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FESF / EFSM / ESM

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Eurozone bail-out fund has to resort to buying its own debt. Vous n'avez rien compris à l'accord sur le FESF? Si vous avez tout saisi à la lecture des textes résumant les résultats du sommet des chefs d’Etat ou de gouvernement de la zone euro à Bruxelles, c’est que vous avez déjà une solide culture financière. Car le moins que l’on puisse dire, c’est que tout n’est pas simple, particulièrement en ce qui concerne la façon dont on va doper la capacité d’intervention du FESF, le fameux Fonds européen de stabilité financière.

Le but du jeu: faire avec 440 milliards comme si on en avait plus de 1.000. publicité Première technique utilisée: celle du rehaussement de crédit. Il s’agit là d’une sorte d’assurance contre le risque que l’on propose aux investisseurs privés qui envisagent de souscrire aux émissions d’emprunts de pays de la zone euro dont la capacité de remboursement est mise en doute. Un petit goût de subprimes C’est un système astucieux. L’exception européenne Tous les autres pays le font en ce qui concerne leur dette publique: les Etats-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne. Gérard Horny. MES, le nouveau dictateur européen.

Slovakian EFSF Opponent Sulik: 'The Greatest Threat to Europe Is the Bailout Fund' - SPIEGEL ONLINE - News - International. ECB and State-Owned Banks, Again. There are a lot of reasons why attention has turned to the idea of leveraging EFSF via one of a number of possible methods. If this can be done, it takes a big step towards solving both the solvency and liquidity issues plaguing Euro area sovereigns and banks – on the liquidity front, a €2 trillion or €3 trillion fund is big enough to buy up Spanish and Italian bonds for a number of years, while €440 billion is big enough to absorb a lot of the potential losses.

The financial press are abuzz with various mechanisms that could be used to leverage up the EFSF. However, I was surprised today to twice read that Gros and Meyer’s proposal to have EFSF (or some vehicle funded by EFSF) register as a credit institution and borrow from ECB is likely to be illegal. The Wall Street Journal reports And at the FT’s Money Supply blog, Ralph Atkins writes But Jens Weidmann, Germany’s Bundesbank president and ECB governing council member, has already made clear his opposition. The ECB legal opinion states. The Brussels-based think tank | Why we should listen to Tim Geithner. Le plan de sauvetage européen est-il illégal ? Pour une fois, ce sera court. Il y a un an, confrontés à la première secousse – grecque – sur les dettes souveraines de la zone euro, les gouvernements européens, après des mois d’atermoiements dont le seul effet aura été de bien faire mûrir la crise et d’amener les taux grecs à des niveaux de perte de solvabilité, ont échafaudé dans l’urgence un plan de secours dont le principal dispositif consiste en une nouvelle institution, l’EFSF (European Financial Stability Facility), sorte de pool de bailleurs, constitué des gouvernements européens eux-mêmes, mobilisés pour prêter à un Etat grec devenu incapable de se financer sur les marchés à des conditions qui ne soient pas exorbitantes (et puis plus tard, comme on sait, à l’Irlande, au Portugal…).

La légalité douteuse de l’EFSF… Comme souvent dans une construction juridique d’ensemble, il faut chercher l’article contrepoint, celui qui ouvre à des dérogations. . … et les leçons à en tirer. C’est du côté de l’EFSF que ça bricole sérieusement. Les plans de sauvetage, un jeu dangereux. Après la Grèce et l’Irlande, c’est au tour du Portugal de demander une aide à l’UE et au FMI. Mais ne finira-t-on pas par tuer l'euro en soutenant un pays endetté avec l’argent d'autres pays endettés ? Un éditorialiste slovaque ne comprend pas à quel jeu joue l’UE. En apprenant que le Portugal a demandé l’aide [du FMI et de l’UE], trois points m’ont littéralement coupé le souffle. Le premier, c’est l’insoutenable légèreté avec laquelle certains hommes politiques européens quémandent et celle avec laquelle d’autres hommes politiques accordent des sommes astronomiques puisées dans des fonds publics. A titre d'exemple, le montant demandé par le petit Portugal couvrirait en une seule fois les coûts de fabrication de 2400 nouveaux kilomètres d’autoroute (pour mémoire, nos dirigeants se couvrent eux-mêmes d’éloges lorsqu’ils parviennent à annoncer 50 ou 100 nouveaux km en quatre ans).

Le gaspillage a continué, tirant l'Europe entière vers le fond Que s’est-il passé ? Plan de sauvetage de l'euro : Pourquoi l'Allemagne peut encore remettre en cause le mécanisme de stabilité prévu pour 2013. L'Allemagne est encore loin d'accepter entièrement la création du mécanisme européen de stabilité. Certes, la chancelière Angela Merkel a donné son accord et elle dispose en théorie d'une majorité confortable au Bundestag. Mais l'affaire n'est pas si simple. La popularité chancelante de la coalition au pouvoir à Berlin, les réticences persistantes de la population et l'épée de Damoclès de la cour constitutionnelle de Karlsruhe représentent des obstacles bien délicats à franchir pour le gouvernement fédéral. Deux rapports viennent de le rappeler et de donner un sérieux avertissement à Angela Merkel. La constitution allemande interdit à Berlin de signer un chèque en blanc à Bruxelles Le message de ces deux rapports, le premier de la cour fédérale des comptes, le second des services scientifiques du Bundestag, peut se résumer en un mot : l'Allemagne risque, avec ce nouveau mécanisme, de signer un chèque en blanc à l'Europe, ce qui est inconstitutionnel.

Cette analyse pose deux problèmes. Berlin craint le coût des sauvetages. Le problème avec le Mécanisme européen de stabilité. La guerre en Libye et les terribles catastrophes japonaises ont détourné l’attention du public des conclusions du dernier Conseil européen (24 et 25 mars 2011). La plupart des commentateurs ont souligné la portée limitée des décisions. Beaucoup de bruit pour rien, serait-on tenté de dire avec Shakespeare. Malheureusement, les décisions concernant le nouveau Mécanisme européen de stabilité ne sont pas rien, et elles pourraient nuire à la stabilité de la zone euro.

Voici pourquoi. La plupart des commentaires ont porté sur les mesures visant à renforcer le volet correctif du Pacte de stabilité et de croissance (les pays devraient réduire leur dette publique en proportion de sa distance avec la cible de 60% du PIB), son volet préventif (les pays devraient adopter des règles budgétaires nationales compatibles avec les objectifs du pacte), et les propositions visant à réduire les déséquilibres macro-économiques, comme de surveiller la compétitivité et la croissance de la productivité.

ESM contingent liabilities, quantified. [Billet] Le mécanisme européen de stabilité pour les nuls. ATTENTION : Cet article a été écrit en Mars 2011 et ne parle pas du traité MES signé définitivement en février 2012 ! A l'époque, le MES n'était pas un traité mais une notion désignant l'ensemble du dispositif d'aide aux Etats en difficulté (MESF, FESF, FMI etc.). Bonne lecture : Vous avez sans doute entendu parler d'une modification à venir du traité sur le fonctionnement de l'Union Européenne (TFUE dans le jargon). Et au final, personne, je parle de la société civile, ne comprend réellement de quoi l'on parle et ce qui est en question, moi non plus d'ailleurs. Cet article s'attardera sur ce que recouvre la notion de MES (Mécanisme Européen de Stabilité), en expliquant les deux piliers sur lequel il repose : le Mécanisme Européen de Stabilité Financière (MESF) et le Fonds Européen de Stabilité Financiière (FESF).

L'aide à l'Irlande C'est à partir de là que nous commencerons nos recherches. Le Fonds Européen de Stabilité Financière et le Mécanisme Européen de Stabilité Financière Et voilà ! Le mécanisme européen de stabilisation : Comment ça marche ? Un Mécanisme de stabilité punitif. Un Mécanisme de stabilité punitif Les taux très élevés associés aux prêts consentis à la Grèce, à l’Irlande et au Portugal font penser que les instances dirigeantes de la zone euro ignorent qu’un taux d’intérêt associé à un prêt comprend trois composantes : 1) le coût du financement pour le prêteur ; 2) sa marge de profit ; 3) la prime de risque de crédit, qui reflète de manière inversée une évaluation de la valeur du collatéral ainsi que la qualité de l’emprunteur.

Les principes du futur Mécanisme européen de stabilité, qui sera mis en place en 2013 pour aider les Etats de la zone euro en difficulté, viennent malheureusement renforcer l’hypothèse d’une ignorance de ces règles de base. Le coût du financement d’un prêt est le taux auquel le prêteur lui-même emprunte les sommes qu’il reprêtera à une échéance (maturité) similaire. Ces principes très simples ne sont apparemment pas compris par les instances dirigeantes de la zone euro. Quelle en était la justification ? Ireland funding. The end of February exchequer statement, released by the Department of Finance, shows how much money Ireland has drawn from the EU/IMF ‘bailout’. Note 7 shows: Euro Financial Stabilisation IMF Extended Fund Facility Euro Fin. Stability Facility Total It is probably worth having a look at the total €85bn package for Ireland, to see who has promised to lend the money, and – more importantly – when they are getting it. €bn NTMA and NPRF Sweden Denmark Probably easiest if we go through the sources in order.

(i) The EFSF is only available to eurozone members, and only backed by eurozone members. (ii) The EFSF needs an AAA rating to raise money as cheaply as possible. (iii) This doesn’t mean that the EFSF has €366bn to lend though. The EFSF issued its first bond on January 25th. Last on the list for the €85bn are the UK, Denmark and Sweden. So, that is where Ireland’s funding is coming from, and how much it is costing. Fonds Européen de Stabilisation Financière. Le 27 novembre 2010, le quotidien économique belge L'Echo écrivait que le Fonds européen de stabilité permettra de réagir aux défis lancés à la zone euro.

Il reprenait un entretien avec Jean-Claude Juncker, Président de l’Eurogroupe (voir ce terme). « Le fonds tel qu'il existe nous permettra de réagir de façon convenable aux défis qui peuvent être lancés", assurait M. Juncker. Facilité monétaire européenne, Fonds européen de stabilité, fonds de stabilisation européen, fonds monétaire européen…. La terminologie a beaucoup varié et, comme les mots ont un sens, les variations sur le thème de la stabilisation ne sonnent pas uniquement comme des nuances byzantines mais comme de véritables idées antagonistes. La question, au centre de ce débat est celui de la solidarité monétaire européenne. Jusqu’à 2008, l’Euro était une monnaie unique circulant et acceptée dans tous les pays de la Zone euro (voir ce terme). Jusqu’au jour où…. Plus exactement…. après que….beaucoup d’eau dévala sous les ponts.

European sovereign debt crisis of 2010–present. Long-term interest rates (secondary market yields of government bonds with maturities of close to ten years) of all eurozone countries except Estonia.[1] A yield being more than 4% higher compared to the lowest comparable yield among the Eurozone states—i.e., yields above 6% in September 2011, indicates that financial markets have serious doubts about credit-worthiness of the state.[2] The Eurozone crisis (often erroneously referred to as the Euro crisis) is an ongoing crisis that has been affecting the countries of the Eurozone since early 2009, when a group of 10 central and eastern European banks asked for a bailout.[3] At the time, the European Commission released a forecast of a 1.8 per cent decline in EU economic output for 2009.[3] One researcher has held that this was a combined government debt crisis, a banking crisis and a growth and competitiveness crisis.[4] Causes[edit] Contagion was considered possible.

Evolution of the crisis[edit] Debt profile of Eurozone countries. Le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) ? European Financial Stabilisation Mechanism. The European Financial Stabilisation Mechanism (EFSM) is an emergency funding programme reliant upon funds raised on the financial markets and guaranteed by the European Commission using the budget of the European Union as collateral.[1] It runs under the supervision of the Commission[2] and aims at preserving financial stability in Europe by providing financial assistance to member states of the European Union in economic difficulty.[3] The Commission fund, backed by all 28 European Union members, has the authority to raise up to €60 billion.

The EFSM is rated AAA by Fitch, Moody's and Standard & Poor's.[4][5] The EFSM has been operational since 10 May 2010.[6] Programmes[edit] Irish programme[edit] Under the programme agreed between the Eurozone and the government of Ireland, the EFSM wil provide loans of 22.4 billion euros between 2010 and 2013. Portuguese programme[edit] Operations[edit] 2011 inaugural emission[edit] Subsequent emissions[edit] See also[edit] References[edit] 2010 European Union banking stress test exercise. A European Union-wide banking stress test exercise has been conducted by the Committee of European Banking Supervisors every year since 2009.

The second instance was performed in July 2010. The Council of the European Union (in its economic and financial – ECOFIN – configuration) mandated that Committee so to do, in the aftermath of the global financial crisis which started in 2007. Summary of 2010 results by bank[edit] The 2010 test was the second of its kind, which assesses the financial strength of European banks under different adverse scenarios.

The 2010 results were released on 23 July 2010.[1] Of the 90 banks tested, 7 failed the 6% tier 1 capital ratio threshold: five in Spain (Unnim, Diada, Espiga, Banca Cívica, and Cajasur), one in Germany (Hypo Real Estate), and one in Greece (ATEBank).[2] See also[edit] References[edit] External links[edit] Les Etats adoptent le fonds européen de stabilité financière. European Financial Stability Facility. The European Financial Stability Facility (EFSF) is a special purpose vehicle financed by members of the eurozone to address the European sovereign-debt crisis.

It was agreed by the 27 member states[1] of the European Union on 9 May 2010, with the objective of preserving financial stability in Europe by providing financial assistance to eurozone states in economic difficulty.[2] The Facility's headquarters are in Luxembourg City,[3] as are those of the European Stability Mechanism.[4] Treasury management services and administrative support are provided to the Facility by the European Investment Bank through a service level contract.[5] Since the establishment of the European Stability Mechanism, the activities of the EFSF are carried out by the ESM.[6] Function[edit] The mandate of the EFSF is to "safeguard financial stability in Europe by providing financial assistance" to eurozone states.

Lending[edit] Guarantee commitments[edit] Management[edit] Developments and implementation[edit] Comment le FESF trahit les traités européens. Billet invité Le 21 septembre 2010, la Banque Centrale Européenne (BCE) publiait une décision posant les modalités de gestion du compte bancaire du FESF. Le FESF est le Fonds Européen de Stabilité Financière, créé en catastrophe en juin 2010 pour venir en aide à la Grèce, en donnant, à cette aide, une apparence de légalité. Pour mémoire, la fin de l’année 2009 et le premier trimestre 2010 furent marqués par la traumatisante question, pour l’Union européenne, de savoir si elle pouvait, ou devait, sauver l’un de ses membres, la Grèce. Question traumatisante, car, du point de vue politique et juridique, il n’était pas certain, et il ne l’est pas plus aujourd’hui, que la Grèce méritât l’aide de l’Union.

Souvenons-nous de la tragédie grecque : pour sanctionner la Grèce et ses 300 milliards d’euros de dettes, représentant pas moins de 120 % de son PIB, les agences de notation décidèrent de dégrader sa note. Que signifie cette règle « no bail-out« ? Fonds Européen de Stabilité Financière : un "AAA" qui rassure ? About EFSF.