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Finance 2.0

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Crowdfunding

Bienvenue à Babyloan. Kiva. P2P Lending. Why low-interest payday loans could scale. Megan McArdle responds to my post about consumer lending in Missouri by expressing skepticism that it’s possible to lend to people with bad credit unless you do so at extremely high interest rates. She gives a number of reasons why this might be the case, all of which are entirely plausible.

For one thing, she says, the risk of default is high — and particularly invidious when you’re lending money out for short periods of time. Think of it this way: what happens when you lend 100 people $500 each, for one year, at 10% interest, with a 10% default rate? You start the year with $50,000. You end it with 90% of the loans paid back — that’s $45,000 — and another $4,500 in interest on those loans, for a total of $49,500. And you also have $5,000 of defaulted loans, which are worth say 25 cents on the dollar. On the other hand, what if the term of the loan is six months, but the 10% default rate stays the same? And so Megan comes to her conclusion. All of this is perfectly reasonable. Linux and the financial crisis.

On December 2007, the New York Stock Exchange adopted Linux. In late August 2008, we saw one of the worse worldwide stock market crash of the last hundred years. This crisis was not predicted by mainstream economists and experts. It took them by surprise and it took weeks or months before an explanation could emerge.

Even to this day, there is much debate about what really caused the crisis and what makes the recovery so difficult. The financial industry is out-innovating regulators, experts and common investors. Are you sad to see the best minds working in finance? Maybe we need to recruit Linus Torvalds to fix the financial industry? Credit: I was inspired by a side remark made by Ho-Sheng Hsiao. L’argent. Avril 9th, 2011 Posted in Interactivité, Les pros Le budget du projet Protei est bouclé. À l’heure où j’écris près de 32 000 dollars ont été récoltés, notamment grâce à un mécène qui a apporté à lui seul plus de 6 000 dollars.

Je rappelle le principe : il s’agit de mettre au point un drone marin autonome capable de contribuer à nettoyer les effets d’une marée noire, robot dont les plans et les technologies seront « libres », c’est à dire offertes à la communauté et impossibles à breveter à l’avenir. On voit ici à l’œuvre une économie neuve typique de l’ère Internet et de sa capacité à mettre en contact des gens qui ont des préoccupation communes. Dans son roman Dans la Dèche au Royaume Enchanté Je saisis l’occasion pour tenter de faire le tour des systèmes de contribution ou d’investissement nés sur Internet. N’hésitez pas à m’en suggérer d’autres. Certains sites proposent à leurs utilisateurs de partager un statut de co-producteurs d’œuvres. Kiva (organisation à but non lucratif.

Why Wesabe Lost to Mint - Marc Hedlund's blog. A number of people have asked and speculated about why the company I co-founded, Wesabe, shut down earlier this summer. Some of the claims or guesses about it are just factually wrong; others seem misinformed to me; others seem to have some truth. I thought I’d add my own opinion. In November 2006, Wesabe launched as a site to help people manage their personal finances. We certainly weren’t the first to try to tackle this problem through a web app, but we were the first of a new wave of companies that came out in the months that followed, characterized but what some would call a Web 2.0 approach to the problem.

Even before we launched, we heard about other people working on similar ideas, and a slew of companies soon launched in our wake. None of them really seemed to get very far, though, and we were considered the leader in online personal finance until September 2007, when Mint launched at, and won, the first TechCrunch 40 conference. So, yeah. Ouvrir le monde bancaire. Par Hubert Guillaud le 17/02/11 | 4 commentaires | 1,884 lectures | Impression La corruption et la fraude sont deux grands défis que nous adressent le fonctionnement de nos sociétés contemporaines, attaque le programmeur, entrepreneur et compositeur Simon Redfern à l’occasion de la conférence internationale Lift qui se tenait il y a peu à Genève (voir sa présentation).

En Europe, c’est quelque 30 milliards d’euros qui seraient perdus chaque année par la corruption. Image : Simon Redfern sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. La corruption est multiple. L’aide étrangère est bien souvent son premier vecteur, tant et si bien que la banque mondiale a lancé l’initiative Start pour recouvrir les avoirs volés. La corruption s’appuie sur le secret et la dissimulation. C’est tout l’objectif du projet Open Bank : rendre les transactions transparentes en proposant de nouvelles modalités de protection des données bancaires.

Banque 2.0

Banques éthiques. Finance islamique. Peut-on tout faire en banque sur internet ? Aujourd'hui toutes les banques sont sur internet. Mais peut-on y réaliser toutes les opérations bancaires en se passant totalement d’un contact “physique” (y compris à distance par courrier ou téléphone) ? Toutes les banques ont développé le canal internet à coté de leurs canaux traditionnels et y ont rendu possible progressivement une large palette de leur opérations. Cela a notamment du sens pour l'information marketing et les opérations transactionnelles (consultation de compte, virements, opérations courantes,…) dont la productivité est grandement améliorée sur le canal internet. Mais il ne s'agit là que d'un transfert portant sur une clientèle préexistante et une palette d'opérations qui n'est pas exhaustive.

Existe-t-il alors des banques qui ne sont présentes que sur le canal internet et y réalisent la totalité de leurs opérations ? Qu'est-on censé faire de plus chez un acteur "tout en ligne" par rapport à une banque traditionnelle sur internet ? Revenons à l'agence bancaire. The Finance 2.0 Manifesto. Dear G20, It’s confusing. Should you tax bankers’ bonuses, or limit their pay?

Should you nationalize banks, or let public-private partnerships bid for bad assets? Do markets need morals — or just better regulation? The answer is: all may be necessary, but none are sufficient. It’s time to reconceive finance for the 21st century. Where are all the customers’ yachts? Bankers have got society, communities, and depositors by the throat. Banks don’t need to be bailed out of bad debt.

Finance 1.0 has the same relationship with society as Godzilla does with cities. Finance 1.0 isn’t fit for economics 2.0. Finance 1.0 is built on a long-obsolete set of organizing principles. Today’s bankers, investors, and traders will never build a better finance. It’s time to put Wall Street’s business as usual out of business. Here are nine paths to igniting the next financial revolution. Edge funds. Macro and microcurrencies. Social banks. Fair markets. Stakeholder communities. Whisper bullhorns. Luv, #Lift12 : Au-delà de la finance.

Que se passe-t-il quand le monde de la finance rencontre celui de l’innovation ? C’était l’enjeu de cette session proposée par la conférence Lift : essayer de nous amener à saisir l’avenir de la finance, via le regard d’un prospectiviste, celui d’une spécialiste des monnaies distribuées et celui d’un spécialiste de l’innovation financière. Pour le prospectiviste de la monnaie, David Birch (@dgwbirch), de la société de consulting financier Hyperion, organisateur du Digital Money Forum qui a lieu chaque année à Londres, toutes les technologies capables de révolutionner les services financiers sont déjà parmi nous. Il nous faut juste observer les signaux faibles. Image : David Birch sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin pour LiftConference. Quel scénario pour notre avenir monétaire ? David Birch s’est appuyé sur les scénarios établis par Long Finance, le « centre financier du futur », qui a récemment publié un rapport sur l’avenir des services financiers à l’horizon 2050 (.pdf).

BankX6 - La banque à l'ère de la transparence. The Financial Reformation (trailer, Sibos2010) XBRL. Early users of XBRL included regulators such as the U.S. Federal Deposit Insurance Corporation[1] and the Committee of European Banking Supervisors (CEBS).[2] Common functions in many countries that make use of XBRL include regulators of stock exchanges and securities, banking regulators, business registrars, revenue reporting and tax-filing agencies, and national statistical agencies.

A wiki repository of XBRL projects is available to be freely explored and updated.[3] In 2010, the Securities and Exchange Commission (SEC) in the US, the United Kingdom's HM Revenue & Customs (HMRC), and Companies House in Singapore had begun to require companies to use it, and other regulators were following suit.[4] The SEC's deployment was launched in 2010 in phases, with the largest filers going first: by 2013, the large foreign companies which use International Financial Reporting Standards (IFRS) were expected to submit their financial returns to the SEC using XBRL.

Specification[edit] <? Reinventing financial services (Lift11) by Sean Park on Prezi. Hopee - hopee.fr.sharewise.com. Tookets, la monnaie solidaire et sociale des entreprises pour les associations -Immersive Lab, le blog. Ce 1er avril, Immersive Lab et l‘agence en ligne Tookam du Crédit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne, dont nous reparlerons une autre fois, ont lancé Tookets .

L’objet de Tookets est des plus simple : permettre aux entreprises de donner les moyens à leurs clients ou salariés d’aider les associations de leur choix. Pour cela l’entreprise dispose d’un outil, le TOOKETS, qu’elle distribue à ses clients ou salariés à l’occasion de programmes qui peuvent être mis en oeuvre dans le cadre d’opération de fidélisation, de jeu concours etc… Le Tookets est donc le moyen de cette transaction entre l’entreprise et l’association, et nous, les gens, en sommes les vecteurs, nous donnons la direction, nous indiquons aux entreprises dont nous sommes clients vers qu’elles associations nous souhaitons que cette solidarité s’opère.

A ce titre Tookets est donc une monnaie virtuelle, sociale, solidaire et associative. Catégories : Actualité, Innovation Cette entrée a été publiée dans Actualité, Innovation. Open Bank Project - Home. Finance 2.0. Les économistes atterrés. Le nœud de leur raisonnement est le suivant : alors que sur le marché des produits destinés à la consommation et à l'investissement les prix convergent vers leur niveau d'équilibre par le jeu de l'offre et de la demande, sur le marché des biens patrimoniaux (produits financiers, bâtiments, stocks de matières premières), par contre, les prix divergent. Sur ce dernier marché, en effet, le constat d'une hausse de prix nourrit l'anticipation d'une hausse future (« ça monte, donc ça va continuer à monter »). L'espoir d'une plus-value suscite une hausse de la demande qui fait encore monter le prix, jusqu'au moment où l'anticipation se retourne (« ça a trop monté, ça ne va pas pouvoir continuer »).

Alors le prix s'effondre, traverse le niveau d'équilibre sans s'y arrêter et baisse jusqu'à un nouveau retournement de l'anticipation (« ça a trop baissé, ça ne va pas pouvoir continuer ainsi »). Expliquons nous. La finance a mis alors sous pression les autres secteurs de l'économie.