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Pédagogie inversée

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La classe inversée n'est possible "que si l’enseignement est une passion". Les CM1-CM2 de Soledad Messiaen en plein exercice – la veille, ils ont visionné le cours en vidéo, chez eux. En septembre 2013, Soledad Messiaen, professeure des écoles à Burie (Charente-Maritime), décide “d’inverser” sa classe de CM1-CM2. Selon le principe anglo-saxon de la “flipclass” (classe inversée), l’élève visionne le cours chez lui, via une vidéo réalisée par son enseignant. Le temps passé en classe est consacré à la réalisation d’exercices. Des cours en capsules Chaque semaine, les élèves regardent, chez eux, 4 “capsules” – deux en français, deux en mathématiques. “Ces vidéos leur permettent de faire des pauses, de revenir en arrière s’ils n’ont pas compris… Ils peuvent prendre des notes, sous forme de carte mentale, et me demander des éclaircissements le lendemain matin.

A l’inverse, s’ils ont compris, cela leur permet de passer rapidement à des choses plus complexes”, explique l’enseignante. Les élèves sont répartis dans plusieurs groupes, et « tournent » dans chaque atelier.

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