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Revue de presse : Identité nationale

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Identité nationale, burqa, débat, Peillon : dangereux raccourci. Identité nationale : Marseillaise à l'école : 77% des Français p. Lancement du débat sur l'identité nationale - une vidéo Actu et. Débat sur l'identité nationale : des textes d'internautes censur. Infosignalée par un internaute De nombreux internautes, qui critiquaient le gouvernement sur le site lancé par Eric Besson, ont vu leur contribution censurée. Cérémonie en l’honneur de la Résistance au mont Valérien le 18 juin 2009 (Charles Platiau/Reuters) Ça commence mal pour le débat sur l’identité nationale. Vingt-quatre heures après le lancement du volet online de la consultation, des internautes se plaignent de censure sur le site dédié par le ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale.

En fin de matinée, ce mardi, deux riverains, frustrés, ont alerté Rue89. La première s’appelle Agnès Lenoire, elle est enseignante et tient Doutagogo, un blog que je cite régulièrement. Raté : à 13 heures, toujours pas l’ombre du message sur le site. . « Bonjour,Réfléchir à une identité nationale hypothétique, c’est faire le lit du nationalisme, en douceur, l’air de rien. . « Pour moi, être français c’est avoir honte de la politique d’immigration »

Revue de presse 2010 - Identité nationale

Place de la Sorbonne - A la recherche d’une identité nationale s. A l’occasion du grand débat sur l’identité nationale annoncé par Eric Besson, le ministère de l’immigration et de l’identité nationale a lancé ce lundi 2 novembre un site où tout un chacun est invité à répondre à la question : « Pour vous qu’est-ce qu’être français ? ». Le but de l’opération selon Eric Besson : faire une synthèse de toutes ces contributions afin de « redéfinir ce que sont nos valeurs […], et ce que va être notre avenir commun ». Vaste programme. Bien évidemment, les médias et autres professionnels de la contestation systématique vont s’atteler à remettre en cause les fondements démocratiques du débat en invoquant la modération douteuse du site.

Les modérateurs du ministère contribuant à transformer ce débat en un simulacre d’espace d’expression démocratique en ne publiant que les contributions des thuriféraires de la politique de Besson et de la définition de l’identité nationale défendue par le ministère. . - Etre fière de sa langue, c’est bien.

. - Une évidence… Eric Besson veut lancer un "grand débat sur l'identité nationale. Identité nationale: le site internet officiel reprend des propos. Place de la Sorbonne - La vérité du trottoir ou comment "le peup. Depuis ce lundi, le débat annoncé par le Ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale est ouvert sur la toile avec l’ouverture d’un site spécialement créé pour l’occasion.

A la vue du faible nombre de rendez-vous proposés par le site (cinq pour l’instant) par rapport à la place médiatique que le débat a pris depuis deux semaines, c’est sur le net que la bataille sera la plus importante. Les dernières campagnes présidentielles, celle, française, de 2007 ou américaine de 2009 ont prouvé l’importance du web quant à la diffusion d’idées via les blogs et les vidéos sur les sites de partages. Nicolas Sarkozy a mis en place dès son arrivée à l’Elysée le site « la présidence de la république » où toutes les vidéos de ses discours et de ses déplacements sont en libre accès. Le FN proposera lui aussi son propre site web sur la question, l’enjeu étant de « concurrencer » le site du gouvernement. Mais la rubrique « vidéothèque » sera sans doute plus visitée que cette bibliothèque. Jean B. Identité nationale: le débat dérape. Identité nationale: pourquoi le débat dérape-t-il sur l'Islam? - Le 2 novembre dernier, Eric Besson lançait le débat sur l’identité nationale, voulu par Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle.

Objectif inscrit sur le site Internet dédié à la question: réfléchir à «ce que signifie, en ce début de 21e siècle, “être Français”», et répondre ainsi aux «préoccupations soulevées par la résurgence de certains communautarismes, dont l’affaire de la burqa est l’une des illustrations». Cette dernière phrase fait bondir Jean-Yves Camus, chercheur associé à l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques), interrogé par 20minutes.fr: «”Certains communautarismes”? Lesquels? Qu’on les nomme! On en note plusieurs, mais on donne un seul exemple, celui de la burqua. Cela fausse le débat et stigmatise de façon tout à fait imprudente l’Islam.» Jean-Yves Camus considère que le «glissement» de l’identité nationale française à l’Islam résulte d’importants non-dits dans les présupposés du débat.

Bérénice Dubuc. Le débat sur l'identité nationale dérape. Eric Besson s'accroche à son débat | slate. «Sarkozy soutient son détesté ministre de l’Intégration». Le titre de l’article du Time ne va pas remonter le moral d’Eric Besson. «Il y a quelque chose chez Eric Besson que tout le monde, en France, peut détester » écrit le journaliste. Depuis son changement de camp, poursuit le magazine américain, «il a embrassé sa nouvelle foi de droite avec le zèle des convertis, au point de gêner beaucoup de conservateurs de longue date» et de citer François Baroin, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin. Désormais tout le monde connaît Eric Besson et sa notoriété traverse les océans. Mais les critiques se multiplient. Ce lundi, dans Libération, une pétition lancée par SOS Racisme et signée par de nombreux intellectuels, artistes et personnalités de gauche demande la fin du débat.

«Un nombre substantiel de réunions nous font honte tant les propos qui y sont tenus heurtent nos consciences(…). [Lire l'article complet sur time.com] Image de une: Flickr, Eric Besson photographié par le Medef. publicité. Identité nationale : "L'UMP prise à son propre jeu" selon Le Pen. Marine Le Pen à Evian en 2008 (Audrey Cerdan/Rue89). En bon soldat de Nicolas Sarkozy, Eric Besson martèle sa haine du Front national, tout en multipliant les appels du pied aux sympathisants frontistes. Le débat sur l’identité nationale est fait pour ça. Lancé à cinq mois des régionales, il est stratégique : l’objectif est de combattre les triangulaires de second tour avec l’UMP et le FN, traditionnellement favorables à la gauche. Le ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale pourrait même aller plus loin. Si le FN n’atteignait pas les 10% au premier tour, seuil nécessaire pour se maintenir, il n’a pas rejeté, a priori, un éventuel appel du FN à voter pour l’UMP au second tour, ce mardi sur RTL : « Je ne sais pas, nous n’en sommes pas là. » (Voir la vidéo) Malgré les dérapages au sein de la majorité ou dans les commentaires sur le site Internet dédié, malgré le Front national qui se frotte les mains de l’émergence de ce débat, Eric Besson assure ne pas vouloir reculer :

Débat sur l'identité nationale: le Parti socialiste "n'y partici. Identité nationale : la presse mondiale raille "la mauvaise idée. France's Hated Immigration Minister, Eric Besson: Cheers from Sa. The French newsweekly Marianne calls him "the most hated man in France. " A Socialist legislator recently compared him to Pierre Laval —the wartime French official who most enthusiastically collaborated with the nation's Nazi occupiers. Such contempt isn't usually directed at someone in a rather anonymous cabinet role. But Eric Besson, the Minister for Immigration, Integration and National Identity, is different: he's currently overseeing a national debate on French identity that detractors on both the left and the right say stigmatizes minorities and immigrants. And yet, despite the fierce criticism and controversy, he's the cabinet member President Nicolas Sarkozy is relying on most to secure conservative gains in regional elections in March.

As the Marianne headline attests, there's something in Besson that just about everyone in France can detest. But Besson has at least one key figure on his side: Sarkozy. But there's a risk to that: the tactic may backfire. L'identité nationale, un débat multidimensionnel. Identité nationale et langue française par Alain Bentolila Comment peut-on parler d'identité nationale sans prendre l'engagement que le pouvoir linguistique soit équitablement distribué sur notre territoire ?

Les inégalité linguistiques que l'on tolère parfois avec complaisance défont notre tissu social et encouragent les communautarismes. Fadela Amara a jusqu'ici traité avec une coupable désinvolture la terrible insécurité linguistique qui ferme à double tour la porte des ghettos sociaux, excluant une partie de notre jeunesse de la communication sociale. Elle a confondu conformité aux normes et pouvoir de parole : "parler bien" et "parler juste".

Elle a la chance, elle, de parler juste même et peut sans dommage se permettre quelques privautés lexicales et syntaxiques qui affichent, pense-t-elle, sa différence. Elle possède, elle, le pouvoir d'imposer à d'autres sa pensée alors que la plupart des jeunes qu'elle défend ont bien du mal à être compris au plus juste de leurs intentions.