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Langue française

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Rectifications 1990. WikiLF : participez à l'enrichissement de la langue française. Censé ou sensé ? - La moindre plume. Leçon 13/ grammaire : Les prépositions - Espace de la Francophonie et des Sciences de l'éducation. Ce « sur » qui m’arrache les oreilles, … ou la vue. Non mais sans dec ! Elle vous a fait quoi la préposition « à » ? Vous savez celle que l’on est censé utiliser devant le nom d’une destination géographique, comme par exemple lorsque l’on dit : J’habite à Toulouse. Ils travaillent à Berlin. Il est à Chicago. Je sais bien qu’une fois sortis de l’école, nous nous dépêchons d’oublier ce que nos professeurs nous ont enseigné. Y a boycott ou quoi ? Je n’écoute même plus certaines radios, comme France Bleu Hérault par exemple, tellement c’est lourd d’entendre toute la journée « sur » Montepllier par ci, « sur » Béziers par là.

Parce que non, non, et non, on ne dit pas : Il y a des bouchons sur Montpellier. Juste pour rappel, « sur » est une préposition de surface. De superposition ; de vue d’en haut ; de sensation de hauteur ; de verticalité par rapport aux pieds (de haut en bas) ; de mise en évidence par rapport à la base ; d’horizon en perspective ; de domination. Alors, à moins d’être en avion (nous descendons sur la ville de …), Articles similaires. Sur. Habiter Paris / sur Paris / à Paris. Indicatif ou subjonctif ? (vérifier que, s'assurer que, contrôler que) (Page 1) – Réflexions linguistiques. Bonjour Popart, effectivement, la littérature spécialisée est pingre sur ce sujet, que ce soit les grammaires ou les dictionnaires (lesquels donnent souvent des exemples avec des verbes dont l'indicatif ne se distingue pas du subjonctif). Il est clair d'abord qu'on peut construire tous ces verbes avec les deux modes ; chez les classiques (Pascal, Fénelon) on trouve même s'assurer avec le conditionnel (in Littré).

Alors ? J'aurais tendance à dire que cela dépend du sens, du contexte, ou de l'intention de l'auteur, mais aussi du temps utilisé ; en fait, cela me semble être subordonné au caractère douteux ou vraisemblable de la subordonnée : * T'es-tu assuré qu'il est venu ? L'action de la subordonnée se situant dans le passé, elle est facile à vérifier => indicatif. * Assure-toi qu'il vienne, ou qu'il viendra : le caractère hypothétique impose le subjonctif (potentiel = qui peut survenir), ou bien le futur de l'indicatif (éventuel = qui va se produire). elle est pas belle, la vie ?

Top 10 des fautes de français qui m’arrachent l’oreille. Il existe des fautes, que dis-je des pollutions auditives, plus difficiles à entendre que d'autres. Celles qui donnent immédiatement envie de dire "tu me causes mal" ou "va, je ne te hais point". Non pas que l'on ait pour autant mangé un Bescherelle et que l'on soit des Maîtres Capello en puissance, mais tout de même. Le français, ça reste une langue complexe ok, mais carrément inaccessible pour certains. "Je sais pas c'est qui" Marche aussi quand vous êtes perdu avec "je sais pas c'est où".

Passons sur l'oubli de négation ("je NE sais pas"), courant à l'oral et qui n'est pas vraiment une faute. Pour conclure, une petite révision express avec le comte de Bouderbala : Top écrit en accord avec Le petit Robert, Louis-Nicolas Bescherelle, Julie et Odile. Hey, on vient de sortir notre premier jeu de société ! Je suis allé / J'ai été... ? Pour Cerisia : s'il devait exister une nuance, il est vrai que la plus logique, sémantiquement parlant, serait bien celle-là, et Léah a déjà exprimé le même avis. Je me demande cependant, quand on emploie spontanément la tournure, si c'est vraiment l'expression de cette nuance qui motive le choix d'un verbe ou de l'autre. Et sans complément de lieu, la nuance semble s'amincir encore entre "Après le déjeuner, je suis allé dormir" et "Après le déjeuner, j'ai été dormir.

" Pour JSC : attention au temps du verbe. Vu l'emploi très courant (et correct, en dépit du sens premier du verbe) de "être" au sens d' "aller" au passé composé et avec un complément de lieu, le locuteur moyen comprendra presque automatiquement la seconde phrase comme une demande à propos d'un déplacement : "La police m'a demandé si j'ai été au marché le matin du crime. "NON... Car c'est hier que je m'y suis rendu, que j'y suis allé, que j'y ai été. La police m'a demandé si j'étais au marché le matin du crime.OUI... Subtil ! La conjugaison et les synonymes de plus de 8 000 verbes Français - conjuguer. Permettre par ci, permettre par là, y a de l’abus.

Orthonet: Aide à la langue française: orthographe, grammaire et vocabulaire. Orthonet ? Si vous éprouvez des difficultés sur l’orthographe d’un mot, vous interrogez sur une question de grammaire ou la conjugaison d’un verbe, le site Orthonet édité par le Conseil International de La Langue Française (CILF) peut vous aider. Sur Orthonet, vérifiez l’orthographe d’un mot via un lexique sélectif de 25 000 mots de la langue française considérés comme possiblement difficile pour leur syntaxe. Il est également possible de poser des questions à des linguistes en cas de difficulté orthographique ou syntaxique. Pratique : Un service de correction orthographique par formulaire est offert pour des textes courts. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France Mots-clés : conjugaison, français, grammaire, jeu, orthographe.

Évitez les erreurs de points de suspension… Les points de suspension, toujours au nombre de trois, ne veulent pas d’espace avant mais exigent une espace après, mais pas de majuscule. Voici six erreurs à ne plus commettre. Pas d’espace avant ! Bien que ce soit courant, c’est une erreur : il n’y a pas d’espace avant les points de suspension !

Toujours au nombre de trois, ils ne veulent pas d’espace avant mais exigent une espace après, comme le point « . » et la virgule « , » : Une virgule, un point. N’en abusez pas… D’une façon générale, mieux vaut éviter de se servir des points de suspension : il dénotent en effet une allusion, un sous-entendu. Vous me comprenez… Un texte truffé de points de suspension trahit la jeunesse, la désinvolture ou un certain manque de confiance en soi. Dans ce cas, les points de suspension marquent l’hésitation ou jouent de connivence. Si les points de suspension pouvaient parler, ils pourraient en dire des choses et des choses… N’écrivez pas « etc... » mais « etc. » Adieu veau, vache, cochon, etc.