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Les couleurs du Moyen-Âge<br/>par Michel Pastoureau. Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Arts & éducation>Conférences de l'auditorium>Initiation à l'histoire des arts>Les couleurs du Moyen Age Les couleurs du Moyen-Âgepar Michel Pastoureau Conférences en ligne L’historien des représentations Michel Pastoureau nous entraîne dans une exploration des couleurs au Moyen Âge. En cinq cours, il présente les recherches qu’il mène depuis de nombreuses années, à la croisée de l’histoire sociale, de l’histoire de l’art, de l’histoire des sensibilités et de l’histoire des techniques : L'historien face à la couleur, Pigments et colorants, Pratiques et codes vestimentaires, Les couleurs du blason et la symbolique des couleurs, La révolution bleue des XIIe et XIIIe siècles.

L’historien face à la couleur Pourquoi et comment étudier l’histoire des couleurs ? Pigments et colorants Histoires et recettes des matières colorantes Pratiques et codes vestimentaires Vos commentaires Presse.

Romantisme, Romantismes. Romantisme noir européen. Redéfinir le symbolisme européen. Lucien Levy-DhurmerPortrait de Georges Rodenbach© DR - RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski A beaucoup d'égards, le symbolisme est le parent pauvre des courants de l'art moderne. Coincé entre le naturalisme et l'impressionnisme de la fin du XIXe siècle et les bouleversements esthétiques de l'expressionnisme et du cubisme du début du XXe siècle, le symbolisme peut paraître manquer d'identité bien définie. Etait-ce un mouvement tout à fait cohérent ou une série de courants culturels que l'on a rassemblés pour des raisons pratiques ? En tout cas, le symbolisme – avec sa fascination pour l'émotion et la suggestion – était un phénomène d'amplitude européenne, qui s'est manifesté aussi bien dans les arts visuels que la littérature, le théâtre et la musique. "Redéfinir le symbolisme européen" est un réseau international subventionné par le Leverhulme Trust.

Traduction assuré par le Cabinet Whyte : Approches sociologiques de l'art au XIXe siècle III. Approches sociologiques de l'art au XIXe siècle II. John Ruskin (1819-1900) et le nuage noir du XIXe siècle. Modernités de Baudelaire. Les Fleurs du Mal, 150 ans après : imagier, imaginaire, illustration. Correspondance des arts / Synesthésie. Le splendide XIXe siècle des surréalistes : héritage et détournement. Max ErnstL'eau© Adagp, Paris, 2009 Avec une force exceptionnelle, le surréalisme a libéré l'art de ses catégories esthétiques traditionnelles et passe aussi pour avoir libéré l'art tout court.

Il a entretenu cependant une relation fascinée et ambivalente avec les traditions artistiques du XIXe siècle. Poètes et romanciers du siècle passé (Chateaubriand, Swift, Nerval, Poe, Mallarmé...) ont joué le rôle d'"excitateurs" (Nadeau).Se fondant sur les mutations qui se sont opérées dans le domaine des idées politiques, du développement industriel, de la psychiatrie, de la philosophie ou de la morale, le mouvement surréaliste démontre la haute puissance de "dégagement" qui le caractérise. Quelle est la nature des relations qu'entretiennent les surréalistes avec le "splendide XIXe siècle" qui habitait André Breton ?

Les différentes contributions à ce colloque y répondent en examinant les recours et les stratégies de ce recours au XIXe siècle, entre appropriation, détournement ou rejet.