque et a une autre vie, qui se passe en partie sur Youtube et sur son blog, la nuit. Il s’est demandé si les journalistes ne seraient pas comme les blogueurs et il sort même, en prime un classement des 30 journalistes les plus influents, qu’il remet à jour régulièrement.

Pour ceux qui me trouvent hyper-actif, voilà de quoi les calmer. Comme si ce n’était pas assez, il est aussi avec Nicolas Bordas de TBWA, le cerveau derrière le compte Twitter @tweetbosses qui est aussi partenaire de la future conférence Media Aces sur “Les Bosses qui Tweetent et Ceux qui Tweetent Pas !” Je suis influent … mais ça veut dire quoi ?!