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En réponse à Free, Bouygues Tel offre la 4G aux abonnés B&You. A partir de ce 17 décembre, les abonnés de la marque low cost de Bouygues Telecom bénéficient gratuitement de la 4G.

En réponse à Free, Bouygues Tel offre la 4G aux abonnés B&You

Free avait dégainé le premier, le 3 décembre. A partir d'aujourd'hui 17 décembre, la 4G est disponible sans surcoût pour les abonnés de B&You, la marque low cost de Bouygues Telecom. Deux forfaits sont concernés : celui à 19,99 euros par mois pour 3 Go de données et celui à 24,99 euros pour 5 Go. Les clients de Bouygues Tel qui voudront en bénéficier devront se rendre dans la rubrique "Mon Compte" sur le site de l'opérateur et activer la fonction 4G. Et bien sûr posséder un téléphone compatible. Par cette initiative, Bouygues cherche à riposter contre Free, qui avait annoncé début décembre des forfaits à bas prix incluant la 4G : pour 19,99 euros par mois, ses abonnés peuvent profiter de 20 Go de données. Agroalimentaire : Danone se met au low-cost - Economie. Les pressions sur le pouvoir d'achat des Français sont un facteur que tous les groupes industriels doivent désormais prendre en compte.

Agroalimentaire : Danone se met au low-cost - Economie

Tous les groupes industriels... et tous les groupes agro-alimentaires, puisque les prix dans l'alimentation ont connu une envolée au cours des derniers mois. Une contrainte qu'a intégrée Danone : dans un entretien que publie Le Figaro, le PDG du groupe, Franck Riboud, annonce qu'il compte lancer à la rentrée une nouvelle gamme de yaourts bon marché. Le quotidien précise qu'un "éco-pack de six yaourts aromatisés" sera vendu au prix de 1 euro environ. Ce nouveau produit "vient répondre aux enjeux d'une conjoncture dégradée et d'une consommation de plus en plus attentive aux prix", ajoute Le Figaro, en évoquant la concurrence des marques de distributeurs, moins chères. "Couvrir le spectre entier du pouvoir d'achat" Les français champions de la perception de "l'image-prix" des enseignes.

Il en va des prix comme des températures.

Les français champions de la perception de "l'image-prix" des enseignes

Il y a les prix réels et les prix "ressentis". Autrement dit, il y a ce que le consommateur pressent en terme de prix (c'est l'image) et la réalité du prix (c'est le positionnement). On pense par exemple qu'Ikea n'est pas une enseigne chère. Mais l'enseigne est en réalité encore moins chère que ce que les consommateurs pensent (-3,4 points). Direct Matin présent pour trois ans de plus sur le réseau RATP. Pourquoi les prix des trains ou des avions varient d’une minute à l’autre. Licence CC Tout le monde sait que, pour obtenir un billet de train pas cher, il faut s'y prendre à l'avance.

Pourquoi les prix des trains ou des avions varient d’une minute à l’autre

Mais beaucoup d'internautes nous font part de leur surprise, lorsqu'ils voient les prix augmenter d'une minute à l'autre. Claire ouvre ainsi son ordinateur pour acheter un billet de train, sur le site Voyages-sncf.com. La machine a un bug, et Claire doit tout recommencer à zéro. Ni magie noire, ni mauvaises ondes, seulement du « yield management », nous explique la SNCF. Licence CC Jean-Pierre Bazard Jpbazard. SNCF Un prix peut en cacher un autre QDG4. L'avalanche du gratuit. Donne, le consommateur te le rendra : de l’économie à l’ère d’Internet, telle semble être la nouvelle loi.

L'avalanche du gratuit

Les success stories du numérique sont en effet fondées sur la gratuité pour l’usager : Facebook, Twitter, et surtout Google. La capitalisation boursière de ce dernier a récemment dépassé celle de Microsoft. Son logiciel libre Android équipe 75 % des smartphones vendus dans le monde, son moteur de recherche est devenu l’ami public n° 1 en offrant à la terre entière l’accès libre, légal ou non, à tout : musique, livres et vidéos. Abécédaire de Gilles Deleuze, Gangnam Style ou gags de chats : Youtube (filiale de Google) débite de la culture à gogo(s). Quand il ne fournit pas lui-même les contenus, l’internaute et son temps de cerveau disponible sont monnayés aux annonceurs. La gratuité financée par la pub, TF1 ou les radios privées le font depuis une paye. Et ce n’est qu’un début, prophétise Chris Anderson, dans son livre Free !

L’impact d’Internet sur les prix des offreurs : les nouvelles conditions et méthodes de fixation des prix. Les chiffres publiés par la FEVAD [1] (Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance) témoignent d’un dynamisme pour le secteur qui ne se dément pas : progression des ventes sur les 6 premiers mois de l’année de +20 % par rapport au 1er semestre 2010. Cette progression résulte d’une augmentation encore forte du nombre d’offreurs : plus de 20 000 nouveaux sites en un an soit plus de 100 000 en 2012.

En 2009, Internet représente 6 % des ventes de détail, ce qui correspond à une progression des ventes équivalentes à celles des hypermarchés à leurs débuts. Commerce équitable, quel est le prix juste ?