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La fonction oblique

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Architectures de cartes postales: de l'oblique sans Claude Parent. Je quitte un peu mes cartes postales.J'ai la chance d'avoir des réponses à des questions alors je vous les fais partager d'autant plus que les réponses proviennent de Monsieur Claude Parent lui-même, ne nous en privons pas.Je connais cette image publiée dans un livre intitulé "l'art d'installer les chambres d'enfants" aux éditions Alta Marie-Claire en 1979.La référence à la fonction oblique saute aux yeux et pourtant aucune mention de Monsieur Claude Parent.

Architectures de cartes postales: de l'oblique sans Claude Parent

Le titre de la page " les plans obliques" et le papa architecte de l'article laissent croire à une intervention du grand architecte.Eh bien non ! Claude Parent ne connaît pas ce suiveur obliquonaute mais ne s'en offusque pas. J'étais si sûr de moi... Mais alors qui est ce papa architecte qui a construit ces plans obliques pour ses enfants ? On remarque si on observe bien que l'ensemble est construit dans un studio et non réellement dans un appartement. Claude Parent par Jean Nouvel : parentés architecturales - Waterfox. Monographie de Claude Parent à la Cité du patrimoine et de l’architecture de Chaillot à Paris Jean Nouvel a signé la scénographie de l’exposition Claude Parent.

Claude Parent par Jean Nouvel : parentés architecturales - Waterfox

L’œuvre construite, l’œuvre graphique . Il évoque ici Claude Parent, qui l’a formé à ses débuts et s’exprime sur l’esprit de continuité entre leurs deux architectures : inclinaison en « Parenté » et retour sur un précurseur dont on mesure aujourd’hui l’importance en compagnie de Jean Nouvel, son disciple. Jean Nouvel dit dans cet entretien simplement : «Ce que je suis, je ne le serais pas, si Parent n'était pas là.» Il évoque là où l'esprit de Claude Parent s'est inscrit, ou glissé dans certaines de ses créations architecturales. La reconnaissance de cette figure atypique de l'architecture est cependant tardive.

. © Canal Académie - Tous droits réservés (moyenne de 0,0 pour un total de 0 vote) Pour poursuivre la lecture de cet article et écouter cette émission, devenez membre du Club pour 23€, soit moins de 2€ par mois. Déjà abonné ? Église Sainte-Bernadette du Banlay. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Église Sainte-Bernadette du Banlay

Localisation[modifier | modifier le code] L'église est située au numéro 23 de la rue du Banlay. Historique[modifier | modifier le code] Elle a été élevée en 1966 sur les plans de Paul Virilio et Claude Parent, fondateurs de la théorie de la « fonction oblique » ou « architecture oblique ». Elle a été classée au titre des Monuments Historiques en mai 2000 puis a reçu de la préfecture de Dijon le 25 février 2005 le label du « Patrimoine du XXe siècle », label qui n'a été attribué qu'à 10 sites bourguignons, dont 3 dans le département de la Nièvre.

Architecture[modifier | modifier le code]

Croquis église Sainte-Bernarde du Banlay

Architecture oblique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Architecture oblique

Claude Parent (architecte) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Claude Parent (architecte)

Claude Parent, né le à Neuilly-sur-Seine, est un architecte français connu, avec Paul Virilio, pour son œuvre sur l’architecture oblique[1]. Professeur avec lui à l’École spéciale d’architecture à Paris, ils ont formé dans leur atelier plusieurs grands noms de l’architecture contemporaine française, comme Jean Nouvel. Claude Parent avait travaillé avec le peintre Yves Klein lorsque celui-ci au début des années 1960 réfléchissait à des projets d’architecture de l’air et de l’espace.

Dès le début des années 1960, Claude Parent s’impose à lui-même une rupture par la mise en crise du formalisme d’une certaine continuité spatiale. L’apparition de la discontinuité dans son langage architectural le conduit à construire un nouveau vocabulaire architectural. Avec la construction de l’église Sainte-Bernadette entre 1963 et 1968, il affirme l’avènement d’une culture de l’oblique et accomplit ici ses recherches sur le brutalisme.

Paul Virilio. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paul Virilio

Paul Virilio est un urbaniste et essayiste français, né en 1932 à Paris. Il est principalement connu pour ses écrits sur la technologie et la vitesse dont l'alliance constitue à ses yeux une « dromosphère ». Biographie[modifier | modifier le code] Paul Virilio est né en 1932 d'un père italien communiste et d'une mère bretonne catholique. Enfant, il vit les bombardements de Nantes pendant la Seconde Guerre mondiale et en garde un intérêt pour les choses de la guerre et une inquiétude pour la fragilité du monde urbain.

Il suit une formation de maître verrier à l'École des métiers d'art, à Paris, tout en suivant les cours de Vladimir Jankélévitch et de Raymond Aron à la Sorbonne. En 1963, il fonde avec Claude Parent, le groupe Architecture Principe, puis publie un premier manifeste pour une architecture oblique[1]. Ses analyses sont parfois critiquées. Activités[modifier | modifier le code] Paul Virilio est aussi : Paul Virilio, sur Wikiquote. Pamphlet Oeuvres Claude Parent.