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Debtocracy

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Debtocracy, le documentaire qui explique la crise et l'impact en Grèce. Des Grecs s'appuient sur un documentaire pour démonter la dette "odieuse" “Debtocracy”, le documentaire qui secoue la Grèce. Interview avec Aris Hatzistefanou, journaliste à l'origine de Debtocracy, un documentaire-choc qui a rencontré un grand succès. Il demande une commission d'audit sur la dette grecque et prône une sortie de l'euro. Cette interview a été initialement publiée sur OWNI.eu le 6 mai dernier. Suite à la publication de la version sous-titrée en français du documentaire, nous publions aujourd’hui la traduction française.

Né à Athènes, Aris Hatzistefanou, 34 ans, est un journaliste à toute épreuve depuis ses plus jeunes années. Ce projet a attiré l’attention de plus d’un million de personnes en Grèce, et a popularisé une campagne nationale demandant une commission d’audit de la dette publique du pays. (Cliquer sur le bouton CC en haut du player pour sélectionner la langue des sous-titres) Quelle est l’histoire de Debtocracy ? Dans le même temps, en Grèce, des gens étaient en train de lancer une initiative similaire, et recherchaient du soutien pour cela. Et cela a très bien marché ! Dette : les grecs et la Deptocracy. Debtocracy International Version par BitsnBytes Ce documentaire est en quelque sorte un "retour sur le futur" pour la plupart des pays endettés d’Europe, car la situation vécue par la Grèce est un scénario qui va se répéter dans tous les pays confrontés à l’impossibilité de rembourser une dette souveraine en croissance exponentielle. Son echo a attiré de nombreux spectateurs de par le monde, dont certains ont laissé des commentaires regrettant qu’il ne soit pas disponible en d’autres langues que le grec, langue que je maitrise.

Il m’a paru suffisamment édifiant pour valoir la peine d’être traduit et mis à disposition des lecteurs Français. Je retranscris donc ici une première partie du documentaire de Catherine Kitidi et de Harry Hadji-stéphanou. Cette partie (qui ne correspond cependant pas au début du film) explique le concept de la Dette Odieuse Dette odieuse Alexander Sack a théorisé cette doctrine en 1927. Cliquez pour plus. Cliquer pour plus... [Exclusive] Campaigning documentary ‘Debtocracy’ released in English. “Our government called us bums and our lenders “PIIGS,” just like all peripheral EU countries. Our ministers tried to convince us that all of us had a part in this” Aris Hatzistefanou, 34, is accustomed to uncomfortable reporting.

A journalist since his teens, his long-running show “infowar” on Sky Radio was cancelled just as his thought-provoking documentary, Debtocracy, was released. Born in Athens, Hatzistefanou started his career at Sky Radio, hailed as the most popular radio station in Greece. His latest project was watched by one million people and had led to a successful nation-wide campaign to launch an audit on the country’s public debt.

What’s the story behind Debtocracy? The idea came about during a Sky Radio show on how the Ecuadorian president was responding to the country’s massive debt. Meanwhile, in Greece, the some people were seeking support for a similar initiative, and my program on Sky Radio had tremendous clout. Aris Hatzistefanou & Katerina Kitidi. DEBTOCRACY - ΧΡΕΟΚΡΑΤΙΑ. #DEBTOCRACY: MUCH BETTER THAN A REVIEW. Δείτε επίσης και την ελληνική μετάφραση αυτού του άρθρου εδώ. Like most of Greece’s online population, I spent some time the other night watching Debtocracy, a crowdfunded indoctrimentary which outlines to the incessant whining of stringed instruments (the world’s smallest, one is tempted to add) the causes of Greece’s indebtedness as understood by a pontificating third-rate Politics major.

As with any such offering in Greece, it is steeped in sarcasm, which is its sole redeeming feature. I’m hugely into sarcasm from way back in my debating days; not just because it’s funny but also because it raises the stakes tremendously when one’s argument isn’t quite as good as one thought. And the Debtocracy argument isn’t. It is telling that already people are falling back on the defence that it’s a ‘first attempt at raising the issues’, or an alternative view that the conventional media won’t broadcast.’ Sure it is. Debtocracy is in dire need of a sequel: #surplusocracy.

So how should we do it?