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Notice wikipédia des personnages historiques évoqués pendant la séquence

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Voltaire 1/5: L'homme Voltaire. Madame de Pompadour. Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars[1], née le 29 décembre 1721 à Paris et morte le 15 avril 1764 à Versailles, est une dame de la bourgeoisie française devenue favorite de Louis XV, roi de France et de Navarre.

Madame de Pompadour

Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Pendant l'éloignement de François Poisson, sa femme Madeleine de La Motte, « belle à miracle », a entre autres amants le riche fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, célibataire et amateur d'art. L'infidélité notoire de Madeleine a fait naître l'hypothèse d'une liaison plus précoce avec Jean Pâris de Monmartel ou Le Normant, d'où la suspicion que Jeanne-Antoinette soit leur fille naturelle[7]. Une légende raconte qu'à neuf ans, elle est allée consulter avec sa mère une voyante qui se serait exclamée : « Vous serez la maîtresse du roi ».

Françoise-Louise de Warens. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Françoise-Louise de Warens

Gottfried Wilhelm Leibniz. Gottfried Wilhelm Leibniz signature Gottfried Wilhelm Leibniz[n 1] (prononcer [ˈlaɪbnɪts]), né à Leipzig le 1er juillet 1646[n 2] et mort à Hanovre le 14 novembre 1716, est un philosophe, scientifique, mathématicien, logicien, diplomate, juriste, bibliothécaire et philologue allemand.

Gottfried Wilhelm Leibniz

Esprit polymathe, personnalité importante de la période Frühaufklärung, il occupe une place primordiale dans l'histoire de la philosophie et l'histoire des sciences (notamment des mathématiques) et est souvent considéré comme le dernier « génie universel ». Il naît en 1646 à Leipzig dans une famille luthérienne ; son père, Friedrich Leibnütz, est professeur de philosophie morale à l'université de la ville. Après la mort de celui-ci en 1652, Leibniz, parallèlement à son éducation supervisée par sa mère et son oncle, étudie dans la bibliothèque léguée par son père. Affaire Sirven. Ne doit pas être confondu avec l’affaire Sirven concernant Elf Aquitaine au début du XXIe siècle.

Affaire Sirven

Pour les articles homonymes, voir Sirven. L’affaire Sirven est une affaire judiciaire qui s’est déroulée à Mazamet, en , au moment même de la célèbre affaire Calas. Voltaire s’est également impliqué dans ce fait divers, qui témoignait de l’intolérance religieuse sous l’Ancien Régime, à la veille de la Révolution française. Déroulement[modifier | modifier le code] Pierre-Paul Sirven et son épouse, tous deux protestants, ont trois filles. Jean-Baptiste Greuze. Jean-Baptiste Greuze, Portrait de l'artiste (vers 1769),Paris, musée du Louvre.

Jean-Baptiste Greuze

Jean-Baptiste Greuze, né à Tournus le 21 août 1725 et mort à Paris le 21 mars 1805, est un peintre et dessinateur français. Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale à Tournus, au no 5 de la rue Greuze Jean-Baptiste[n 1] Greuze est né le 21 août 1725 à Tournus[n 2] en Saône-et-Loire. Fils d'un entrepreneur et architecte, Jean-Baptiste Greuze fut dès sa plus tendre enfance attiré par le dessin, malgré la volonté de son père qui le destinait au commerce.

Son Père de famille lisant la Bible à ses enfants connaît un grand succès en 1755, l'année où il devient membre associé de l'Académie[1]. Le 3 février 1759, il épouse Anne-Gabrielle Babuti, fille d'un libraire du quai des Augustins, François Babuti, dont il expose en 1761 le portrait. Louis de Jaucourt.

Pour les articles homonymes, voir Jaucourt.

Louis de Jaucourt

Louis de Jaucourt, né à Paris le 27 septembre 1704 et mort à Compiègne le 3 février 1780[1], est un collaborateur savant et prolifique de l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert. Le chevalier de Jaucourt, comme on le désigne habituellement, était aussi médecin. Biographie[modifier | modifier le code] Éducation[modifier | modifier le code] Bien qu'officiellement convertie au catholicisme, la famille Jaucourt[2], de vieille noblesse bourguignonne et protestante, est regardée d'un œil soupçonneux. Il étudie ensuite trois ans les mathématiques et la physique à l'université de Cambridge, puis la médecine à l'université de Leyde[4]. Il revient en France en 1736. Catherine II. Catherine II (en russe : Екатерина II) est née Sophie Frédérique Augusta d'Anhalt-Zerbst (en russe : София Фредерика Августа Цербст-Ангальтская) le 2 mai 1729 à Stettin (actuel Szczecin) en Poméranie et morte le 6 novembre 1796 (17 novembre 1796 dans le calendrier grégorien) à Saint-Pétersbourg.

Catherine II

Surnommée « Figchen » puis la « Grande Catherine », elle est impératrice de Russie du 28 juin 1762 (9 juillet 1762 dans le calendrier grégorien) à sa mort. Bernard Le Bouyer de Fontenelle. Julie de Lespinasse. Jeanne Julie Éléonore de Lespinasse, née le 9 novembre 1732 à Lyon et morte le 23 mai 1776 à Paris, est une salonnière et épistolière française.

Julie de Lespinasse

Madame du Deffand. Marie de Vichy-Chamrond (ou Champrond), marquise du Deffand, née le 25 septembre 1696 au Château de Chamrond, en Bourgogne et morte le 23 août 1780 à Paris, est une épistolière et salonnière française.

Madame du Deffand

La physionomie de la marquise est connue à travers un portrait de Carmontelle[1] qui la représente assise aveugle, un portrait actuellement perdu peint par Pierre Gobert[2] et qui était en 1753 chez la Duchesse de Luynes sa nièce. Marie-Thérèse Rodet Geoffrin. Pour les articles homonymes, voir Rodet.

Marie-Thérèse Rodet Geoffrin

Marie-Thérèse Rodet Geoffrin Marie-Thérèse Rodet Geoffrin, née à Paris le 26 juin 1699, et morte à Paris le 6 octobre 1777[1], est une salonnière française. Biographie[modifier | modifier le code] Elle forma son esprit en côtoyant les personnalités fréquentant le salon de Madame de Tencin où Fontenelle l’avait introduite, et dont elle recueillit les hôtes à la mort de cette dernière en 1749, alors qu’elle avait dépassé sa cinquantième année.

Le décès de son mari la même année lui donna une totale liberté pour développer son salon grâce aux revenus de la manufacture des glaces. Émilie du Châtelet. Claudine Guérin de Tencin. Claudine-Alexandrine Guérin de Tencin Portrait présumé de Madame de Tencin âgée d'après Joseph Aved. Claudine-Alexandrine-Sophie Guérin de Tencin, baronne de Saint-Martin de l’isle de Ré, née le 27 avril 1682[1] à Grenoble, morte le 4 décembre 1749 à Paris, est une femme de lettres qui a tenu un salon littéraire connu à l'époque. Elle est la mère de Jean d'Alembert. Après vingt-deux années passées de force au couvent, elle s'installe à Paris en 1711 et est introduite dans les milieux du pouvoir par ses liens avec le cardinal Dubois.

Six ans plus tard, elle ouvre l'un des salons littéraires les plus réputés de l'époque appelé le « bureau d'esprit »[2]. Jean le Rond D'Alembert. Signature Jean Le Rond d’Alembert[1], pour les logiciels anglais Jean le Rond D’Alembert[2],[3] né le 16 novembre 1717 à Paris où il est mort le 29 octobre 1783, est un mathématicien, physicien, philosophe et encyclopédiste français.

Il est célèbre pour avoir été l'inventeur d'un principe de l'équilibre que Condorcet explique dans son "Eloge de d'Alembert" (éd. Bastien, tome I, p. 67-68). Il a ainsi fixé une liaison entre les lois du mouvement. Jean-Jacques Rousseau. Signature Vue de la sépulture. Dans le domaine philosophique, la lecture en 1749 de la question mise au concours par l'Académie de Dijon : « le rétablissement des sciences et des arts a-t-il contribué à épurer ou à corrompre les mœurs ?

» provoque ce qu'on appelle « l'illumination de Vincennes ». De là naissent les ouvrages qui inscrivent durablement Rousseau dans le monde de la pensée : le Discours sur les sciences et les arts (1750), le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755) et Du contrat social (1762). La philosophie politique de Rousseau est bâtie autour de l'idée que l'Homme est naturellement bon et que la société le corrompt. La philosophie politique de Rousseau exerce une influence considérable lors de la période révolutionnaire durant laquelle son livre le Contrat social est « redécouvert ».

Montesquieu. Montesquieu en 1728 (peinture anonyme). signature Il voyage ensuite en Europe et séjourne plus d'un an en Angleterre où il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie politique : Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et De l'Esprit des lois (1748), dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes, appelée postérieurement « principe de séparation des pouvoirs ». Montesquieu, avec entre autres John Locke, est l'un des penseurs de l'organisation politique et sociale sur lesquels les sociétés modernes et politiquement libérales s'appuient.

Ses conceptions — notamment en matière de séparation des pouvoirs — ont contribué à définir le principe des démocraties occidentales. Denis Diderot. Signature « Jeune homme, prends et lis. Si tu peux aller jusqu'à la fin de cet ouvrage, tu ne seras pas incapable d'en entendre un meilleur. Comme je me suis moins proposé de t'instruire que de t'exercer, il m'importe peu que tu adoptes mes idées ou que tu les rejettes, pourvu qu'elles emploient toute ton attention. Voltaire. Œuvres principales Compléments François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris et mort dans la même ville le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain, philosophe[n 1] et homme d'affaires français qui a marqué le XVIIIe siècle.