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Vie privée

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About:blank. Les nouvelles conditions générales d'utilisation de Dropbox relancent le débat sur la confidentialité et la propriété des contenus sur les réseaux sociaux. Tour d'horizon des pratiques déjà existantes. Les utilisateurs du service de stockage en ligne Dropbox ont reçu en fin de semaine un courriel les avertissant d’une modification de ses Conditions Générales d’Utilisation (CGU).

Rapidement, plusieurs billets de blogs sont parus pour dénoncer une tentative illégitime d’appropriation des contenus. Aux Etats-Unis, certains usagers en colère [en] s’estiment même trahis et comparent la politique de Dropbox à celle de Facebook, souvent décrié pour ses modifications subreptices de CGU [en] aboutissant à une emprise toujours plus forte sur les données des usagers. C’est plus exactement ce passage des nouvelles CGU du service qui a suscité l’inquiétude, dans la mesure où il semble conférer à Dropbox un droit très large à la réutilisation des contenus hébergés par la firme : Les CGU, c’est le vol ?

New net rules set to make cookies crumble. 8 March 2011Last updated at 03:50 Websites face restrictions on how they watch what their users do. The way websites track visitors and tailor ads to their behaviour is about to undergo a big shake-up. From 25 May, European laws dictate that "explicit consent" must be gathered from web users who are being tracked via text files called "cookies". These files are widely used to help users navigate faster around sites they visit regularly. Businesses are being urged to sort out how they get consent so they can keep on using cookies. Track changes The changes are demanded by the European e-Privacy directive which comes into force in the UK in late May.

The section of the directive dealing with cookies was drawn up in an attempt to protect privacy and, in particular, limit how much use could be made of behavioural advertising. This form of marketing involves people being tracked across websites, with their behaviour used to create a profile that dictates the type of adverts they see. Data delay. La valeur sociale de la vie privée | InternetActu.net. Souvent, la réponse aux inquiétudes concernant la confidentialité de nos données consiste à dire que « ceux qui ne transgressent pas la loi n’ont rien à se reprocher » : nous n’avons rien à craindre de la collecte massive de données. La vie privée, finalement, n’est qu’un problème de vieux cons. Qu’importe si les caméras de surveillance nous filment, si nos communications sont écoutées, si nos activités sont enregistrées, si nos déplacements sont surveillés, si nos achats sont tracés… : les bons citoyens, employés, consommateurs que nous sommes n’ont rien à se reprocher de cette surveillance généralisée qui n’a pour but que de déjouer ceux qui contournent les règles communes, ceux qui s’en prennent à notre sécurité collective.

C’est l’argument bien connu de la chasse aux terroristes, aux pirates, aux hackers, aux spammers, aux déviants… qui autorise la surveillance de toutes les communications, le filtrage et le bridage de l’internet ou le contrôle des déplacements… Hubert Guillaud. Mozilla fustige Google et conseille Bing pour le respect de la v. Mise à jour : Tristan Nitot a tenu à préciser ce mardi sur son blog que "mon collègue Asa Dotzler et moi avons exprimé nos avis personnels sur nos blogs personnels.

Cela, évidemment, ne reflète absolument pas la position officielle de Mozilla". En ce qui la concerne, la Fondation Mozilla n'a donc pas conseillé de migrer vers Bing, contrairement à ce que laissait supposer notre article. Article du 11 décembre 2009 - Le torchon brûle entre Mozilla et Google. La fondation qui édite le navigateur open-source Firefox a beau avoir un partenariat commercial avec la firme de Mountain View, les récentes déclarations d'Eric Schmidt ont du mal à passer et à résister aux critiques ouvertes.

"S'il y a quelque chose que vous faites et que personne ne doit savoir, peut-être qu'il faudrait commencer par ne pas le faire", a déclaré le patron de Google dans une interview à CNBC qui a fait beaucoup de bruit. "Oui, Bing respecte mieux votre vie privée que Google", tranche Dotzler. La vie privée, un problème de vieux cons ? | InternetActu.net. MaJ : au vu de son succès, cet article est devenu un livre, au titre éponyme, La vie privée, un problème de « vieux cons » ? , qui peut être commandé sur Amazon, la Fnac, l’AppStore (pour iPhone & iPad), et dans toutes les bonnes librairies… Sommes-nous aussi coincés et procéduriers au regard de notre vie privée que la société de nos grands-parents l’était en matière de sexualité ? Dit autrement : assiste-t-on aux prémices d’un bouleversement similaire, d’un point de vue identitaire, à celui de la révolution sexuelle ?

C’est la thèse esquissée dans un très intéressant article consacré aux bénéfices sociaux, personnels et professionnels du partage des données par les utilisateurs de réseaux communautaires et sociaux type « web 2.0« . « Au début, les gens avaient très peu d’inhibitions, et adoptaient des pratiques très risquées. Ce qui n’a pas empêché la libération sexuelle d’avoir lieu, et de profiter, in fine, à l’ensemble de la société. Big Brother, un truc de vieux ? Jean-Marc Manach. We All Live In Public Now. Get Used To It. As the Web becomes more social, privacy becomes harder and harder to come by. People are over-sharing on Facebook and Twitter, broadcasting their whereabouts every ten steps on Foursquare and Gowalla, and uploading photos and videos of their most private moments to the Web for all to see. It’s easy to say that privacy is dead, we all live in public now, and just deal with it. But things are a bit more complicated. It used to be that we lived in private and chose to make parts of our lives public.

Now that is being turned on its head. We live in public, like the movie says (except via micro-signals not 24-7 video self-surveillance), and choose what parts of our lives to keep private. Stowe Boyd, along with others before him, calls this new state of exposure “publicy” (as opposed to privacy or secrecy). I don’t particularly care for the neologism, but the idea behind it is spot on. It takes some getting used to the idea of living in public. It’s not that privacy disappears.

A propos de l’extimite | Psy et Geek ;-) En 2001, la France découvre Loft Story. On y voit crument exposé sous la forme d’un jeu des mécanismes d’exclusion et de surveillance généralisée . Les candidats du loft sont exclus les uns après les autres par des votes des lofteurs et du public et leur quotidien est filmé 24 heures sur 24 et sept jours sur sept. Première émission de télé réalité diffusée en France, Loft Story suscite un grand nombre de commentaires et de critiques : beaucoup y voient le signe d’une dégradation du lien social.

C’est dans ce contexte que Serge Tisseron publie L’intimité surexposée. Il y reprend de Jacques Lacan le terme d’extimité pour rendre compte de l’expérience vécue des lofteurs : il s’agit moins d’exhibitionnisme que d’une dynamique psychique particulière. L’extimité n’est pas l’exhibitionnisme. L’extimité est “le mouvement qui pousse chacun à mettre en avant une partie de sa vie intime, autant physique que psychique” (S. L’extimité n’est pas donc une simple mise “hors soi”. WordPress: Les blogs « extimes » : analyse sociologique de l’interactivité. 1En peu d’années, le développement des plates-formes de blogs gratuits a profondément modifié la pratique de publication d’un journal en ligne. Même si le nombre de blogs est difficile à évaluer aujourd’hui en raison du caractère dynamique, évolutif et décentralisé de la blogosphère, des moteurs de recherche spécialisés et de méta-annuaires comme technorati.com ou blogpulse.com comptabilisent entre 50 et 85 millions de blogs à partir de juin 2007 (Lin et Halavais, 2006). 2Cette forte croissance explique (partiellement) le constat selon lequel il n’existe pas de définition stabilisée de « l’objet blog ».

Faut-il insister sur la publication antéchronologique des billets, sur le principe d’autopublication, sur les limites techniques de cet objet hypermédia, sur la grande ouverture des blogs vers le reste du réseau (par exemple : Pledel, 2006, pp. 252-255 ; Trédan, 2005, pp. 1-2 ; Miller et Shepherd, 2004) ? 1.1. . « Nina : Un blog, c’est quoi ? « Juliette : [..] 1.2. 2.1.1. 2.2. 2.3. 2.4. Le problème, c’est la vie publique, pas la vie privée - BUG BROT. La montée en puissance de l’internet en général, et de Google et Facebook en particulier, ont focalisé les débats relatifs à la vie privée autour du "droit à l’oubli".

Mais la question, tout comme les termes du débat, sont trop souvent biaisés, et mal posés. Car si l'on assiste bien à une montée en puissance de la société de surveillance, l’internet me semble plus faire partie de la solution que du problème, ce que j'ai tenté d'expliquer dans un article pour InternetActu.net, Prochaine étape : “hacker” la société de surveillance. Le nouveau vice-premier ministre britannique a bien déclaré vouloir enterrer la société de surveillance, au motif qu'"il est scandaleux que les gens respectueux des lois soient régulièrement traitées comme si elles avaient quelque chose à cacher", ne reste plus qu'à s'y atteler. Nos démocraties n’ont pas attendu l’internet pour consacrer la liberté d’expression. Le droit à l'oubli est-il soluble dans les fichiers policiers ? Public by Default, Private when Necessary. With Facebook systematically dismantling its revered privacy infrastructure, I think it's important to drill down on the issue of privacy as it relates to teens.

There's an assumption that teens don't care about privacy but this is completely inaccurate. Teens care deeply about privacy, but their conceptualization of what this means may not make sense in a setting where privacy settings are a binary. What teens care about is the ability to control information as it flows and to have the information necessary to adjust to a situation when information flows too far or in unexpected ways. When teens argue that they produce content that is "public by default, private when necessary," they aren't arguing that privacy is disappearing. Instead, they are highlighting that both privacy AND publicity have value.

Privacy is important in certain situations - to not offend, to share something intimate, or to exclude certain people. Slowly, things have changed. Critique du Web² (3/4) : Toutes les données sont devenues person. La technologie nous forcera-t-elle à choisir entre la vie privée et la liberté, comme l’affirmait David Brin dans son livre Transparent Society (Wikipédia) ? Il n’y a pas ou plus, d’un côté des données personnelles et de l’autre des données qui ne disent rien des individus : un très grand nombre de données apparemment anonymes peuvent acquérir un “caractère personnel”, c’est-à-dire aider indirectement à savoir quelque chose sur un individu précis.

Les champs de données permettent de plus en plus d’identifier leurs émetteurs, tant et si bien qu’on peut se demander à l’avenir si le concept de données anonymes a encore une pertinence. Si la directive européenne Inspire (Wikipédia, voir aussi le volet français) et la loi française sur la réutilisation des données publiques excluent explicitement du partage les données nominatives, force est de reconnaître que nous savons de moins en moins ce que sont des données nominatives.

Peut-on réellement anonymiser des données ? Hubert Guillaud. Le Sénat vote une loi renforçant la protection de la vie privée.

Droit a l'oubli