background preloader

Economie

Facebook Twitter

Observatoire des inégalités. 18 avril 2007 - Les inégalités mondiales augment-elles ou régressent-elles ? Un diagnostic complexe mais plus juste permet d’y voir plus clair. Une analyse de Jean Gadrey, économiste, extrait du magazine Alternatives Economiques. Certains affirment que les inégalités mondiales de revenus explosent. Les plus riches s’enrichissent toujours plus, pendant que les plus pauvres ne sortent pas de la grande pauvreté.

Pour d’autres, ces inégalités régressent grâce au formidable rattrapage de la Chine, de l’Inde et de quelques autres grands pays émergents. Dialogue de sourds ? Mauvaise foi ? 1. Appelons « pays riches en 2004 » les pays dont le produit intérieur brut par habitant (PIB/hab.) était, en 2004, supérieur à 29 000 dollars en parités de pouvoir d’achat (PPA, voir encadré Les parités de pouvoir d’achat ). 18 pays étaient dans ce cas (dont la France, classée 17e). Comment ce rapport a-t-il évolué entre les deux mêmes groupes de pays ? Quelle est la bonne mesure ? Fin de l’exercice ? 2. 3. La Chine s'octroie le premier rôle dans le commerce mondial. La crise économique a pesé sur le commerce international.

Mais la Chine en a pâti moins que les autres pays. Même avec une baisse de 17 % de ses exportations totales en 2009 par rapport à 2008, elle a vu sa part dans les échanges mondiaux grossir, détrônant même le leader inconstesté depuis plusieurs années : l'Allemagne. Elle s'octroie ainsi 10 % des exportations mondiales en 2009 contre 3% dix ans auparavant. Au cours de ces dernières années, les ports chinois, notamment Shanghai, ont vu les porte-conteneurs se presser toujours plus nombreux dans leur rade. Avec des marchandises au meilleur prix, produites à de bas coûts de travail , et soutenu par un yuan faible, la Chine a envahi les étagères des commerces de la planète. Si elle conserve un tel rythme, cette part des exportions mondiales pourrait atteindre quelque 25 % d'ici à dix ans. D'ores et déjà, le Fonds monétaire international (FMI) prévoit 12 % pour 2014.

La loi européenne pour les PME, « Small Business Act ou SBA » pour l’Europe. Commerce mondial : l'OMC redouble de prudence pour 2011 - COMMERCE INTERNATIONAL OMC. Les mécanismes du commerce international - Cairn.info. Company - Report - Growth and renewal in the United States: Retooling Americas economic engine - February 2011. More than ever, the United States needs productivity gains to drive growth and competitiveness. As baby boomers retire and the female participation rate plateaus, increases in the labor force will no longer provide the lift to US growth that they once did. New research by the McKinsey Global Institute finds that, to match the GDP growth of the past 20 years and the rising living standards of past generations, the United States needs to boost labor productivity growth from 1.7 to 2.3 percent a year.

That’s an acceleration of 34 percent to a rate not seen since the 1960s. Podcast US Growth: Productivity is more important than ever DownloadIn this podcast conversation James Manyika and Jaana Remes discuss why business and government action are needed to get the US back to a higher productivity path and dispel some common misconceptions. There is large untapped potential to increase productivity and growth in the United States, MGI finds. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Un nouvel élan pour la stratégie de Lisbonne (2005) Stratégie de l'OCDE pour l'innovation. ECONOMIE MONDIALE : Faire les bons choix en 2011. Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDEDans quel état se trouve l’économie mondiale au début de 2011 ? Ces 12 à 18 derniers mois, quels progrès avons nous accomplis pour mettre fin à la pire crise économique que nous ayons connue et jeter les fondations d’un monde plus fort, plus sain et plus juste ?

Le tableau de bord est contrasté. Beaucoup de progrès ont été accomplis pour surmonter la crise, grâce aux efforts coordonnés à l’échelle internationale depuis deux ans, et la reprise est en cours. C’est une bonne nouvelle, car les gouvernements ont cruellement besoin de la croissance pour s’attaquer aux tensions budgétaires considérables, créer des emplois et relever d’autres défis majeurs. Mais nous ne sommes pas encore tirés d’affaire. La reprise est plus lente que nous l’avions espéré. Les taux de chômage demeurent intolérables : 8,5 % en moyenne et plus de 10 % dans certains pays. Contrairement aux économies avancées, les marchés émergents continuent de progresser.