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Anthropologie

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Anthropologie de la santé. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie de la santé

L'anthropologie de la santé (ou anthropologie médicale) est une branche de l'anthropologie qui étudie la santé, notamment la maladie et le soin chez l'Homme. Certains auteurs assimilent parfois l'anthropologie de la santé avec l'ethnomédecine[1]. Mais pour Jean-Pierre Willem, le terme Ethnomedicine (en) désigne plutôt une pratique de soin se voulant une synthèse entre l'art médical occidental et les thérapeutiques traditionnelles populations des pays non occidentaux[2]. Anthropologie du corps. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie du corps

Bibliographie[modifier | modifier le code] Marcel Mauss, « Les techniques du corps », Journal de Psychologie, XXXII, no 3-4, 15 mars - 15 avril 1936, réed. Presses universitaires de France, 1968.Mark Zborowski, People in Pain, 1969.Gleyse Jacques, L'Instrumentalisation du corps.

Ethnologie (anthropologie socio-culturelle)

Anthropologie de l'art. Anthropologie politique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie politique

L'anthropologie politique étudie les formes politiques des différents peuples du monde, considérant qu'elles sont liées aux structures des sociétés civiles. Généralités[modifier | modifier le code] Le mot politique a pour sens : qui se rapporte à la cité (de polis, la cité en grec). La cité est l'ensemble des citoyens organisés suivant des lois. Cette organisation est un politeion, mot que l'on peut traduire par constitution (cf. Selon Balandier, l'anthropologie politique « tend à fonder une science du politique, envisageant l'homme sous la forme de l'homo politicus et recherchant les propriétés communes à toutes les organisations politiques reconnues dans leur diversité historique et géographique. »[1] Il s'agit donc d'étudier le gouvernement des hommes et ses institutions, les variétés de régimes dans leur organisation et leur développement, et les discours et représentations symboliques qui permettent ou s'efforcent de les légitimer.

Anthropologie des techniques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie des techniques

L'anthropologie des techniques est une branche de l'anthropologie qui s'intéresse à l'histoire, à l'usage et aux rôles des objets techniques, y compris leur rôle symbolique. L'étude ethnologique des techniques et des objets ne se limite pas aux techniques et aux objets considérés comme « traditionnels » ou anciens mais également aux faits contemporains. La technique et l'objet[modifier | modifier le code] L'anthropologie confère le statut « technique » voire « technologique » à des faits, des objets et des comportements dont la dimension technique n'est ni habituellement reconnue comme technique, ni valorisée comme telle.

Anthropologie juridique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie juridique

L'anthropologie juridique est une science qui tente d'aborder les phénomènes juridiques avec une approche sociale, culturelle et symbolique. C'est un domaine particulier de l'ethnologie. Historique[modifier | modifier le code] Henry Sumner Maine a joué un rôle de premier plan dans l'émergence des problématiques de cette discipline, notamment lorsqu'il publie Ancient Law en 1861. Pour la première fois le droit n'est plus seulement considéré comme le système normatif nécessaire à toute société, mais on commence à lui reconnaître une dimension explicative de l'ensemble des phénomènes sociaux et culturels.

Le domaine particulier de l'anthropologie juridique a lui été institué par Marcel Mauss, le droit ayant été totalement inclus dans le social, lors de la théorisation de la notion de fait social total. Récemment en France, c'est Pierre Bourdieu qui constitue la figure de proue de la réflexion anthropologique sur le droit. Anthropologie religieuse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie religieuse

L'anthropologie religieuse est le domaine de l'anthropologie qui étudie le fait religieux, c'est-à-dire non seulement les pratiques ou les rites mais aussi les corpus théologiques savants ou non (mythes, textes sacrés, doctrine) propres à chaque tradition religieuse. Indépendamment de la pratique religieuse, cette carte du monde représente la proportion de la population de chaque pays déclarant la religion comme quelque chose de « très important » pour elle : de 20 % (en bleu) à 90 % en rouge foncé ; en gris, pas de sondage disponible. Essai de définition anthropologique du fait religieux[modifier | modifier le code] Hominidés - Préhistoire - Homme en évolution de Toumaï à Homo Sapiens.