background preloader

Ecriture contemporaine

Facebook Twitter

Le vent sombre | Chroniques du roman noir. Pol'Art Noir - Du polar en général au roman noir en particulier. Arnaldur Indriðason. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arnaldur Indriðason Arnaldur Indriðason en 2004 Œuvres principales Arnaldur Indriðason[1], né le [2] à Reykjavik, est un écrivain islandais. Biographie[modifier | modifier le code] En 1996, Arnaldur Indriðason obtient un diplôme en histoire à l’université d'Islande.

Journaliste au Morgunblaðið en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. Arnaldur Indriðason publie son premier livre, Synir duftsins (littéralement « Fils de poussière », inédit en français) en 1997. Les romans[modifier | modifier le code] Les principaux romans d'Arnaldur Indriðason mettent en scène la même équipe d'enquêteurs, dont l'abrupt Erlendur torturé par la disparition de son frère alors qu'il n'était qu'un enfant et tourmenté par sa fille toxicomane. Deux de ses œuvres ont reçu, en 2002 et 2003, le Prix Clé de verre, la plus haute distinction scandinave.

Adaptations radiophoniques et cinématographiques[modifier | modifier le code] Œuvre[modifier | modifier le code] Mankell/Gaza. L’auteur de romans policiers suédois était à bord d’un des bateaux qui se rendaient à Gaza. Libéré par les Israéliens, il est rentré chez lui. Il rapporte la façon dont l’assaut a été mené par Tsahal et ne cache pas sa colère à l’égard de Tel-Aviv. Henning Mankell a été l’un des premiers Suédois relâchés par les Israéliens. Le Dagens Nyheter l’a rencontré chez lui, dans le centre-ville de Göteborg. Il est installé sur le canapé de son bureau, vêtu de noir et portant les chaussettes bleues données par la compagnie aérienne.

Tous ses effets personnels ont en effet disparu lorsque les soldats israéliens ont pris d’assaut le navire à bord duquel il se trouvait pour tenter de rallier Gaza. L’écrivain raconte qu’après avoir passé 72 heures sans fermer l’œil, il a enfin pu dormir tout son saoul et qu’il se porte bien en dépit des circonstances. “Ce qui me travaille beaucoup, c’est la stupidité israélienne.

Lorsqu’on lui demande s’il a eu peur, Henning Mankell répond par la négative. Un auteur lucide et révolté. Ce qui me révolte, par Henning Mankell - Les débats de l'Obs. Entretien exclusif. L’écrivain suédois, l’un des romanciers les plus lus au monde, nous accorde un entretien exclusif. Il parle de sa chère Afrique, de ses engagements, de son beau-père, Ingmar Bergman, et du roman policier comme miroir de la société Le Nouvel Observateur. - Vous vivez depuis plus de vingt ans la moitié de l'année au Mozambique et l'autre en Suède.

Vous aimez dire: «J'ai un pied dans la neige, l'autre dans le sable.» Henning Mankell. - Rien ne m'obligeait à partir en Afrique: c'était un choix intime. N.O. - Un exemple vous vient-il à l'esprit? H. On peut faire subir n’importe quoi aux pauvres. N.O. - Ce n'est pourtant pas le pétrole qui attire les Chinois au Mozambique. H. N.O. - Vous dites: «Nous savons comment meurent les Africains, mais jamais comment ils vivent.» H. N.O. - Quels sont les devoirs de l'Europe envers l'Afrique? H. Ulla Montan - Seuil Henning Mankell N.O. - Les immigrants et leur destin jouent un rôle important dans vos pièces de théâtre et vos romans. H. H. H. H. N. H. H. N. H. Actes Sud.

Libella.