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Copé appelle Hollande à désavouer Lurel sur Chavez. Chavez, un bilan. Je livre ce bilan du gouvernement Chavez , en 50 points, que signe Salim Lamrani.Salim Lamrani est connu depuis de nombreuses années pour ses positions pro-castristes. Il est l'un des rares en France à essayer de montrer comment les informations dont nous disposons et les analyses qui sont faites sont tronquées, malveillantes et hypocrites. Nous ne sommes pas toujours d 'accord mais je dois saluer en Salim un journaliste qui connait son sujet et raille et combat, avec moi, les raouts mondains et germanopratins d'une prétendue intelligentzia française contre les dénis de la démocratie tant à La Havanne qu'à Caracas.

Ce bilan s 'adresse aussi à Dany Cohn-Bendit qui récemment s 'est publiquement étonné des amitiés dangereuses de Chavez, devenu de ce fait lui-même peu recommandable. Pourrais je rappeler à Dany que nos démocraties et nos gouvernants manient le mensonge et la terreur sans que cela t'empêche de leur parler. Mais voici le bilan que tire Salim : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. ARGENTINE • “Hugo, apprends-moi à gouverner” Renationalisation du pétrole, restrictions économiques, autoritarisme. “L’Argentine ressemble de plus en plus au modèle vénézuélien”, critique l’opposition. Une vision partagée par cette correspondante canadienne. “Bravo Cristina, tu es sur la bonne voie ! Maintenant, je vais t’apprendre à exproprier !”

Devant un public hilare, un imitateur d’Hugo Chavez offrait récemment une leçon de socialisme à une actrice personnifiant Cristina Kirchner. Le parallèle peut sembler risqué tant les différences culturelles et structurelles sont fortes entre les deux pays. La plus emblématique est l’expropriation en avril de l’entreprise pétrolière espagnole Repsol. Ces restrictions touchent surtout la classe aisée, qui économise en dollars pour se prémunir des crises et dévaluations à répétition.

Autre point commun, Cristina Kirchner a créé un “levier de croissance” inédit en Amérique latine hors Venezuela : une réforme des statuts de la Banque centrale permet de puiser dans ses réserves. Le phoenix tranquille. Il est le 52e et actuel président de la République bolivarienne du Venezuela depuis le 2 février 1999 «Si le climat était une banque, les pays occidentaux l'auraient sauvé» Hugo Chávez On a tout dit de Chávez en Occident si ce n'est pour le présenter encore et toujours sous un jour couleur de soufre.

Qu'a-t-il fait de répréhensible pour mériter pareille opprobre? Assurément les élections de ce dimanche 7 octobre où 19 millions d'électeurs sont invités à élire un nouveau président de la République, seront un test de l'impopularité ou de l'affection que lui portent les Vénézuéliens. Il aura à affronter six candidats. Qui est Hugo Rafael Chávez Frías? Les avancées sociales au VenezuelaJean-Luc Melenchon et Ignacio résument assez bien la kabbale injuste contre Hugo Chávez. Justement à propos d'électionsIl n'est pas étonnant de ce fait que les Etats-Unis traitent le gouvernement du Venezuela de dictature. (54) Aujourd'hui :... Coup de gueule d'une française de Caracas (Vénézuéla) suite au JT de F2 le 3 Octobre à 20h sur Hugo Chavez.

Venezuela : France 2 se plante et se corrige… un peu. I. Avant le scrutin Quelques jours avant les élections au Venezuela, quelques médias - en général peu prolixes sur la question – se sont tout de même bien sentis obligés de s’y intéresser … ou de feindre de le faire. France 2, à la différence de ceux qui ont carrément préféré occulter la chose, s’y est risqué. Sauf que… En ouverture des titres du journal télévisé du 3 octobre 2012 [1], David Pujadas, avec la grandiloquence qu’on lui connaît, annonce : « Dans l’actualité également : modèle ou contre-modèle ? Le Venezuela, cité en référence par la gauche radicale du monde entier s’apprête à voter.

Pour la première fois, Hugo Chávez, au pouvoir depuis 14 ans, n’est pas assuré d’être réélu [2] » . « Despote ou visionnaire ? Le bouillonnant Pujadas est un connaisseur : « On vote au Venezuela dimanche, où le bouillonnant président Hugo Chávez, 58 ans, défenseur d’une révolution socialiste, brigue un nouveau mandat après 14 ans au pouvoir.

Le « sujet » proprement dit est alors servi. II. I. DANS LES KIOSQUES • Chávez : vérités et mensonges. Cette semaine, Courrier international brosse le portrait du président Hugo Chávez, l’homme qui en treize ans de pouvoir a transformé le Venezuela. Malgré son cancer, il se présente de nouveau devant les électeurs, le 7 octobre. ■ ÉDITORIALHugo Chávez : le Shadok des Caraïbes Quand Hugo Chávez est arrivé au pouvoir, en 1999, le pétrole se négociait à 11 dollars le baril. Treize ans plus tard, l’incombustible président vénézuélien brigue un quatrième mandat – avec de grandes chances de succès. Entretemps, le prix du baril a été multiplié par dix, et Chávez, tel un Shadok*, a pompé, pompé, pompé… pour le meilleur et pour le pire.

Côté pile : les Vénézuéliens pauvres sont aujourd’hui moins démunis grâce aux nombreux programmes sociaux de la "révolution bolivarienne", financés par le brut extralourd du bassin de l’Orénoque, qui se jette dans la mer des Caraïbes. Jean-Hébert Armengaud, Rédacteur en chef de Courrier international Voir le sommaire de ce numéro >>> Lire cet article >>>

Martine Billard : « Rompre avec les mensonges sur Chavez » Martine Billard, co-présidente du parti de Gauche français, suit les élections vénézuéliennes depuis Caracas. Ce texte vient en réponse à la tribune de Vicente Ulive, qui expliquait sur Rue89 pourquoi il ne voterait pas pour Hugo Chavez dimanche. Tribune Dimanche 7 octobre aura lieu l’ élection présidentielle au Venezuela.

Alors que j’ai déjà été dans plusieurs pays du cône sud de l’Amérique Latine (Chili, Argentine, Uruguay, Bolivie, Pérou), ou que je me suis intéressée à d’autres (Paraguay, Equateur), jusqu’ici mon attention s’était peu portée sur le Venezuela et mes informations se limitaient surtout à ce qui apparaît dans la presse française. Or le discours général des médias français consiste surtout à expliquer que le gouvernement de Chavez s’apparente à une dictature, qu’il n’y a pas de liberté de la presse, que tout est fait pour empêcher l’opposition de s’exprimer. Aussi, j’ai accueilli positivement la possibilité d’aller voir sur place. Des médias engagés mais pluralistes. Présentation du Venezuela. Chavez : quand Mélenchon inspire Dupont-Aignan. Nicolas Sarkozy avait commandité l'assassinat d'Hugo Chavez. La ministre vénézuélienne des Services pénitentiaires, Iris Varela, a annoncé sur son compte Twitter l’expulsion d’un ressortissant français connu sous le nom de Frédéric Laurent Bouquet, le 29 décembre 2012.

M. Bouquet (photo) avait été arrêté à Caracas, le 18 juin 2009, avec trois ressortissants dominicains, en possession d’un arsenal. La police scientifique avait saisi dans l’appartement qu’il avait acquis 500 grammes d’explosifs C4, 14 fusils d’assaut dont 5 avec visée télescopique, 5 avec visée laser, et 1 avec silencieux, des câbles spéciaux, 11 détonateurs électroniques, 19 721 cartouches de différents calibres, 3 mitraillettes, 4 pistolets de différents calibres, 11 équipements radio, 3 talkies walkies et une base radio, 5 fusils de chasse calibre 12, 2 gilets pare-balles, 7 uniformes militaires, 8 grenades, 1 masque à gaz, 1 couteau de combat et 9 bouteilles de poudre à canon. Durant son procès, M. M. Le deuil du bruit et de la fureur d’une Nation libre. Ce soir, un lourd silence s’étend depuis le cœur du Venezuela.

Une des grandes voix du monde libre s’est éteinte. Le président Hugo Chavez, qui avait si souvent trompé la mort, n’a pas pu gagner son dernier combat. En 1999, un homme qui se veut « le fléau de l’oligarchie et le héros du peuple » est porté au pouvoir par les suffrages d’une très large majorité des Vénézuéliens. Ce soutien indéfectible de la nation, Hugo Chavez le trouvera toujours dans le verdict des urnes qu’il a scrupuleusement respecté.

Hugo Chavez était une révolte. On ne bouleverse pas le destin d’une Nation sans erreur. Un peuple n’est pas libre quand il est tétanisé par la misère ; une nation n’est pas libre quand ses dirigeants se couchent devant les intérêts étrangers. Désormais, les Vénézuéliens sont libres. Toute légende vivante a ses failles mais elle anime un peuple fier d’être libre. Nicolas Dupont-Aignan Député de l'Essone Président de Debout la République. Analyses d'Alain Soral sur Hugo Chavez. Vous appuyez là où ça fait mal. Le chavisme c’est un double standard idéologique nord/sud, avec un discours "de gauche" altermondialiste pour l’hémisphère nord (anti-militarisme, immigrationnisme, etc.) et un discours néonationaliste "de droite" pour l’hémisphère sud (militarisme, défense des frontières, catholicisme...)

Le Sud étant historiquement "victime" du Nord, il peut revendiquer un droit à la Nation et au souverainisme que les pays occidentaux auraient essentiellement perdu en oppressant et en dominant les autres peuples. Ces pays doivent réparer ou compenser les injustices commises en acceptant l’ouverture des frontières, les prise en charge des victimes de la pauvreté engendrée par les guerres, les multinationales, etc.Je schématise, mais cette rhétorique sudiste est présente dans les discours de Chavez.

Dire de lui qu’il aurait soutenu un programme gaullien ou qu’il aurait partagé les valeurs d’un le pen, rien n’est moins sûr... Venezuela: un Français expulsé après avoir purgé 4 ans de prison pour tentative d'assassinat de Chavez. Chavez à la différence de Thatcher. Hugo Chavez, un missionnaire de l'économie solidaire. Par Jean-Jacques Kourliandsky, chercheur à l'IRIS, spécialiste de l'Amérique du Sud Le Venezuela est un pays de taille et d'économie modeste. La mort d' Hugo Chavez , son président, le 5 mars, est à l'image de sa vie, paradoxalement médiatisée à l'extrême.

Il est vrai qu'il jouait, se jouait et acceptait de jouer avec les medias. Qui le lui rendaient bien. Ses foucades télévisées, ses mots à l'emporte pièce, faisaient mouche. Etait-il chef d'une démocratie populaire ? Avait-il mis sous tutelle étatique l'économie de son pays ? Le décor ainsi posé pourtant cachait une réalité plus complexe. La vraie rupture aura été celle de la solidarité. Solidarité extérieure également, qui a été aussi politique d'influence avec le Sud, le Sud voisin de la Caraïbe et d'Amérique du Sud, le Sud plus lointain d' Afrique et du monde arabe. La priorité donnée au pétrole est à la base de cette solidarité nationale et extérieure, définie par le régime comme "socialisme du XXI e siècle".

Hugo Chàvez, cet homme en était vraiment un. Mince, entre Joseph Staline et Hugo Chávez, c’est le jour des autocrates de combat ! On ne devrait jamais dire ça, histoire de ne pas relayer le discours des médias dominants. Car si Staline prit le pouvoir par la terreur, Chávez le fit par les urnes. Et en trichant sûrement moins qu’un Jacques Chirac à Paris… Mais qu’il nous soit permis, à l’heure du dernier bilan, de rappeler ces petites choses, déjà publiées sur ce site il y a quelques semaines, à l’heure où le grand homme était au plus mal.

Au nord du continent américain, la colonisation s’est faite par le génocide ; il paraît que Dieu avait donné cette nouvelle Terre promise aux allumés du Mayflower. Au sud, ce ne fut que massacres et pillages, mais ayant laissé assez d’Indiens en vie pour qu’ils soient encore aujourd’hui majoritaires. Mais puisque bilan il doit y avoir, on admettra, à son crédit : • L’analphabétisme, fléau national, a ainsi disparu dès 2006, bilan confirmé par l’UNESCO. À son débit maintenant : Observatoire du Venezuela.