background preloader

Recherche sur l'embryon

Facebook Twitter

Des cellules souches embryonnaires créées à partir de cellules adultes. CELLULES SOUCHES. Les cellules souches embryonnaires sont les seules cellules capables de se différencier en tous types de cellules de l’organisme (cardiaques, hépatiques, pulmonaires...), qui en compte 200, et de se multiplier sans limite. Elles sont dites "pluripotentes". Des cellules du nouveau-né aux cellules d'adultes PRÉCÉDENT. Ce n'est pas la première fois que des scientifiques arrivent à créer des cellules souches embryonnaires par clonage : après de nombreuses tentatives infructueuses, c'est le Dr Shoukhrat Mitalipov, de l'Université de la santé et des sciences de l'Oregon aux Etats-Unis, qui réussit cette prouesse le premier, en 2013.

ADULTES. Un clonage thérapeutique visant surtout les personnes âgées par clonage thérapeutique, mais uniquement depuis des cellules d’un nouveau-né. PROTOCOLE. Des risques de dérapage ? ÉTHIQUE. HISTORIQUE. Décision du 3 mars 2014 portant autorisation de protocole de recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines en application des dispositions de l'article L. 2151-5 du code de la santé publique (partie législative)

The Absurd Fate of Frozen Embryos. La recherche sur l’embryon au mépris du droit. Prix Nobel de Médecine et cellules souches - La France doit choisir : obstination délétère ou réussite éthique ? La communauté scientifique internationale tout entière célèbre le prix Nobel attribué aux chercheurs qui ont découvert la reprogrammation cellulaire des cellules adultes en cellules souches, sans détruire d’embryons humains. En même temps, le Sénat français s’apprête, lundi 15 octobre, à graver dans le marbre un texte anachronique et inutile qui donne la priorité aux cellules souches obtenues après destruction d’embryons humains. Le contraste est saisissant, le retour sur les faits serait comique s’il n’était tragique… La magnifique avancée scientifique des cellules reprogrammées (ou IPS), publiée en 2006 et 2007, est issue des travaux effectués par le Pr.

Yamanaka en 2004-2005. En France, les institutions et les chercheurs proclamaient que les cellules embryonnaires constituaient la base de la médecine régénératrice de demain. En 2005, M. La Fondation Jérôme Lejeune se réjouit de cette remise du Prix Nobel au Pr. Aujourd’hui, la France est "hors du coup" Des eurodéputés torpillent la recherche sur l’embryon. Le Comité pour les Affaires légales du Parlement européen a demandé ce mardi à l’UE de ne pas financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humain - ce qui est déjà le cas.

Mais de manière plus fondamentale, ce comité recommande également d? Interdire carrément la recherche qui recourt aux cellules humaines embryonnaires. Dix-huit eurodéputés contre cinq ont voté cet avis qui s’inscrit en amont de la décision qu’auront à prendre dans les prochains mois le Parlement européen et le Conseil des ministres dans le cadre d’Horizon 2020, le prochain programme-cadre pour la recherche et l’innovation. Si cet avis devait être suivi, seules les recherches utilisant des sources alternatives (cellules souches adultes, par exemple) seraient financées à l? Avenir, alors que la majorité des chercheurs s’accordent à dire que les cellules embryonnaires humaines sont davantage prometteuses. Droit à la vie versus progrès scientifique. Directives politiques en faveur de la recherche sur l’embryon. Recherches sur l’embryon : les décisions de l’agence de la biomé.

Horizon 2020, embryons et cellules souches : un cadre assez contraignant. Conformément à ce qu'ont annoncé certains sites espagnols, l'Union Européenne ne financera pas plus la recherche sur l'embryon humain ou les cellules souches embryonnaires humaines qu'avant, mais pas moins non plus. Un résumé de la situation peut être trouvé ici (en anglais, une source qui a peu de chance d'être favorable aux interdictions). Il s'agit de règles qui s'appliqueront dans le cadre du programme Horizon 2020 qui couvre la période 2014-2020. - Le principe de subsidiarité s'applique : ne peut être financé dans un pays que ce qui est autorisé par ce même pays. - Le clonage humain reproductif ne sera pas financé, pas plus que la recherche permettant de modifier l'héritage génétique - en clair on ne peut faire de la thérapie génique que si les modifications ne peuvent pas être transmises. - Pas de financement pour la fabrication d'embryon à seule fin de recherche. - Pas de financement s'il y a destruction d'un embryon, y compris pour créer de nouvelles lignées cellulaires.

139876. Cellules souches: Des fonds publics pour une recherche controversée - Cellules souches Un laboratoire, soutenu par le Vatican, a obtenu 1,2 million de dollars de fonds publics américains pour ses recherches controversées sur des cellules souches issues de tissus adultes. Les cellules VSEL pourraient représenter une alternative aux cellules souches embryonnaires.Image: Reuters NeoStem, basée dans le New Jersey à l'est des États-Unis, travaille sur de petites cellules souches de type embryonnaire dites VSEL («very small embryonic like cells») dont des chercheurs réfutent l'existence.

Ces cellules se trouvent dans le sang et la moelle osseuse des adultes et peuvent, comme toutes les cellules souches embryonnaires, se transformer en n'importe quelles cellules du corps, affirment les chercheurs de NeoStem. Cette recherche a provoqué une controverse dans la communauté scientifique en raison du partenariat de NeoStem avec le Vatican et aussi du fait que trois études indépendantes n'ont pas pu confirmer l'existence de ces cellules.

Intérêt scientifique. 2013-674 DC du 01 août 2013. Loi tendant à modifier la loi n° 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique en autorisant sous certaines conditions la recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires Le Conseil constitutionnel a été saisi, dans les conditions prévues au deuxième alinéa de l'article 61 de la Constitution, de la loi tendant à modifier la loi n° 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique en autorisant sous certaines conditions la recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires, le 18 juillet 2013, par MM. Christian JACOB, Élie ABOUD, Yves ALBARELLO, Julien AUBERT, Olivier AUDIBERT-TROIN, Jean-Pierre BARBIER, Étienne BLANC, Mme Valérie BOYER, MM. Xavier BRETON, Olivier CARRÉ, Yves CENSI, Jérôme CHARTIER, Guillaume CHEVROLLIER, Dino CINIERI, François CORNUT-GENTILLE, Édouard COURTIAL, Mme Marie-Christine DALLOZ, MM.

Gérald DARMANIN, Bernard DEFLESSELLES, Patrick DEVEDJIAN, Nicolas DHUICQ, Mme Sophie DION, MM. Vu la Constitution ; Vu le code de la santé publique ; « Cellules souches : un fragile équilibre pulvérisé », par Arnold Munnich. LE MONDE | • Mis à jour le | Arnold Munnich (Professeur à l'université Paris-Descartes, chef du département de génétique de l'hôpital Necker-Enfants malades) La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche évoque la validation par le Conseil constitutionnel du projet de loi autorisant la recherche sur l'embryon humain.

Un texte qui, selon elle, devrait permettre à la France de combler son retard dans ce domaine. J'accompagne depuis vingt-cinq ans des patients et des familles concernés par les maladies génétiques à l'hôpital Necker-Enfants malades. C'est à ce titre que je prends la liberté d'exprimer sur cette question de société si sensible un point de vue bien différent. Je ne le fais pas pour des raisons d'ordre religieux. Je le fais en médecin, en chercheur soucieux du progrès médical, mais aussi en homme attentif aux convictions et au ressenti de nos concitoyens. Embryon, conscience et vérité : visées utilitaristes d'une société du bien-être. Texte du P. Brice de Malherbe, Professeur à la Faculté Notre-Dame de Paris, Co-directeur du département d’éthique biomédicale du Collège des Bernardins publié le 10 juillet 2013. Ce soir les députés français discutent d’une proposition de loi, soutenue par le gouvernement, visant à lever l’interdiction de principe des recherches sur l’embryon humain, ou les cellules souches issues d’embryons détruits, au profit d’un régime d’autorisation sous conditions.

La discussion aura lieu dans une précipitation fort peu démocratique. En effet, la loi de bioéthique actuellement en vigueur en France demande que toute réforme sur les questions éthiques et de société soit précédée par un débat public sous forme d’états généraux. Certains veulent donc aller plus loin et sacrifier totalement l’embryon humain à la passion intellectuelle de certains chercheurs et aux espoirs commerciaux de quelques industriels en faisant appel à ce qui devient chez nous une obsession de la santé parfaite.

JR_Binet_Recherche_sur_lembryon_loi_de_bioéthique_ou_loi_du_marche.pdf. Scandaleux embryons. Le Nouvel Observateur s’est laissé « piéger » par une campagne en faveur du droit des embryons humains… Scandale à gauche quant aux « valeurs » ainsi malmenées ! Il y a quelques années l’avocat Antoine Beau­­quier signait un ro­­man policier sur le thème des embryons congelés… On sait que les méthodes d’assistance médicale à la procréation ont conduit à la production d’un grand nombre d’embryons surnuméraires. Qu’en fait-on dès lors qu’ils ne font plus l’objet d’un projet parental ? Ils sont des centaines de milliers conservés dans des cuves à très basse température. Dans le roman, de très méchants laboratoires sont prêts à tous les crimes pour s’emparer de ce précieux matériau génétique.

Et le héros sauve l’honneur de la race humaine par un acte « terroriste ». Mais la vraie vie offre des rebondissements qu’aucun romancier n’oserait imaginer. 1/ Obtenir une exception à la loi sous prétexte que cela se fait déjà. 2/ Transformer l’exception en règle. 3/ Rendre obligatoire l’exception… Le législateur est-il dépourvu de sens moral ? Cette nuit, le Sénat a voté à la dérobée la légalisation de principe des expériences sur l’embryon humain et les cellules souches humaines. Ce faisant, la gauche a fait une nouvelle démonstration de son mépris du débat, en même temps que d’un rare ultra-libertarianisme et du plus rétrograde des aveuglements idéologiques. Voilà pour l’entrée. Attendez le dessert, parce que le plat principal ne m’a pas rassasié.

S’il n’est pas directement lié aux manifestations préalables de la même animosité, cet épisode vient s’ajouter à une semaine chargée, au cours de laquelle une gauche pourtant majoritaire et dominante n’a eu de cesse d’écraser le débat. Jeudi dernier, au matin, c’était le sénateur PS Roger Madec qui plongeait le tournage de dans le noir parce qu’il désapprouvait le choix de l’invité. L’après-midi, on se demandait si les responsables des religions étaient auditionnés par une commission d’enquête, en lieu et place de la commission des lois.

Bref, l’affrontement est de mise. Ainsi M. Sciences et Avenir a rencontré Shinya Yamanaka, le Nobel de médecine 2012. LABORATOIRES. Shinya Yamanaka a reçu le prix Nobel de physiologie et de médecine 2012 avec John Gurdon (que nous avons interviewé dans son laboratoire, à Cambridge). M. Yamanaka était à Paris le 12 novembre 2012, pour son tout premier voyage dans la capitale. Sciences et Avenir l’avait rencontré lors de sa visite des laboratoires de Cellectis (voir ci-dessous) qui a lancé le 8 juillet 2013 une offre commerciale inspirée des travaux du Nobel 2012. CELLULES iPS. Cellectis est une entreprise française, créée en 1999 et spécialisée dans l’ingénierie des génomes. Elle a acquis dès 2010 des licences sur plusieurs brevets déposés par le Cira, le laboratoire de Shinya Yamanaka au Japon, et travaille aujourd’hui sur les techniques de reprogrammation de cellules adultes en cellules iPS (cellules souches pluripotentes induites).

Sciences et Avenir a rencontré Shinya Yamanaka... par sciencesetavenir La voie des cellules souches pluripotentes induites pourrait-elle se dégager ? DÉGÉNÉRESCENCE. Détail d'un texte. NIH Wins Suit Challenging Legality of Research. La recherche sur l'embryon ne sera pas autorisée en France. Recherche sur l'embryon humain : business ou santé publique ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laurent Aventin, économiste de la santé, Alexandra Henrion Caude, chercheur à l'INSERM, Alain Privat, ancien chercheur à l'INSERM Le 11 mai 2011, la Commission spéciale bioéthique de l'Assemblée nationale s'est prononcée en faveur d'un régime d'autorisation pour la recherche sur l'embryon humain et les cellules souches embryonnaires humaines (CSEH), validant ainsi le vote des sénateurs un mois plus tôt.

Un amendement du rapporteur Jean Leonetti visant à rétablir le régime d'interdiction avec dérogations, a été rejeté par 21 voix contre 19. Or, la recherche sur les cellules embryonnaires humaines impliquant la destruction de l'embryon humain pose un problème éthique. Souvent considéré par l'opinion publique comme une affaire de spécialistes, cet enjeu reste éloigné des préoccupations des citoyens. Pourtant, il engage l'avenir de la société. Les cellules embryonnaires humaines : quelle utilité thérapeutique ? L'embryon humain, un "matériau" rentable ?

Recherche sur l'embryon : La France adopte une clause de conscience. Pour les soignants et les chercheurs | 1988 clics ROME, Vendredi 28 janvier 2011 (ZENIT.org) - En France, la commission parlementaire spéciale sur la bioéthique a adopté une « clause de conscience » pour les soignants et les chercheurs amenés à « travailler » sur les embryons humains et les cellules souches embryonnaires humaines, rapporte « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Lejeune. Toutefois la commission maintient le principe d'interdiction de recherche sur les cellules souches assorti de dérogations. « Aucun chercheur, aucun ingénieur, technicien ou auxiliaire de recherche quel qu'il soit, aucun médecin ou auxiliaire médical n'est tenu de participer à quelque titre que ce soit aux recherches sur des embryons humains ou des cellules souches embryonnaires autorisées », indique le texte de l'amendement UMP/NC adopté.

QAG Clayes et réponse X Bertrand 24 mai 2011 - une vidéo Actu et Politique. Bioéthique : réponse à Marc Peschanski. La réponse que Mgr Jérôme Beau et le Père Brice de Malherbe ont fait publier dans Le Monde du 8 avril pour répondre à la tribune de Marc Peschanski et à Cécile Martinat (Le Monde du 6 avril) mériterait d’être largement diffusée et commentée. Si l’évêque auxiliaire de Paris, directeur du collège des Bernardins et le responsable du département d’éthique biomédicale du même collège ont cru devoir intervenir, c’est parce que M. Peschanski et Mme Martinat, avaient parlé d’ « agression antiscientifique » et de « lobbying anti-science », pour reprocher à l’Église ses positions morales et incriminer son rôle dans la loi votée en 1994, loi qui s’opposait à l’utilisation des embryons. Mgr Beau et le Père de Malherbe font remarquer que les positions de l’Église sont strictement rationnelles.

Elles s’inscrivent, en effet, dans les règles définies par un Jürgen Habermas pour structurer la discussion entre citoyens. Chronique lue le 11 avril sur Radio Notre-Dame. Bioéthique : la mobilisation contre la recherche sur l’embryon s’intensifie. 55 députés ont lancé un appel en ce sens dans l’hebdomadaire « Valeurs actuelles », jeudi 19 mai, soulignant notamment les intérêts financiers en jeu pour l’industrie du médicament, tant en ce qui concerne la recherche sur les cellules souches embryonnaires qu’en matière de diagnostic prénatal Un appel dans la presse et une commission d’enquête parlementaire. Tels sont les deux volets de la mobilisation engagée par plusieurs députés de droite, quelques jours avant la discussion en deuxième lecture à l’Assemblée nationale du projet de loi de bioéthique. L’appel publié hier dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles a été signé par 55 élus UMP, Nouveau Centre et villiéristes, qui considèrent la levée du principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon comme une « grave transgression ».

Le pouvoir des lobbys et des intérêts financiers Une position inverse de celle défendue par cette même commission quelques mois plus tôt, lors de la première lecture à l’Assemblée. Annonce Pr Peschanski sur les cellules souches embryonnaires. Sociétés : Le Téléthon créé son laboratoire pharmaceutique. Le Téléthon : tour d’horizon des succès thérapeutiques. ***Coup de tonnerre à la Cour de justice de l'Union européenne. Le brevet et l’embryon. Interdition de breveter un procédé entraînant la destruction d'un embryon humain. Pas de brevet pour la recherche sur l’embryon humain - Propriété intellectuelle. Un sérieux coup de frein aux recherches sur les cellules souches embryonnaires. Par Thomas Roche et Cécile Boivin, Avocats.

Recherche sur l’embryon en France : les dérogations, caduques. Human embryos 'at risk of losing legal protection' in research | Science. L'embryon n'est pas un simple amas de matériel biologique. Actualité commentée: 6 mars 2010. Les cellules souches embryonnaires en débat - SANTE. [PDF] Les-Echos_Les-cellules-souches-embryonnaires-en-debat.

France : Une pétition pour s’opposer à la recherche embryonnaire. Le CCNE en tribunal des embryons (I) Le CCNE, tribunal des embryons (II) Japon: un singe paralysé remarche grâce aux cellules souches pluripotentes. Les promesses thérapeutiques des cellules iPS. Cellules CiD découverte de l'année 2010. L'inutilité de la recherche sur l'embryon : la preuve par l'intestin. L'inutilité de la recherche sur l'embryon : la preuve par Peschanski et ses collaborateurs. Le mensonge des partisans de la recherche sur l’embryon. Oct-3/4, Sox, Klf4 et c-Myc. Fondation Jérôme Lejeune : : Pour la recherche sur les maladies de l'intelligence d'origine génétique (Trisomie 21, X fragile...) : : - Dons en ligne. Alliance pour les Droits de la Vie : L'Alliance pour les Droits de la Vie proteste contre le soutien de Valérie Pécresse à la recherche sur l'embryon.

Décision n° 94-343/344 DC du 27 juillet 1994. Des parlementaires veulent autoriser la recherche sur l'embryon. Un rapport parlementaire en faveur des clones et chimères embryonnaires. Le "pas de deux" de Léonetti sur l'embryon - Société. A propos de la recherche sur l’embryon humain.