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Citoyenneté numérique

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Plan informatique pour tous...echec ou réussite massacrée? Personnellement je n'ai jamais trop cru aux vertus de la pédagogie constructiviste et autres apprentissages dépendants de (trop) près de l'informatique. Cela à cause de ce que les néo-pédagogues (accompagnés de leur novlangue habituelle) ont réussi à théoriser par des arguments au ras des paquerettes. Dans le cadre de ce post, je pense qu'il faut plutôt apprendre l'informatique (et au moins quelques bribes de programmation) que d'apprendre par l'informatique.... tout comme apprendre à lire, écrire et compter se fait par les livres, l'écriture et l'apprentissage répétitif des tables de multiplication.... sans oublier le rêve et la flânerie si propices à l'esprit. Oui, j'ai tendance à raisonner en "vieux schnock" mais quand je vois des étudiants de première et seconde année qui savent à peine ânoner un texte sans buter à chaque bout de ligne ou à chaque mot inconnu, ou pire, savent à peine écrire une phrase avec une syntaxe compréhensible, personnellement, je m'attriste.

Plan informatique pour tous. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le plan informatique pour tous (IPT) était un programme du gouvernement français qui devait permettre d'initier les 11 millions d'élèves du pays à l'outil informatique et de soutenir l'industrie nationale. Il faisait suite à plusieurs programmes d'introduction de l'informatique dans le secondaire depuis 1971. Le plan IPT a été présenté à la presse, le vendredi 25 janvier 1985, par Laurent Fabius, Premier ministre de l'époque[1]. Il visait à mettre en place, dès la rentrée de septembre, plus de 120 000 machines dans 50 000 établissements scolaires et à assurer la formation, à la même échéance de 110 000 enseignants. Son coût était évalué à 1,8 milliard de francs, dont 1,5 milliard pour le matériel. Description[modifier | modifier le code] Critique[modifier | modifier le code] Ce plan a fait l'objet de vives critiques [2].

Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Www.epractice.eu/files/7.5.pdf. Faut-il empêcher les députés de tweeter ? Faut-il interdire aux députés de tweeter? Depuis le début du débat sur le mariage homo, les messages de députés sur le réseau social font régulièrement incursion dans le débat, voire l’enveniment, ce qui amène certains à réclamer que le wi-fi soit coupé dans l’hémicycle. Pour que «publicité des débats ne rime pas avec dispersion des députés en 140 caractères», le député UMP Gérald Darmanin veut proposer une modification du règlement de l’Assemblée pour que les députés n’aient plus accès à Twitter.

Il a dans le même temps annoncé qu’il allait arrêter de tweeter en séance. Son collègue UMP Guillaume Larrivé renchérissait mercredi matin sur le même thème. Julien Aubert (UMP) annonçait suspendre son compte, évoquant «manque de respect» et «manque de concentration». Dans la soirée, son compte n'était pas suspendu mais simplement disponible en mode privé, c’est à dire accessible aux seuls internautes autorisés par l'élu.

Peut-on juger et tweeter à la fois? Pendant une audience de cour d'assises, un procureur et un juge assesseur protégés par leurs pseudonymes respectifs - Proc_Gascogne et Bip_Ed - échangent leurs impressions sur Twitter. "On a le droit de gifler un témoin? " demande le procureur. Un peu plus tard, il écrit: "Bon, ça y est, j'ai fait pleurer le témoin... ". Suivent un certain nombre de messages potaches dans lesquels l'un confie l'agacement que lui inspire la présidente, l'autre ironisant sur une greffière, le tout menant à cet aveu: "Je n'ai plus écouté pendant les deux dernières heures".

L'un de leurs collègues qui lit leurs échanges, intervient: "C'est quand même un peu limite de tweeter pendant l'audience, non ? " La révélation de cette affaire par un journaliste de Sud-Ouest enflamme le réseau social qui prend fait et cause pour les deux "twittos" - l'influent Maître Eolas en tête - et s'indigne contre l'auteur de l'article, qualifié de délateur, de "journaliste de caniveau" et autres noms d'oiseaux.

Mega : aperçu du successeur de MegaUpload. C’est un des lancements les plus attendus de ce début d’année. D’ici une semaine, Mega, le successeur de MegaUpload, sera en ligne. Un retour sous forme de revanche pour Kim Dotcom, le controversé entrepreneur Internet, qui a connu de nombreux déboires avec la justice ces derniers mois. La date de sortie prévue est en effet le 19 janvier, soit un an tout juste après la fermeture de MegaUpload. Le compte à rebours est lancé. Pour ce nouveau site, le choix a été fait de chiffrer les données uploadées par les utilisateurs, dédouanant ainsi les dirigeants du site qui ne pourront pas savoir quels fichiers contreviennent au droit d’auteur. Les tendances du partage social de contenus en 2012. AddThis est une solution de partage social utilisée par plus de 14 millions de sites et blogs à travers le monde. Intégrable sous la forme d’un simple code HTML ou grâce à un plugin, le service propose aussi des extensions navigateurs pour les utilisateurs.

Son succès lui permet d’établir un compte rendu des principales tendances chaque année sous la forme d’une infographie. Facebook toujours à 50%, Twitter et Pinterest gagnent du terrain On s’intéresse tout d’abord aux médias sociaux les plus utilisés pour partager du contenu. Les résultats donnent Facebook en tête avec plus de la moitié des partages effectués sur la plateforme et une progression de 18% par rapport à l’année dernière.

Autre progression notable, Pinterest et ses 380% de partages en plus. Les Etats-Unis au coeur de la discussion : élections, ouragan Sandy Dans les chiffres en baisse, MySpace chute de 67%, chiffre comprehensible alors que le site était en instance de retour. Facebook : vers un croisement des données des utilisateurs ? Facebook l’a bien compris, un réseau social qui domine ses concurrents c’est bien, mais c’est encore mieux lorsque les profits qui en découlent sont importants. Et cette tendance à l’optimisation des bénéfices s’accroît depuis l’entrée en bourse du géant américain. Après la modification des conditions d’utilisation de son service annoncée hier, Facebook semble aujourd’hui souhaiter calquer sa stratégie publicitaire sur Google, leader incontesté en la matière sur Internet… au détriment des utilisateurs ?

Le 1er mars dernier, Google a en effet mis à jour sa politique de confidentialité. Au programme notamment, une récolte d’informations sur divers supports, que l’entreprise peut désormais croiser pour affiner ses publicités. Il est donc possible d’utiliser les données GPS de votre smartphone Android, votre historique de recherche et votre profil Google+ pour proposer des annonces très ciblées. Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2012. L’heure est aux traditionnels bilans de fin d’année ! Même si elle n’est pas encore tout à fait terminée, on peut dire que 2012 aura été une année plutôt riche en ce qui concerne les média sociaux : le milliardième membre sur Facebook, la montée en puissance de Pinterest, les levées de fonds toujours plus énormes… Les chiffres traduisent l’engouement pour les médias sociaux, dont l’usage ne faiblit pas.

Mais que faut-il retenir de cette année 2012 ? Nous avons compilé ici 50 chiffres marquants, qui résument bien ce qu’il s’est passé sur les médias sociaux au cours des 12 derniers mois. En attendant 2013… Facebook Twitter Youtube 4 milliards de vidéos sont vues chaque jour935 millions : le nombre de vues de la vidéo Gangnam style aujourd’hui… Le milliard approche.Youtube a fêté ses 7 ans en mai 201272 heures de vidéos sont uploadées chaque minute sur Youtube700 vidéos Youtube sont partagées sur Twitter toutes les minutesEn moyenne, un visiteur de Youtube y passe 15 minutes par jour Pinterest.

Identité numérique. Budget Participatif (Quartier du Plateau Mont-Royal) | Open Data. Montre-moi ton Facebook et je te dirai ta maladie mentale ? Faudra-t-il un jour autoriser son psychiatre ou son psychologique à accéder à son profil Facebook pour accélérer le diagnostic d'une maladie de l'âme ? Des chercheurs de l'Université du Missouri ont découvert dans une étude publiée dans Psychiatry Research (et relayée par Cnet) qu'il y avait un lien entre certains symptômes de troubles psychiatriques et l'activité des pages Facebook.

Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont demandé à 221 étudiants de bien vouloir communiquer leur activité Facebook, et de se soumettre à une analyse de leur degré de schizotypie, manifesté par différents symptômes comme l'anhédonie, c'est-à-dire la difficulté voire l'incapacité à ressentir des émotions positives dans des situations qui devraient être considérées comme plaisantes, tel que le fait de discuter avec des proches. La page Facebook peut parler plus que le patient Bien sûr, un tel examen du profil Facebook ne peut se faire qu'avec l'accord du patient. Les usages Internet des jeunes : La quasi-totalité des jeunes est connectée à Internet. Comment les jeunes utilisent Internet et le mobile : Le mobile, plus important qu'Internet et que la Tv. JEUX EN LIGNE – Il embauche des tueurs à gages pour assassiner l’avatar de son fils.

Conseillers TICE auprès des recteurs - Conseillers TICE auprès des recteurs. Le DAN pilote une mission académique pour le numérique éducatif (MANE). Il anime aussi des personnels en EPLE (référents numériques, etc.) et des personnels ayant une mission académique (Interlocuteurs académiques TICE disciplinaires, etc.) Il s'appuie notamment sur les IEN TICE pour le 1er degré. Rôle et activités du délégué académique numérique (DAN) L'activité du délégué académique numérique s'articule autour de quatre axes essentiels : Elle se déploie en synergie avec les initiatives menées par les différents réseaux et acteurs académiques, le réseau Canopé, corps d'inspection, etc. Les délégués académiques numériques font partie d'un réseau national animé par la DGESCO.

Liste des délégués académiques numériques. Neutralité du Net : le bâton de Pellerin. La table ronde qui s’est tenue hier matin au ministère de l’Economie a bénéficié d’un petit miracle : le caprice de Free, qui a décidé unilatéralement le jeudi 3 janvier de bloquer les publicités de Google chez tous ses abonnés Internet (ou du moins tous ceux équipés de la dernière Freebox). Sans cette actualité brûlante et polémique, le raout sur un sujet aussi peu riant que la «neutralité du Net» n’aurait sans doute pas eu un tel succès : 150 personnes, facile. Pour rappel , le blocage des pubs par Free durant quelques jours cachait une mesure de rétorsion contre Google, qui utilise gratuitement l’infrastructure des fournisseurs d’accès (les «tuyaux» d’Internet) pour acheminer vers les internautes ses contenus très gourmands en bande passante, comme les innombrables vidéos HD disponibles sur YouTube.

«Actuellement, c’est la loi de la jungle , résume le député PS Christian Paul. On le voit avec Google et Free : chacun tente de se faire justice lui-même.» Sur le même sujet : Neutralité du Net : Bruxelles vante un Internet « différencié » La bataille qui oppose Free et Google , après celle qui confronta Orange au géant des câbles Internet Cogent en 2011, a au moins le mérite de faire parler de la neutralité du net. Hier, la ministre déléguée à l'Economie numérique organisait ainsi une table ronde sur ce principe fondateur du réseau qui veut que les flux de communications électroniques ne subissent aucune discrimination entre leur émetteur et leur destinataire. C'est-à-dire que tout le monde puisse avoir accès au même Internet, et à l'Internet tel qu'il est vraiment.

Aujourd'hui, c'est la commissaire européenne chargée de la Société numérique, Neelie Kroes, qui revient sur le sujet au nom de la Commission de Bruxelles. Dans une tribune que publie Libération, c'est bien la neutralité du Net qui est directement visée. Après deux consultations auprès des 27 pays membres de l'UE menées en trois ans, la commissaire s'aligne là sur les dernières positions très libérales de la Commission. . « [...] Sophian FANEN. Le Conseil national du numérique cherche un nouvel équilibre. Nouvelle année et nouvelles têtes pour le Conseil national du numérique, cette instance consultative imaginée puis mise en place par Nicolas Sarkozy en avril 2011 . À l'époque, le Parti socialiste avait vivement critiqué la création d'un tel conseil, avec ses nominations «monarchiques» et la sur-représentation du «monde économique» dans sa composition -- un gang de PDG et de web-entrepreneurs.

Mais, une fois au pouvoir, les socialistes ont fini par trouver un intérêt à ce «CNNum», comme on l'appelle en raccourci. Pour lui donner «un nouveau souffle» , les responsables du recrutement ont bien élargi leurs critères. La ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, espère ainsi «un vrai équilibre entre toutes les compétences et tous les points de vue.» La photo de classe a été prise ce matin au ministère de l’Économie. . - Bernard Stiegler , philosophe et directeur de l'Institut de Recherche et d'Innovation - Tristan Nitot , président de Mozilla Europe.

« Il y a un risque d’Internet à plusieurs vitesses » Chargée de recherche à l’Institut des sciences de la communication du CNRS, Valérie Schafer a coécrit l’an dernier, avec Hervé Le Crosnier, la Neutralité de l’Internet : un enjeu de communication (CNRS Editions). Le récent conflit entre Free et Google a porté sur la place publique la notion de neutralité du Net. Mais depuis quand le débat est-il ouvert ? La neutralité du Net n’a pas toujours été un enjeu, car Internet était à l’origine un outil scientifique. C’est dans les années 90, avec le tournant du Web [réseau de pages reliées par des liens et consultables dans un navigateur, ndlr] et le développement des usages grand public et commerciaux, que le réseau s’est complexifié.

Il a acquis une structure verticale, avec une masse d’internautes qui émettent des requêtes vers de grandes bases de contenus. Pourquoi la neutralité est-elle un enjeu important pour ces internautes ? A quoi ressemblerait cet Internet à plusieurs vitesses ? Oui. Paru dans Libération du 15 janvier 2013. Facebook étudie sérieusement la question. Que fait Facebook de la quantité astronomique d'informations accumulées sur chacun de ses membres ? Aujourd'hui, nous avons enfin la réponse : il mijote un moteur de recherche. Mais attention ! Pas un bête moteur à la papa -- comprendre «à la Google» -- qui «analyse des requêtes très ouvertes pour fournir des liens susceptibles de contenir la réponse» . Non non non ! Le nom de l'outil : Recherche dans le graphe (c'est limpide). Expliquons le principe par l'exemple. Mais le moteur de recherche est en réalité bien plus puissant que cela. Un dernier pour la route ? De tels recoupements d'informations «représentent un défi technique très pointu» , expliquait Zuckerberg hier soir.

Bien entendu, et heureusement, les paramètres de confidentialité seront respectés . Facebook a par ailleurs annoncé un partenariat avec Bing, le moteur de recherche de Microsoft, pour traiter toutes les questions auxquelles le Graph Search ne saura pas répondre par lui-même. Documents. Assises de la Médiation Numérique au services des territoires et de leurs habitants. Dossier société numérique et citoyenneté. Www.bnf.fr/documents/biblio_citoyennete_numerique.pdf. Comment développer et transmettre une culture numérique ? Démocratie et citoyenneté à l'ère numérique. Comprendre les nouvelles formes de citoyenneté à l’heure du numérique. Démocratie numérique. Nouvelles technologies au service des citoyens. Innovations democraTIC.