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Environnement : les Français se disent de plus en plus « écoresponsables », Actualités. Les sols agricoles en France : état, menaces. Agroforesterie. Quel est aujourd’hui l’état des sols agricoles en France ? Le GisSol (Groupement d’intérêt scientifique « sol »)[1] a livré deux rapports d’étape aux ministères de l’Environnement et de L’Agriculture, l’un sur l’état des eaux des nappes après filtration par les sols agricoles, l’autre sur l’état physico-chimique et microbiologique des sols.

Ce dernier rapport a été présenté en novembre aux ministres et à la communauté scientifique et technique, après dix années de travaux. D’emblée, le rapporteur, M. D. Le sol, substrat des cultures de pleine terre, a différentes fonctions que le GisSol résume ainsi « Une ressource essentielle, non renouvelable qui rend des services multiples », ce qui masque en fait des enjeux « planétaires » : disponibilité en eaux de qualité, production de biodiversité, production d’énergie via l’alimentation produite et, donc, sécurité alimentaire, aptitude à subir le changement climatique, etc… Enfin, incertitude ou menace : l’impact du changement climatique.

Un agriculteur s'attaque à Monsanto devant les tribunaux - FTVi. Partager Le procès qui s'ouvre lundi 12 décembre à Lyon évoque David contre Goliath. Paul François, 47 ans, cultivateur de céréales à Bernac, en Charente, assigne Monsanto en justice après avoir été exposé au Lasso. Ce puissant désherbant produit par la firme américaine est interdit en France depuis 2007. Des problèmes de santé depuis 2004 Tout commence en 2004. Paul François ouvre la cuve d'une machine à pulvériser et reçoit en plein visage des vapeurs de Lasso. Près d'un an après avoir inhalé les vapeurs, des analyses mettent en évidence dans son corps des traces de monochlorobenzène. Une procédure débutée en 2007 En février 2007, l'agriculteur enclenche une procédure à l'encontre du géant de l'agrochimie. Ce dernier entend y soutenir la double "faute" de la firme : d'abord, elle n'aurait pas indiqué la composition exacte du Lasso sur l'étiquette, notamment la présence du monochlorobenzène.

Stop au détournement des fonds publics dédiés à la lutte contre le changement climatique au profit de l’incinération et du stockage des déchets - Hémisphère Gauche. Des parabènes présents dans 400 médicaments. 02/12/2011...France: Les farines animales en passe d'être réintroduites en France, incroyable mais vrai! Le Conseil national de l'alimentation préconise un retour progressif à l'usage des farines animales.

L'hypothèse de ce retour se concrétise. Comme le rapporte le site d'Europe 1, le Conseil national de l'alimentation (CNA) a donné son aval, vendredi 2 décembre, à une réintroduction partielle des farines animales, longtemps interdites. Aucune date précise n'est encore arrêtée. Il s'agirait surtout de préparer l'opinion à cette éventualité. Selon le CNA, instance consultative des ministères de l'alimentation, de la santé et de l'économie, les farines animales pourraient donc être réintroduites en France sous de nouvelles formes dénomées "PAT", pour protéines animales transformées, souligne Europe 1. Les PAT excluraient l'utilisation d'un animal malade comme base d'une farine destinée à en nourrir d'autres.

Une affirmation qui fait écho à un document de travail rédigé par l'instance en mai. Concernant l'utilisation de ces farines, le Conseil se veut toutefois prudent. Source: Le Monde.fr. Florissante industrie de l’agriculture biologique, par Philippe Baqué. « Les écolos et les soixante-huitards ont laissé la place aux professionnels ! » Ainsi s’exprimait en juin 2009 un technicien de la coopérative Terres du Sud qui, dans le Lot-et-Garonne, organisait une journée « découverte » dans des élevages intensifs de… poulets biologiques.

Les performances des installations livrées clés en main par la coopérative, les crédits et les aides publiques proposés étaient censés convertir les agriculteurs invités. En effet, pour approvisionner la grande distribution et la restauration collective. les puissantes coopératives agricoles, liées aux grandes firmes de l’industrie agroalimentaire, se livrent désormais une concurrence farouche dans l’élevage de ces poulets au-dessus de tout soupçon. Elles profitent de la nouvelle réglementation européenne qui permet à un éleveur de produire jusqu’à soixante-quinze mille poulets de chair bio à l’année et ne limite pas la taille des élevages de poules pondeuses bio. Taille de l’article complet : 3 396 mots. Médicaments : des falsifications massives d'essais cliniques ! Algues vertes : un décret gouvernemental risque d'aggraver la prolifération - Pollutions agricoles. Des gènes de coton OGM dans la nature... - Hémisphère Gauche.

L’industrie agroalimentaire utilise un OGM pour réparer un fléau qu’elle a engendré, et le teste sur le public - Hémisphère Gauche. Le dioxyde de titane, ou comment concocter un scandale sanitaire presque parfait... - Hémisphère Gauche. Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ? - Agriculture. Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences.

Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance. Photo : source Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le 8 juillet dernier (et que l’Assemblée nationale vient de voter le 28 novembre), et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus naturel ?) Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Rendre les paysans captifs Pourquoi cette redevance ?

Sophie Chapelle. Droit de propriété sur les semences : l'agro-industrie obtient sa redevance - Brevetage du vivant. Après un débat vif, les députés ont voté la loi sur le certificat d’obtention végétale, qui supprime le droit de ressemer librement sa propre récolte sans verser de taxe. Les élus UMP, et le ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire, ont rejeté tous les amendements proposés par l’opposition de gauche.

L’industrie semencière peut être satisfaite, tandis que la Confédération paysanne appelle à l’abrogation de la loi, et à son boycott. Photo : source Orge, avoine, blé, pois, trèfle, luzerne… 21 variétés de semences seront soumises à une taxe, la contribution volontaire obligatoire, si l’on veut les replanter (lire notre précédent article à ce sujet). Le débat a pourtant été vif à l’Assemblée. La moitié des agriculteurs français concernés En face, le député UMP Thierry Lazaro, rapporteur de la commission des Affaires économiques, défend le texte avec zèle, aux côtés du ministre de l’Agriculture. . « Vous êtes en train de livrer les agriculteurs français aux semenciers.

Tout n’est pas terminé.