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Etude de gestion Morgane.

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Portal: An error has occured. La guerre contre «l'obsolescence programmée» est déclarée. Le président du groupe écologiste du Sénat Jean-Vincent Placé a déclaré la guerre à l’obsolescence programmée des appareils électriques et électroniques, mercredi au Sénat, interpellant, lors d’un débat, le gouvernement pour qu’il agisse. «L’obsolescence programmée regroupe l’ensemble des techniques visant à réduire délibérément la durée de vie ou d’utilisation d’un produit afin d’en augmenter le taux de remplacement», a défini le sénateur de l’Essonne. «Ce débat, c’est un appel à l’audace, face aux enjeux économiques, environnementaux et sociaux. L’obsolescence programmée est une aberration, une impasse, qui nous emmène droit dans le mur», a-t-il lancé.

Auteur d’une proposition de loi sur le sujet, il souhaite allonger la durée de vie des produits et permettre leur réparation. A cette fin il préconise la définition d’un «délit d’obsolescence programmée» pour permettre des actions en justice. «L'économie du durable» Obsolescence programmée : 11 astuces des fabricants. L’obsolescence programmée : un gâchis organisé ? Si l’obsolescence programmée existe depuis plus d’un siècle, ce n’est que depuis moins de deux ans qu’elle est devenue un objet de débat public et d’interpellation politique.

Elle repose sur un principe de développement économique assez imparable : si les objets que nous utilisons possédaient une durée de vie infinie, l’absence de rotation freinerait fortement le développement industriel. C’est ainsi que la société Dupont qui fabriquait des bas qui ne filaient pas décida dans les années 40 de commercialiser des bas plus fragiles afin d’accélérer le rythme des ventes. Trois types d’obsolescence programmée existent. Il y a la conception de produits pour une durée de vie limitée. La lutte contre l’obsolescence programmée doit éviter amalgames et diabolisation du phénomène. Cette lutte doit s’attacher aux dérives les plus flagrantes. L’opportunité d’une ouverture du chantier est sur la table. Pour l’engager, la balle est dans les mains des pouvoirs publics. Thierry LIBAERT. Ampoule, bas nylon, imprimante : ces objets désignés coupables d'obsolescence.

Quelques produits emblématiques alimentent depuis des décennies la question de l'obsolescence programmée, contre laquelle les députés entendent agir. Les fabricants prévoient-ils la fin de vie des produits afin d'en vendre davantage? La question reste un sujet de polémique. Vendredi, les députés ont décidé de prendre en compte ce phénomène en prévoyant d'assimiler l'obsolescence programmée à de la tromperie, un délit passible de prison. Avérée ou pas, les exemples de produits à la durée de vie prétendument raccourcie censés illustrés cette pratique ne manquent pas, sans que la réalité de cette pratique économique ne puisse généralement être démontrée. L'histoire du bas nylon reste l'un des emblèmes de l'obsolescence programmée. Cet accessoires vestimentaires est réputé pour avoir été particulièrement solide et résistant dans les années 1940. Autre symbole centenaire de l'obsolescence, l'ampoule de la caserne de pompiers de Livermore, en Californie.

L'obsolescence programmée bientôt punie par la loi ? Un amendement prévoit d'ajouter dans le code de la consommation la durée de vie délibérement réduite parmi les éléments constituant une tromperie. L'obsolescence programmée par les fabricants pourra être punie comme une tromperie « sur la durée de vie du produit intentionnellement raccourcie lors de sa conception » prévoit un amendement écologiste voté vendredi 26 septembre dans le projet de loi sur la transition énergétique. Cette durée de vie délibérément réduite pourra donc entraîner une peine de prison de deux ans au plus, ainsi qu'une amende de 300 000 euros, au vu des sanctions prévues pour les autres types de tromperies jusqu'alors inscrits dans le code de la consommation. Lire aussi la note de blog : Quand la panne est programmée par le fabricant « Les produits que nous utilisons dans la vie quotidienne sont trop souvent programmés par le producteur pour ne plus fonctionner après un certain nombre d'utilisations.

Obsolescence programmée : vos appareils condamnés à mort ? Obsolescence programmée : un terme un peu rébarbatif qui pourtant concerne chacun d’entre nous, ou tout du moins nos appareils électriques et électroniques en priorité. L’obsolescence programmée : définition L’obsolescence programmée ou planifiée est le processus par lequel un bien devient obsolète pour un utilisateur donné, parce que l’objet en question n’est plus à la mode ou qu’il n’est plus utilisable.

En clair, certains produits sont prévus pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation afin de forcer le consommateur à les remplacer. Cette technique est particulièrement utilisée par les constructeurs d’appareils électroniques (ordinateurs, téléphones, consoles, etc.) et électroménagers. Sa signification ? Une stratégie planifiée dès la conception du produit qui consiste à diminuer sa durée de vie ou d’attractivité, en créant en permanence chez le consommateur le besoin de le remplacer par un nouveau… Effrayant. Rapport_op_bdef_2_.pdf. Deux nouvelles dispositions légales contre l'obsolescence programmée. Décidément les choses bougent sur le front de l’obsolescence programmée. Après la Commission européenne qui va pouvoir imposer aux industriels un chargeur de téléphone standard en Europe, c’est en France que la loi Hamon vient d’apporter deux nouvelles pierres à la lutte contre le gaspillage. La loi sur la consommation, dite « loi Hamon », publiée le 18 mars 2014, prévoit, entre autres, deux dispositions phares qui faisaient partie de la proposition de loi sur l’obsolescence programmée de Jean-Vincent Placé. 1.

La durée de la garantie légale étendue La durée de la garantie légale de conformité et de la garantie relative aux défauts de la chose vendue est ainsi portée à 2 ans. Cette limite vise à pousser les industriels et les marques à commercialiser des produits dont la durée de vie est plus longue. 2. Concernant l’allongement de la durée de vie des produits, l’information des consommateurs des possibilités des réparations ultérieures possibles est désormais fixée par la loi. La vie gâchée des objets. Alléluia, il est né, le divin objet ! Le dernier rejeton d'Apple vient enfin d'être présenté aux fidèles. Non, il ne s'agit pas de l'iPhone 5, cette antiquité d'un mois et demi. Le bébé, c'est l'iPad Mini, la tablette miniature du géant à la pomme. Si chou, si prometteur, si désiré. Il n'est pas seul : ce 23 octobre, iPad 4, nouveaux MacBook Pro, iMac et Mac Mini poussaient aussi leur premier cri.

Mais voilà, une vile fée s'est penchée sur leur berceau. La même qui a signé la mort prématurée de leurs aînés : quatre générations d'iPad en deux ans, six d'iPhone en cinq ans, paix à leur âme. Mais lutter contre quoi au juste ? A LIRE: notre dossier EcoFutur, le magazine de l'économie innovante Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Grille-pain . L'obsolescence programmée, au sens large, s'avère donc bien plus insidieuse qu'un vulgaire travail de sape des ingénieurs.

L'obsolescence programmée multiplie donc les astuces pour créer le besoin d'acheter. Cercle vertueux. L'obsolescence programmée. Hello ! Bienvenue sur le blog Madmagz TPE ! Pour recevoir des conseils toute l'année, n'hésite pas à t'abonner à notre compte Twitter. Bon courage pour les TPE ! Les mises à jour de votre téléphone ne se font plus au delà de deux ans ? Votre collant se file après l’avoir porté deux fois ? Est-ce dû au made in China ou à l’obsolescence programmée. Lisez vite ce TPE. Bonne lecture ! Magazine créé avec Madmagz. Rencontre avec Rebecca, la créatrice du magazine, élève de 1ere ES au Lycée Bellevue à Fort-de-France, en Martinique Pourquoi un magazine pour votre TPE ? Pourquoi avoir choisi Madmagz ?

L’idée de réaliser un magazine m’est venue en consultant une publicité pour MadMagz, donc cela m’a paru un choix évident. Comment cette expérience a-t-elle été perçue ? Cette expérience s’est révélée très enrichissante. Bonne chance, Rebecca ! Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités | L’obsolescence programmée des produits désormais sanctionnée. La loi sur la transition énergétique, adoptée le 14 octobre 2014 par l’Assemblée nationale, définit cette pratique et ouvre la possibilité de recours en justice.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Laetitia Van Eeckhout Qui n’a jamais été mécontent d’un appareil tombant en panne quelques jours seulement après la fin de la garantie ? Il va être désormais possible de saisir la justice sur certaines pratiques industrielles visant à réduire la durée de vie ou d’utilisation d’un produit afin d’en augmenter le taux de remplacement, ce que l’on appelle l’« obsolescence programmée ».

Obsolescence par defaut fonctionnel Selon le texte de loi, l’obsolescence programmée désigne « l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise, notamment par la conception du produit, à raccourcir délibérément la durée de vie ou d’utilisation potentielle de ce produit afin d’en augmenter le taux de remplacement. Affichage de la durée de vie obligatoire Mesures insuffisantes. Prêt à jeter. Il semblerait même que ces 20 dernières années, les fabricants en soient arrivés à réduire de moitié la durée de vie de leurs produits. Une seule pièce défectueuse suffit à rendre certains appareils totalement inutilisables.

Que l’on songe simplement aux batteries intégrées des téléphones portables. Même pour un technicien de formation, réparer ou remplacer ces composantes est devenu impossible. Quoi qu’il en soit, Apple a su trouver un arrangement extrajudiciaire avec ceux qui accusaient les batteries de ses iPhones d’être moins résistantes que celles des autres smartphones. Une petite victoire… Commanditaire de l’étude, le groupe parlementaire des Verts au Bundestag demande que des conséquences soient tirées. Nicole Maisch, l’experte en consommation du parti, voit dans les combines des fabricants une « impasse écologique fatale ». En France, une proposition de loi a même été déposée au Sénat. Une énième théorie du complot ? Et si tout était notre faute ?