background preloader

OGM 2o11-2o12

Facebook Twitter

WikiLeaks Cables Reveal State Department Promoting GMOs Abroad. Darcey O'Callaghan: US embassies are aggressively and systematically promoting biotechnology and GMO food abroad. PAUL JAY, SENIOR EDITOR, TRNN: Welcome to The Real News Network. I'm Paul Jay in Baltimore. On May 25 in 36 countries around the world there will be protests against Monsanto and the promotion of GMO in agriculture and animal food products.

Now joining us to talk about Monsanto and the role of the U.S. State Department in promoting Monsanto and GMO around the world is Darcy O'Callaghan. She's the international policy director at Food & Water Watch. The organization works to promote local control of food systems and to prevent the privatization of public water resources. Thanks for joining us, Darcy. DARCY O'CALLAGHAN, INTERNATIONAL DIRECTOR, FOOD & WATER WATCH: Thanks for having me. JAY: So you issued a report where you went through--I guess it is thousands of State Department cables and looking at the role of the U.S.

O'CALLAGHAN: Right. O'CALLAGHAN: Right. O'CALLAGHAN: Yeah. Les OGM, autour de l’affaire Séralini. Avec : Frédéric Jacquemart, membre du Haut conseil sur les biotechnologies ; Christophe Noisette, d’Inf'OGM, veille citoyenne sur les OGM ; Yves Bertheau, directeur de recherche à l'Inra de Versailles et coordinateur du programme européen CoExtra et Chantal Gascuel, agricultrice. Jacquemart, F., "Expertise des OGM : l'évaluation tourne le dos à la science", édition Inf'OGM, octobre 2012, A4, 60 pages, 6 euros ETC Group : Le gouvernement mexicain s'apprête à autoriser la plantation massive de maïs transgénique (communiqué en anglais) Exceptionnellement il n’y a pas de revue cette semaine, mais vous pouvez toujours suivre l'actualité environnementale sur le site suivant :

OGM : comment une étude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires - Santé publique. Photo : source Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ? Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence transgénique est inoffensive. Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement. Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]), ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Elles se contentent donc de lire le dossier de l’entreprise et la littérature scientifique sur le sujet. D’un côté, la firme est juge et partie. Que doivent évaluer les experts ? Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ?

Problème : sur quels éléments démontrés scientifiquement repose cette affirmation ? Des extrapolations pas très scientifiques. Vos impôts pour Monsanto -- Canaille-le-rouge. 19 novembre 2012, curieux communiqué de presse du réseau CEE Bankwatch Network (note fin de page) : " La Banque Européenne pour la reconstruction et le Développement (BERD) devra se prononcer en avril 2013 sur une garantie financière de 40 millions de dollars pour couvrir Monsanto au cas où les entreprises agricoles et des distributeurs qui se sont engagés à acheter des semences ou des produits agrochimiques à la firme ne pourraient pas les payer ! " Un oeil sur la BERD La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement est une organisation internationale dont le siège est situé à Londres. Créée le 29 mai 1990 par François Mitterrand et dirigée de 1991 à 1993 par Jacques Attali, la Banque précise dans ses statuts que "le développement durable est essentiel à l’exercice de saines pratiques commerciales et tous les projets d’investissement sont sélectionnés avec soin dans cette optique, conformément à sa politique environnementale et sociale".

La BERD mentirait-elle ? Letter-EBRD-Monsanto-19Nov2012.pdf (Objet application/pdf) OGM - Santé publique: 130 ONG exigent la transparence et réclament la suspension provisoire des autorisations du Maïs NK603 et du Roundup. OGM : l’Allemagne recale l’étude Séralini. OGM. Séralini ne fournira rien de plus à l'Autorité européenne - Environnement. Une autre défaîte pour Monsanto. Va-t-on finir par avoir cette pourriture ? Il y a de l'espoir... Monsanto perd du terrain – un groupe d'Afrique du sud appelle à une interdiction de céréales OGM Anthony GucciardiNaturalSociety30 Septembre 2012 Sur la lancée de nations comme la France et la Russie, l'Afrique du sud pourrait bien être dans peu de temps la toute dernière nation à formuler une interdiction du maïs OGM de Monsanto, récemment relié au développement de tumeurs et à des lésions d'organes chez les rats.

Le Centre Africain pour la Sécurité Biologique (ACB en anglais), organisme de surveillance créé pour protéger les consommateurs des divers dangers biotechnologiques, appelle aujourd'hui les autorités sud-africaines à interdire le maïs de Monsanto générateur de tumeurs, connu sous le nom de NK603. C'est particulièrement important pour l'Afrique du sud car le maïs blanc est un aliment de base très important, constituant à lui tout seul jusqu'à 80 % de la récolte de l'année passée.

Traduit par Hélios. Branle-bas de combat autour de l’étiquetage des OGM | American Miroir. Le rayon sauces d’un magasin bio à Berkeley, en Californie (Justin Sullivan/Getty/AFP) Panique au sein des multinationales de l’agroalimentaire : en novembre, les électeurs californiens décideront si la présence d’OGM doit être mentionnée sur les emballages de nourriture. « Big Ag » et « Big Food », les lobbys de l’agroalimentaire, ont mis au pot 19,2 millions d’euros pour faire barrage à l’initiative citoyenne « Nous avons le droit de savoir ce que nous mangeons ».

L’enjeu est colossal, il explique l’union sacrée des plus grosses sociétés mondiales : toutes catégories d’aliment confondues, 80% de la nourriture américaine non bio contient des OGM. Et ce qui se décide en Californie, où vit 10% de la population du pays, préfigure ce qui va devenir obligatoire dans le reste des Etats-Unis. Le maïs OGM, le soja OGM, les betteraves à sucre OGM, le coton OGM (cultivé pour son huile) sont à la base des sucres, graisses et additifs dont sont farcis les aliments nationaux. UN NOUVEAU LIVRE DÉNONCE L'AGRICULTURE ET DONNE L'ALERTE À TOUS LES FUTURS CANCÉREUX QUE NOUS SOMMES ! Www.notre-planete.info : environnement, développement durable et sciences de la Terre Vous recevez cette alerte car votre navigateur Internet bloque les publicités Malheureusement, la publicité nous est indispensable pour faire vivre ce média web et ses auteurs qui sont 100% indépendants autant moralement que financièrement.Si vous bloquez notre seul moyen de revenu qui reste discret, notre-planete.info est condamné à disparaître au profit de sites soutenus par des grands groupes financiers ou des lobbys.

Vous n'aimez pas la publicité ? Nous non plus ! Mais c'est notre seul moyen d'exister tout en proposant un contenu original et gratuit. En effet, nous ne souhaitons que notre contenu soir payant. Pour visualiser la page demandée, merci de : Puis de copier-coller l'URL ci-dessous de la page que vous souhaitiez visualiserdans la barre d'adresse de votre navigateur : Procédure à suivre en fonction de votre navigateur Internet : Sous Chrome. Les rats, les OGM et l’opération de communication.

Un désastre pour le débat public, sa qualité, sa capacité à générer de la décision politique et démocratique. C’est, pour l’instant, le résultat majeur de l’opération de communication organisée par l’équipe du biologiste Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l’université de Caen. Une opération relative à son expérience d’ingestion par des rats de maïs résistant à l’herbicide Round Up de Monsanto, publiée dans la revue Food and Chemical Toxicology. C’est, pour l’instant, son seul résultat disponible. Les commentaires conclusifs sur l’expérience elle-même et les leçons à en tirer pour la protection des populations contre un risque sanitaire sont prématurés.

Qu’ils soient en faveur de la thèse finale de Gilles-Eric Séralini - il faut interdire sans attendre l’usage des plantes transgénique résistantes à cet herbicide - ou en sa défaveur. Qu’a fait Gilles Eric Séralini ? Sylvestre HUET. Peut-on encore manger sans OGM ? - Consommation. Interdits de culture en France, les OGM se retrouvent pourtant dans les assiettes des consommateurs via l’alimentation animale, friande de soja transgénique importé. Malgré les pressions du lobby agro-alimentaire, une petite victoire de transparence vient d’être obtenue. La mention « sans OGM » pourra désormais être accolée sur les produits qui en contiennent moins de 0,1%.

Interdits de culture en France depuis 2008, les OGM sont présents dans nos assiettes via l’alimentation des animaux que nous mangeons : 80% des 4, 5 millions de tonnes de soja importé chaque année du Brésil pour nourrir les porcs et volailles (non bio) sont transgéniques ! Ce « détail » est rarement connu des consommateurs. Pour s’assurer de ne pas manger d’OGM, dont les risques sanitaires sont pointés du doigt par une toute récente étude, les consommateurs peuvent acheter bio.

Depuis le début de l’été, tous les consommateurs français peuvent bénéficier de cette transparence. Pourquoi un seuil de 0,1% d’OGM. L'étude qui remet en cause l'avenir des 46 OGM autorisés en Europe - Scandale sanitaire. C’est la première étude indépendante de cette ampleur : une recherche menée en secret depuis 2008 pour évaluer les éventuels effets nocifs des aliments transgéniques. Les résultats, publiés par le Criigen, sont plus qu’alarmants. Les rats nourris avec un OGM de Monsanto développent des tumeurs et connaissent une mortalité précoce. Cette étude mettra-t-elle fin à l’omerta sur la recherche scientifique concernant les OGM ? C’est une première mondiale. Une étude pour évaluer la toxicité – ou non – des OGM a été menée depuis 2008 dans le plus grand secret, sous l’égide du professeur de biologie moléculaire Gilles-Eric Séralini et du Criigen (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique). Quatre ans de recherche dans un discret laboratoire de l’Ouest de la France.

On connaît les problèmes de contaminations d’autres cultures par les OGM, ou les transformations que ces organismes provoquent chez certains nuisibles, devenant plus résistants encore aux pesticides. OGM : qu'a fait l'État ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf - kempf@lemonde.fr Shakespeare l'écrivait : "Les mauvaises nouvelles sont fatales à celui qui les apporte" (Antoine et Cléopâtre). Ainsi les critiques pleuvent-elles sur l'étude publiée par Gilles-Eric Séralini dans Food and Chemical Toxicology. Lire : "Le protocole d'étude de M.

Séralini présente des lacunes rédhibitoires" Lire : Qu'est-ce que le maïs NK603, soupçonné de toxicité ? En vidéo : Étude choc sur les OGM : coup de pub ou scandale sanitaire ? Si la méthode et les moyens s'en révèlent à l'examen faibles, erronés, ou biaisés, ses conclusions - le potentiel cancérigène d'une alimentation transgénique - en seront démenties. Une question essentielle est de savoir pourquoi un chercheur de qualité, employé dans une structure publique, a été obligé de chercher des fonds auprès de fondations privées pour pouvoir mener en catimini une étude d'un intérêt général.

Paris et Bruxelles se penchent sur une étude alarmante sur les OGM.