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16_10_11. Kuala Lumpur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kuala. Arrachée à la jungle dans les années 1850, la ville doit sa naissance et sa fortune aux abondants gisements d'étain découverts au XIXe siècle. Kuala Lumpur ne fut longtemps qu'un campement de huttes de bambous, infesté par la malaria et ravagé à de multiples reprises par les inondations et les incendies.

Elle grandit grâce au commerce de l'étain pour devenir, en 1896, la capitale des États malais fédérés. Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est dévastée lors de la bataille de Kuala Lumpur (en) et est conquise par l'armée impériale japonaise en 1942. Rapidement reconstruite, elle sera le témoin de violences inter-ethniques entre les communautés malaise et chinoise lors de l'Incident du 13 mai 1969 (en). Ville mondiale, Kuala Lumpur a vu se développer de nombreux gratte-ciels dans son quartier d'affaires, dont les tours Petronas, qui furent les plus hautes du monde. À proximité :

R_04_04_11. Soleil vert (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé[modifier | modifier le code] En 1999, New York est une ville de trente-cinq millions d'habitants. À la suite de la raréfaction de l'eau potable et de toutes les ressources planétaires, l'eau et la nourriture sont rationnées. Andy, un honnête policier, va devoir mener une enquête sur le meurtre d'un certain Mike O'Brien, « gros bonnet » du marché noir. La ville de New-York est décrite comme une ville au bord du naufrage, où les émeutes d'affamés sont monnaie courante et où l'extrême opulence d'une poignée de privilégiés côtoie dans l'insouciance l'extrême pauvreté des masses composées de nombreux chômeurs vivant difficilement des aides sociales.

Le film[modifier | modifier le code] Publications en français[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Sur le thème de la surpopulation : La Poussière dans l'œil de Dieu (1974), Larry Niven et Jerry Pournelle. Marcel Aymé. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aymé. Marcel Aymé Marcel Aymé en 1929 Œuvres principales Il a également écrit de nombreux scénarios et traduit des auteurs américains importants : Arthur Miller (Les Sorcières de Salem), Tennessee Williams (La Nuit de l'iguane). Biographie[modifier | modifier le code] L’enfance[modifier | modifier le code] L'écrivain débutant[modifier | modifier le code] Après son service militaire de 1919 à 1923, il arrive à Paris où il exerce les métiers les plus divers : employé de banque, agent d'assurance, journaliste.

. « Petit provincial cornichon, pas plus doué pour les lettres que ne l'étaient alors les dix mille garçons de mon âge, n'ayant seulement jamais été premier en composition française (…) je n'avais même pas ces fortes admirations qui auraient pu m'entraîner dans un sillage[8]. » L’écrivain reconnu puis décrié[modifier | modifier le code] La controverse Marcel Aymé[modifier | modifier le code] Et Antoine Blondin : Les Contes du chat perché. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Contes du chat perché sont une série de contes écrits par Marcel Aymé et publiés entre 1934 et 1946.

Présentation détaillée[modifier | modifier le code] Les contes[modifier | modifier le code] Introduction et illustration[modifier | modifier le code] En 1963, Gallimard les édite pour la première fois en deux volumes connus comme Les Contes bleus du chat perché (8 contes) et Les Contes rouges du chat perché (7 contes). Un recueil définitif posthume intitulé Les Contes du chat perché est paru en 1969. Tous les contes[modifier | modifier le code] Contes rouges du chat perché (1963)[modifier | modifier le code] Les Bœufs (1934)Le Chien (1934)Le Paon (1938)Les Boîtes de peinture (1941)Les Vaches (1942)La Patte du chat' (1944)Le Problème (1946) Contes bleus du chat perché (1963)[modifier | modifier le code] Le loupLe cerf et le chienL'éléphantLe canard et la panthèreLe mauvais jarsL'âne et le chevalLe moutonLes cygnes.

Allotropie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion d’allotropie a été élaborée par le chimiste suédois Jöns Jacob Berzelius. Différences dans les propriétés physiques des formes allotropiques[modifier | modifier le code] Les formes allotropiques d'un élément chimique peuvent souvent avoir des propriétés physiques (couleur, dureté, point de fusion, conductivité électrique, conductivité thermique) et une réactivité chimique différentes, bien qu'elles soient constituées d'atomes identiques.

Par exemple le dioxygène est peu réactif (et non toxique) dans des conditions où l'ozone est très réactif (et toxique). Les transformations d'une forme allotropique d'un élément à une autre sont souvent induites par les changements de pression, de température ou même par une réaction chimique et certaines formes ne sont stables que sous certaines conditions de température et de pression ; par exemple : Exemples de formes allotropiques[modifier | modifier le code] Carbone[modifier | modifier le code] Lonsdaléite. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. structure cristalline de la Lonsdaléite La lonsdaléite est un minéral qui est, avec le diamant et le graphite, l'une des trois formes cristallisées naturelles du carbone.

C'est un élément natif qui est très rare ; il a été découvert en 1967 dans le cratère météoritique de « Canyon Diablo » en Arizona. Le nom « lonsdaléite » vient de Kathleen Lonsdale (1903-1971), cristallographe anglaise. En février 2009 une équipe internationale de chercheurs, menée par Zicheng Pan à l'université de Shanghai Jiao Tong, a montré que la lonsdaléite résiste à 58 % de pression de plus que le diamant[5].

Dictionnaire étymologique de la ... Yin et yang. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tàijí tú : symbole de la dualité yīn-yáng Dans la philosophie chinoise, le yin (traditionnel : 陰, simplifié : 阴 ; pinyin : yīn) et le yang (traditionnel : 陽, simplifié : 阳, pinyin : yáng) sont deux catégories complémentaires, que l'on peut retrouver dans tous les aspects de la vie et de l'univers. Cette notion de complémentarité est propre à la pensée orientale qui pense plus volontiers la dualité sous forme de complémentarité. Le symbole du Yīn et du Yang, le tàijí tú (souvent entouré de 8 trigrammes) est bien connu dans le monde occidental depuis la fin du XXe siècle.

Le yin représente entre autres, le noir (ou souvent le bleu), le féminin, la lune, le sombre, le froid, le négatif, etc. Le yang, quant à lui, représente entre autres le blanc (ou souvent le rouge), le masculin, le soleil, la clarté, la chaleur, le positif, etc. Cette dualité est également associée à de nombreuses autres oppositions complémentaires. Losange. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un losange est un parallélogramme ayant deux côtés consécutifs de même longueur. Il était anciennement appelé rhombe (et porte toujours un nom tiré de cette étymologie dans de nombreuses langues, comme rhombus en anglais).

L'adjectif qui lui est relatif est rhombique. Deux losanges. La figure de gauche montre que les quatre côtés ont même longueur. La figure de droite est un losange où les propriétés du parallélogramme sont mises en évidence. Propriétés[modifier | modifier le code] Propriété 1[modifier | modifier le code] Pour tout quadrilatère (polygone à quatre côtés) non aplati d'un plan euclidien, les propositions suivantes sont équivalentes : ce quadrilatère est un losange ;ce quadrilatère a ses quatre côtés de même longueur et ses quatre sommets distincts ;les diagonales de ce quadrilatère se coupent en leur milieu (autrement dit : c'est un parallélogramme) et elles sont perpendiculaires. Losange aplati ABCD Aire[modifier | modifier le code] Espace affine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définitions et premières propriétés[modifier | modifier le code] .

Dans ce contexte les couples de points sont souvent appelés bipoints, un bipoint (A,B) a pour origine A, pour extrémité B et définit donc un vecteur . Un autre point, appelé translaté de A par , et souvent noté A + (notation de Grassmann). Si et seulement si c'est-à-dire que chacune de ces deux opérations peut se définir en fonction de l'autre. La définition qui suit s'appuie sur la première de ces deux opérations. Première définition[modifier | modifier le code] Étant donné un espace vectoriel V sur un corps K, un espace affine de direction V est un ensemble non vide E muni d'une application φ qui à chaque bipoint (A, B) de E, associe un élément de V, noté vérifiant les deux propriétés suivantes[3] : ; (relation de Chasles) . L'espace vectoriel est appelé direction de l'espace affine E. .

La propriété (A2) assure, pour tout point A et tout vecteur. . . , dans cet ordre, tels que . . . Et. Marcel Berger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marcel Berger en 1968 (coll. du MFO) Marcel Berger, né le 14 avril 1927 à Paris, est un mathématicien français, spécialiste de la géométrie différentielle et ancien directeur de l'Institut des hautes études scientifiques.

Biographie[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] Marcel Berger fait de 1948 à 1951 puis de 1952 à 1953 des études supérieures scientifiques à l’École normale supérieure et à la faculté des sciences de l'université de Paris où il obtient les licences ès sciences mathématiques et ès sciences physiques. Carrière académique[modifier | modifier le code] Lauréat du concours d'agrégation de mathématiques en 1951, il est détaché au Centre national de la recherche scientifique comme attaché de recherche (1953-54).

Publications[modifier | modifier le code] En français : (avec Paul Gauduchon et Edmond Mazet) Le spectre d'une variété riemannienne. En anglais : Prix et Distinctions[modifier | modifier le code] Échelle de Jacob (Bible) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les anges montent l'échelle de Jacob. Sculpture sur la façade ouest de l'Abbaye de Bath. « Jacob quitta Beer-Sheva, et s'en alla vers Haran. Il arriva en ce lieu et y resta pour la nuit car le soleil s'était couché. Prenant une des pierres de l'endroit, il la mit sous sa tête et s'allongea pour dormir. Après quoi, Jacob nomma le lieu Béthel (littéralement : Maison de Dieu). Les commentaires juifs classiques offrent plusieurs interprétations de l'échelle de Jacob : Selon le Midrash, l'échelle représente les différents exils que le peuple juif sera obligé d'endurer avant la venue du Messie.

L'interprétation chrétienne de ce passage se fonde principalement sur les mots du Christ dans l'Évangile selon Jean 1:51. . « Que l'on doit interpréter le fait que les anges de Dieu montent et descendent comme un échange perpétuel ouvert entre le Ciel et la terre au travers du Christ qui est Dieu représenté en chair. De Bethel à Emmaüs. Origine (homonymie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : origine, sur le Wiktionnaire. Espace vectoriel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour une introduction au concept de vecteur, voir l'article introductif Vecteur. Espace vectoriel[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code] Soit K un corps[1],[2], comme le corps commutatif Q des rationnels, celui, R, des réels[3] ou celui, C, des complexes (on parlera dans ces cas d'espace vectoriel rationnel, réel ou complexe).

Un espace vectoriel sur K, ou K-espace vectoriel, est un ensemble E, dont les éléments sont appelés vecteurs, muni de deux lois : une loi interne « + » : E2 → E, appelée addition ou somme vectorielle,une loi de composition externe à gauche « • » : K × E → E, appelée multiplication par un scalaire, telles que les propriétés suivantes soient vérifiées. c'est-à-dire que pour tous vecteurs u, v et w de E : 2. C'est-à-dire que pour tous vecteurs u, v de E et tous scalaires λ, μ : De l'axiome 1, il découle que E est nécessairement non vide.

Exemples[modifier | modifier le code] Rhombe (instrument) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sa sonorité rugissante a été comparée à celle du vent, du tonnerre, aux cris des dieux, des esprits ou des ancêtres intercesseurs entre le monde terrestre et le monde supra naturel, parfois liée à des rites de passage ou d'initiations (en Irian Jaya par exemple). Le rhombe servit aussi d'épouvantail à fauves et à éléphant (en Malaisie par exemple). En Australie les rhombes (appelés tjurunga ou churinga) sont des pièces de bois allongées et plates, sculptées, peintes (ou les deux) sur les deux faces de dessins sacrés. D'après Barbara Glowczewski : « Dans la mythologie masculine des Pitjantjatjara (tribu résidant près d'Ayers Rock), les héroïnes Aknarintja, femmes mythiques, conçoivent sans hommes grâce au son des rhombes qu'elles détiennent » (Du rêve à la loi chez les Aborigènes, PUF, 1991).

Ils sont utilisés par de nombreuses tribus pour avertir les non-initiés du déroulement d'un rituel sacré. Rhombe africains (Pitt Rivers Museum, Oxford) Loi salique. Éliane Viennot. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Éliane Viennot est une historienne française contemporaine. Aperçu biographique[modifier | modifier le code] Éliane Viennot est professeure de littérature française de la Renaissance à l'université de Saint-Étienne, membre de l'Institut universitaire de France.

Elle était libraire à Paris pendant six ans (1978-1984), puis professeur agrégée[1]. Œuvres[modifier | modifier le code] Femmes et pouvoirs sous l'Ancien régime, Rivages, 1991Marguerite de Valois : histoire d'une femme, histoire d'un mythe, Payot, 1993Royaume de fémynie : pouvoirs, contraintes, espaces de liberté des femmes, de la Renaissance à la Fronde, H. Notes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Bouquin. Le Château des Carpathes/1. PetronasTwinTower_FR-FR485313116.jpg (Image JPEG, 958x512 pixels)

Alain Robert (grimpeur) Exercitus. Legio. Règle. Équerre. Esquire. Écuyer. Scutum. Écu. Bouclier. L'Arbre des Possibles. Tu me dis, j’oublie. Tu m’enseignes, je me souviens. Tu m’impliques, j’apprends. Franklin Benjamin. Le Livre du voyage.