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Comprendre les concepts

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Sans titre. 1 Le numéro a été coordonné par une équipe d’enseignant-e-s et de chercheurs et chercheuses qui ont c (...) 1De la transformation de la formation des enseignant-e-s aux refontes successives des dispositifs d’éducation prioritaire, les quinze dernières années ont été marquées par une transformation rapide et profonde des conditions de scolarité et d’enseignement. Ces évolutions ont été analysées par la production scientifique prenant pour objets l’école et l’éducation1. Les sociologues et les chercheurs et chercheuses en sciences de l’éducation ont examiné les dispositifs d’ouverture sociale (Allouch et Van Zanten, 2008 ; Pasquali, 2009) ou encore l’orientation des élèves du collège et du lycée dans un contexte de crise économique (Palheta, 2012). 2 On consultera avec profit les textes du dossier sur l’« émancipation scolaire » dans le numéro 17 d (...) 3Un double mouvement est donc à l’œuvre dans ce numéro. 18Reste à savoir si l’école est bien le lieu de cette revalorisation.

Les 10 leçons sur l’empowerment de Marie-Hélène Bacqué. Le 20-03-2013 Par Erwan Ruty Sociologue spécialiste des quartiers, la nouvelle coresponsable de la mission sur la participation des habitants confiée par le ministre de la Ville François Lamy, publie avec Carole Biewener un opuscule dédié à ce nouveau fétiche venu d’outre-atlantique, l’empowerment. Pour réveiller la démocratie locale, participative, communautaire ? On en rêve, mais on peine à y croire. Un concept américain Comme tout ce qui brille, qui fait de la mousse et qui fait courir les médias, l'empowerment est une invention américaine, remontant aux années 1970. Un concept qui fut radical L'empowerment est un processus par lequel des individus vont se responsabiliser et se doter d'une conscience sociale, qui peut devenir collective, leur permettant de s'émanciper et de développer des capacités d'action pour se prendre en charge eux-mêmes, et changer leur environnement.

L’empowerment à usage des féministes et des minorités Noires Internationalisation de l’empowerment. Qu'est-ce que la conscientisation. Qu'est-ce que la conscientisation ? Raymond Debord Version rédigée d'un exposé présenté en juin 2004 sur la base du document "la conscientisation" édité par le Collectif québécois de conscientisation Définition de la conscientisation : "Processus d'apprentissage et d'interinfluence entre des groupes de personnes de la classe populaire, immergées dans des situations d'exploitation, de domination et d'aliénation, et des intervenantes et intervenants intérieurs ou extérieurs à la classe populaire, interpellés par ces situations et visant à les changer dans une interaction dialectique avec un processus plus global de transformation politique de la société" (Collectif de conscientisation).

Si l'homme n'est pas le "Sujet" avec un grand "S" de l'histoire (ni d'ailleurs le Prolétariat avec un grand "P") il est un sujet, un acteur dans l'histoire qui est celle de la lutte des classes (1). On ne peut pas agir sans savoir pour commencer à qui on s'adresse. Notes Sur le même sujet : André Gorz, penseur de l’émancipation. Ce portrait d’André Gorz sera suivi de deux points de vue critiques et inédits sur son œuvre, l’un que Robert Castel a écrit pour la Vie des Idées en octobre 2012 (« Salariat ou revenu d’existence ?

Lecture critique d’André Gorz »), l’autre de Bernard Perret (« Écologie et émancipation. Penser avec et contre Gorz »). Dans la cartographie du paysage intellectuel européen de la critique sociale depuis les années 1960, la figure d’André Gorz se distinguerait par son originalité et sa singularité. Son œuvre de philosophie sociale et politique occupe incontestablement une place à part, à la fois reconnue et méconnue.

Il y a plusieurs manières de faire le portrait intellectuel d’un auteur. Les trois premiers ouvrages de Gorz sont de purs essais philosophiques : Fondements pour une morale (publié dans une version allégée en 1977 mais écrit entre 1946 et 1955) ; Le Traître (1958) et La Morale de l’Histoire (1959). La disparition du travail. [Democratie Participative] Lexique pour une citoyenneté active - Paul MASSON. Acteurs de Culture et Liberté Les acteurs de Culture et Liberté, ce sont les personnes qui agissent dans le mouvement. A sa création, Culture et Liberté « association pour le développement culturel du monde du travail », est animé par des acteurs venus du monde du travail et s’adresse à d’autres acteurs du monde du travail.

Le public animateur du mouvement et le public bénéficiaire de l’action, est le même. Progressivement, cette situation va changer. En 1995, le mouvement repense ce concept avec le triangle des acteursles acteurs sont l’ensemble de ceux qui ne sont pas satisfaits de la société qui engendre des exclus et entendent agir dans l’association pour transformer cet état de chose. Les « usagers » : porteurs de créativité et d’un avenir possible. Les « travailleurs » ou « salariés » de Culture et Liberté, en capacité de mener un processus de changement. Ce concept suppose que les trois types d’acteurs soient associés pour l’élaboration du projet de Culture et Liberté. Travail Social. Érudit | Dépôt de documents: Cadre de référence pour l'appropriation du pouvoir d'agir personnel et collectif. Le DPA des personnes et des collectivités : une autre approche des pratiques sociales. Article publié dans le n°232/2009-1 de la Revue Française de Service Social reproduit avec l'aimable autorisation du comité de rédaction.

Le développement du pouvoir d’agir des personnes et des collectivités : une autre approche des pratiques sociales Claire Jouffray et Bernard Vallerie Dans le cadre de cet article, nous présentons quelques caractéristiques d’une approche innovante des pratiques sociales. L’approche dite du « développement du pouvoir d’agir des personnes et des collectivités ». Terme est fréquemment utilisé dans des secteurs très différents (politique, entreprise, management, social, etc.), nous limitons notre réflexion au champ des pratiques sociales et ne nous prononcerons pas sur sa pertinence dans les autres secteurs .

Quelques repères formalisés à partir de pratiques sociales ayant fait la preuve de leur pertinence. Des praticiens du social, nous précisons les conditions d’émergence de la notion de développement du pouvoir d’agir des personnes et des collectivités, son. Bernard-vallerie-dc3a9veloppement-pouvoir-dagir.pdf (Objet application/pdf) Textes de références. L'Empowerment. La notion d’empowerment (litteralement “augmentation de la capacité d’agir”) renvoie à un ensemble varié de pratiques qui peuvent être sous-tendues par des présupposés théoriques divergents. Il s’agit ci-dessous de donner un aperçu de cette diversité, de l’expliciter et de la discuter.

L’empowerment contre les logiques d’assistanat et de dépendance La notion d’empowerment laisse entendre l’existence de sujets dont la capacité d’agir est faible. Cette faiblesse ne serait pas naturelle, mais sociale. Elle pourrait donc être corrigée par un processus visant à augmenter cette capacité d’agir. La démarche d’empowerment s’opposerait ainsi à une attitude qui, face à l’inégalité sociale, à la domination, présente ceux qui sont en bas comme des victimes passives, incapables d’agir par elles-mêmes et ainsi vouées à l’assistanat et donc à la dépendance.

Empowerment psychologique et empowerment individuel - L’empowerment psychologique: - L’empowerment comme capacitation des individus: Dir. Consultation. Pour consulter le Dictionnaire, il suffit de cliquer sur la famille qui vous intéresse. Pour chaque mot vous trouverez indiqué le ou les auteurs et leur appartenance institutionnelle, les mots proches en termes d'usage et les mots proches en termes de concept. Famille 1 Acteurs Famille 2 Notions Famille 3 Théories Famille 4 Dispositifs Famille 5 Termes en opposition Structurer un dictionnaire par ordre alphabétique est une des opérations les plus arbitraires que l’on puisse accomplir à l’égard des mots (Topalov : 2010). Ce choix relève également d’un souci d’intelligibilité et de visibilité immédiates de la logique de l’ensemble, qu’une liste alphabétique de mots ne saurait rendre au premier coup d’œil. On pourra utiliser le dictionnaire comme une carte qui guide parmi les interstices du flou, qui aide à intercepter les « faux amis » de la participation.

Le dictionnaire, on l’a dit, peut s’exploiter comme une carte qui guide. Axes Transversales Consultation provisoire. Dire, penser et pratiquer la participation. Le Dictionnaire critique et interdisciplinaire des mots de la participation Un programme de recherche Deux constats majeurs sont à la base de la vaste entreprise éditoriale qu’est le premier Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation. D’une part, la conjoncture historique actuelle marquée par des formes renouvelées de mobilisation et de participation oblige les théoriciens et les praticiens de la participation à se mettre en résonance avec des phénomènes tels que le mouvement Occupy, les Indignés, les révolutions arabes, le parti Pirate allemand, etc.

Ces pratiques de mobilisation politique citoyenne à différentes échelles non seulement ont reconfiguré l’espace politique, mais elles ont également produit de nouveaux mots pour appréhender le monde et rempli d’un sens inédit les anciens mots du politique. Ce projet a donc pour objectif de « recenser » les mots à travers lesquels l’on définit, l’on pratique et l’on théorise la participation. Un projet éditorial.