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Collèges et lycées mobilisés pour sauver la rentrée 2022 !

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Collèges et lycées se mobilisent contre les fermetures de classes, les suppressions d'heures d'enseignement et les suppressions de postes prévues pour la rentrée 2022.

Guadeloupe : les enseignants du lycée Jardin d'Essai se mobilisent. Des enseignants de Jardin d’Essai se sont mobilisés ce matin. Ils tenaient à protester contre des suppressions d’heures d’accompagnement des élèves et de la suppression d’un poste de professeur de mathématiques, des conditions qui pourraient affecter le potentiel de cet établissement FJO. avec G. Pincemail, L. Broulhet et R. Defrance • Publié le 16 février 2022 à 11h37, Des enseignants du lycée Jardin d’Essai aux Abymes ont exprimé leur colère ce mercredi matin.

En cause une annonce du rectorat de la Guadeloupe. Delphine Prudhomme SNES-FSU ©Guadeloupe ©R. Les enseignants se sont donc attachés à informer les parents d'élèves sur l'objet de leur mouvement afin de les y sensibiliser. Au Rectorat on rappelle qu'en l'état actuel des choses les arbitrages ne sont pas terminés, ce qui laisse place à des ajustements en fonction des situations de chaque établissement. Is-sur-Tille. Deux classes de sixième en moins au collège Paul-Fort à la rentrée 2022. A Aigues-Mortes, marche funèbre symbolique au collège Joliot Curie pour protester contre la suppression d'une classe. Parents d'élèves et enseignants du collège Joliot Curie d'Aigues-Mortes ont organisé une marche funèbre et un enterrement symbolique pour protester contre la suppression d'une classe.

Opération collège mort ce jeudi matin au collège Joliot Curie d'Aigues-Mortes. Le portail est resté fermé. Et devant ce portail, des cercueils noirs et des banderoles accrochées aux grilles. Autant de cercueils que de classes fermées depuis 2019. Les enseignants tout de noir vêtus ont fait une marche de protestation autour du collège. " La suppression de cette classe est annoncée alors qu'il y a seulement une baisse de 3 élèves prévue.

Déjà hier matin, aucun élève n’a passé le portail. Le mouvement pourrait se poursuivre demain, cette fois à l'initiative des élèves. . Val de Marne : les établissements mobilisés contre les baisses des dotations. Plusieurs établissements du Val-de-Marne en lutte contre la sévère baisse de leur DHG se sont mis en grève et rassemblés devant le rectorat aujourd’hui pour unifier leur combat et dénoncer les baisses de moyens dans le département. Il s’agit des lycées Jean Macé de Vitry-sur-Seine, Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine, Romain Rolland d’Ivry-sur-Seine, Apollinaire de Thiais et du collège Rosa Parks de Gentilly. Le lycée Jean Macé entame sa troisième semaine de grève. Les enseignants dénoncent la baisse drastique de leur DHG et le nombre exorbitant d’HSA au détriment du nombre d’heures-postes.

Le nombre d’élèves par classe serait très important l’an prochain. Ils déplorent la fermeture d’une classe de terminale. Ils ont voté contre leur DHG au conseil d’administration hier et ont demandé une audience au rectorat. "Cette année j'ai 28 élèves, l'année prochaine j'en aurai 37" : enseignants et parents d'élèves se mobilisent contre le manque de moyens. Au lycée de Gaillac (Tarn), l'annonce ne passe pas. Quatre postes de professeurs - mathématiques, français, espagnol et histoire – doivent être supprimés à la rentrée prochaine. "Cette année, j'ai 28 élèves en terminale, et dans la prévision de l'année prochaine j'en aurai 37", confie Christophe Frediani, enseignant en mathématiques et représentant du syndicat Snes. Il s'est mis en grève, cette semaine, comme la plupart de ses collègues de cet établissement de zone rurale. "C'est une dégradation de l'encadrement et de l'aide que l'on pouvait leur proposer jusqu'à présent.

" C'est le résultat de la "dotation horaire globale" (DHG), l'enveloppe d'heures de cours, attribuée à chaque collège et chaque lycée pour la rentrée de septembre 2022. Christophe Frediani dénonce une baisse de moyens plus forte que les années précédentes dans son établissement, et d'autant plus incompréhensible à ses yeux que le nombre d'élèves global, lui, est stable (+4 élèves). [Millau] Le collège Marcel-Aymard tire la sonnette d’alarme.

ÉDUCATION Après le lycée Jean-Vigo la semaine dernière, ce sont les professeurs du collège Marcel-Aymard qui dénoncent une baisse de moyens avec 35,5 h d’enseignement en moins dans la prochaine Dotation globale horaire (DGH). Cette nouvelle baisse se traduit par une classe de sixième menacée de fermeture et d’autres classes gonflées à 30 élèves. Vendredi, ils étaient une trentaine à débrayer devant l’établissement en fin de matinée.

L’occasion aussi pour eux de demander un poste de CPE supplémentaire – un seul gère actuellement le millier d’élèves – la création d’une classe de quatrième, et davantage d’Aides éducative à domicile (AED) que les 12 équivalents temps pleins partagés entre 16 personnes. Aurélie Eson, adjointe en charge de l’éducation et de la restauration collective à la mairie de Millau , également enseignante, s’est associée au mouvement et devrait écrire au ministre de l’Education « au nom de l’égalité des chances en milieu rural ». Pétition contre la baisse des moyens au lycee Gambetta-Carnot d'Arras. Pétition contre la baisse des moyens au lycée Gambetta-Carnot d’Arras. Nous, membres de la communauté du lycée Gambetta-Carnot d’Arras (enseignants, parents d’élèves et responsables légaux, personnels, élèves), en signant cette pétition, souhaitons exprimer notre désaccord face à la baisse de le Dotation Horaire Globale du lycée prévue par le rectorat pour la rentrée 2022.

Le rectorat prévoit en effet une perte de 126 heures d’enseignement par semaine (heures poste et heures supplémentaires cumulées), alors même qu’il prévoit une augmentation du nombre d’élèves ! (1645 élèves en 2021 contre 1677 prévus en 2022). Cette baisse de moyens va dégrader les conditions d’apprentissage des élèves. Elle peut en effet se traduire par les évolutions suivantes : Augmentation du nombre d’élèves par classe Diminution d’heures en demi-groupe Réduction d’heures d’options Nous demandons à ce que les élèves puissent étudier et les professeurs travailler dans de bonnes conditions. Les enseignants du lycée Étienne Bézout en grève le 15 février.

Par Karine BrivesPublié le 16 Fév 22 à 9:06 La République de Seine et Marne Voir mon actu Depuis 2018, la réforme du lycée se met progressivement en place. Elle a pour but de simplifier l’examen du baccalauréat et de prendre en compte le contrôle continu. L’objectif est de valoriser les efforts que réalisent les élèves tout au long de l’année. Une idée plutôt intéressante sur le papier mais qui se heurte, depuis deux ans, à une situation de crise sanitaire qui accélère certains phénomènes : manque de professeurs pour remplacer les absents, surcharge des effectifs dans les classes.

Nombre de professeurs pointent du doigt le système de la dotation horaire globale (DHG), une enveloppe d’heures attribuée à chaque collège par la direction académique, afin d’assurer l’ensemble des enseignements (obligatoires et facultatifs) sur la semaine. , détaillent les enseignants qui veulent être reçus en délégation au rectorat avec l’appui du chef d’établissement afin de se faire entendre.

La Courneuve - Grève au collège Raymond Poincaré pour des moyens horaires et humains supplémentaires. Gagny : grève des personnels et mobilisation des parents au collège Pablo Neruda. Dans les collèges et les lycées, un enseignement à moyens ternes – Libération. Collège Vasco de Gama : les professeurs tirent le signal d'alarme. Par Rédaction MelunPublié le 14 Fév 22 à 20:30 La République de Seine et Marne Voir mon actu Chaque année les établissements se voient prescrire une DHG (Dotation horaire globale) en fonction du nombre d’élèves.

Selon les professeurs, cette DHG calculée par la Direction des Services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) ne prend pas en compte la réalité du terrain. « Dans le collège Vasco de Gama, il y a systématiquement une différence entre le nombre d'élèves remonté à la DSDEN et le nombre d'élèves pris en compte par cette dernière, c'est comme si des élèves disparaissaient dans la nature ! Moins d'élèves, cela veut dire une baisse de la dotation et donc des économies pour la DSDEN » « Dans l’établissement cela se traduit par des effectifs à la limite du seuil pédagogiquement acceptable ainsi que du manque de matériel. . , explique un autre enseignant. Leur mobilisation permettra-t-elle d’inverser la tendance ? Cet article vous a été utile ? Castelsarrasin. Les parents d’élèves réclament davantage de moyens au lycée.

L'essentiel Au lycée Jean-de-Prades, décrochage scolaire et suppression de postes à venir inquiètent les parents d’élèves. Les représentants des parents d’élèves du lycée Jean-de-Prades, réunis le 10 février dernier à l’occasion du conseil d’administration ont partagé leur réflexion sur la répartition des moyens proposée par le chef d’établissement. Ils soulèvent notamment plusieurs problématiques récurrentes. "Nous ne remettons aucunement en cause le travail présenté, mais souhaitons protester contre la dégradation des conditions d’étude des élèves, rendue encore plus criante par la situation exceptionnelle que nous traversons.

Nous avons conscience que la marge de manœuvre de l’établissement est de plus en plus limitée. On le sait, la crise épidémique et les mesures sanitaires prises en conséquence, ont favorisé le décrochage scolaire et accentué les inégalités entre les élèves. Rassemblement devant le rectorat de Créteil pour une autre rentrée 2022. Mobilisation, soutenue par des élus municipaux, au lycée de Saint-Céré. Des budgets qui se réduisent « comme peau de chagrin » - Le Monde. « Déshabiller Pierre pour habiller Paul », « couper là où il reste du gras », « réduire les budgets comme peau de chagrin »… Les métaphores ne manquent pas, dans les rangs des enseignants, pour dénoncer la répartition des moyens en prévision de la rentrée 2022. Dans certains collèges et lycées, la baisse des budgets se fait durement ressentir en cette fin d’hiver, saison des négociations sur la « dotation horaire globale », l’enveloppe d’heures allouées à chaque établissement pour fonctionner.

Selon le SNES-FSU, majoritaire dans le second degré, des « mobilisations » seraient en cours dans une soixantaine d’établissements du secondaire, en majorité des collèges. Dans l’enseignement primaire, quelques écoles par département sont « en lutte » contre des fermetures de classes. Des rassemblements sont parfois prévus cette semaine, notamment dans les académies de Créteil et de Versailles, à l’initiative d’enseignants et de parents. Au collège de Bagnols/Cèze, deux classes menacées de fermeture. Ce mardi midi, parents d’élèves et enseignants du collège le Bosquet de Bagnols-sur-Cèze se sont mobilisés devant l’établissement. Tous sont inquiets du risque de fermeture de deux classes à la prochaine rentrée. David Crunelle, professeur d’anglais et représentant de la section SNES-FSU du collège, veut alerter sur les conséquences que pourraient avoir ces deux fermetures de classe (une sixième et une quatrième, NDLR) : « Si on se retrouve avec deux divisions en moins alors que les effectifs sont constants, cela va donner des effectifs à 29-30 élèves par classe l’an prochain contre 24-25 actuellement. » Il craint que les classes se retrouvent surchargées dans « des locaux qui ne sont pas adaptés« .

Certains élèves « ne sont déjà pas positionnés face au tableau » et dans les salles de chimie, il n’y a que 24 places sur les paillasses. Parents et professeurs ont le sentiment que cet ancien collège déclassé de Rep+ depuis 2014-2015, voit ses anciens moyens se réduire d’année en année. Fermeture de classes : ça coince dans les collèges du Val-de-Marne. A Cachan, la FCPE du collège Victor Hugo regrette que le collège ne bénéficie toujours pas des moyens de l’éducation prioritaire malgré le profil sociologique des familles. “Comment justifier l’absence de prise en compte par les services de l’Education nationale de la ségrégation sociale qui croît entre deux établissements distants de seulement 800 m, l’un accueillant 16% d’enfants de familles favorisées contre 51% chez son voisin ? Comment peut-on renforcer les valeurs républicaines du vivre ensemble et de l’égalité des chances quand de tels arbitrages cautionnent – pour ne pas dire organisent – le départ des familles aisées sectorisées sur le collège Victor Hugo vers l’enseignement privé ?

“, questionne la FCPE. Etablie pour la rentrée 2015, la nouvelle carte de l’Education prioritaire n’a en effet pas été réactualisée depuis, figeant les moyens alloués par établissement. Le recteur promet plus de profs malgré moins d’élèves. Grève au collège Poincaré à La Courneuve. Pétition : halte à la dégradation des conditions d'enseignement au collège Moulin Joly de Colombes. Alors que la crise sanitaire dégrade depuis plus de deux ans l'enseignement et renforce les inégalités, donner des moyens pour l’Éducation devrait être une priorité. Pourtant, dans notre département des Hauts-de-Seine en particulier, les suppressions de postes se poursuivent.

Ainsi, dans notre établissement classé Réseau Éducation Prioritaire (REP), alors que 36 élèves supplémentaires sont prévus dans notre établissement pour la rentrée 2022, la dotation en heures de notre collège prévoit 9 heures en moins ! Ces choix ont des conséquences directes : - l'augmentation des effectifs par classe. Des classes surchargées ne permettront pas l'accompagnement des élèves les plus fragiles quand l'attention devrait pourtant se porter sur eux en Éducation prioritaire. . - conséquence du point précédent, la suppression de presque tous les dédoublements, pourtant nécessaires à l'accompagnement des élèves.

. - l'augmentation des effectifs par classe. Collège Georges-Chaumerton : les parents se mobilisent aux côtés des enseignants. À l’appel de la FCPE, les parents du collège Georges-Chaumerton de L’Union se mobiliseront, devant l’établissement, demain mercredi 16 février à 12 h 30, pour dénoncer l’augmentation des effectifs des élèves. Le corps enseignant avait aussi alerté sur une situation de plus en plus difficile, dans nos colonnes le 5 janvier dernier. C’est maintenant aux parents d’élèves de tirer la sonnette d’alarme pour alerter sur les conditions d’accueil des collégiens. "Nous demandons une révision immédiate de la carte scolaire afin que les effectifs du collège restent dans des proportions raisonnables, pour garantir un climat scolaire propice aux bons apprentissages pour l’ensemble des élèves. ", explique Fabrice Ruffier, président de la FCPE du collège Chaumerton.

Contacté, le rectorat n’a pas donné suite à nos sollicitations. Grève au collège Denis Diderot d'Aubervilliers, les personnels demandent un plan d’urgence pour l’éducation. Rodez - Personnels et parents du lycée Monteil se mobilisent. Le collège Herriot de Maisons Alfort en grève. Lycée de Saint-Céré : dotation en baisse, inquiétude pour la spécialité espagnol. Le conseil d’administration du lycée Jean Lurçat de Saint-Céré, réuni le 10 février, s’insurge contre le chiffrage de la dotation globale annoncée pour la rentrée 2022. "Alors que les effectifs annoncés par les services du Dasen sont stables (plus quatre élèves), le montant de la dotation attribuée est quant à lui en baisse de 38 heures par rapport à janvier 2021, déplore-t-il. Dans ces conditions, nul ne peut s’imaginer que les lycéens de Saint-Céré puissent bénéficier de conditions d’études satisfaisantes et que la qualité du service public d’éducation puisse être maintenue. La dotation étriquée allouée ne permet plus de financer l’offre de spécialités qui se faisait déjà au prix de conditions d’apprentissage dégradées pour les élèves de seconde".

C’est "au nom de cette histoire" que le conseil d’administration du lycée Jean Lurçat demande solennellement au recteur de bien vouloir accorder, à l’instar de ce qui se fait pour l’occitan, une dotation horaire annuelle spécifique. Colombes : les personnels du collège Moulin Joly et du lycée Maupassant mobilisés contre la baisse des moyens. Bagnères-de-Bigorre. Des classes de maternelle et de collège menacées. Grève au collège Gabriel Péri d'Aubervilliers, les personnels dénoncent la baisse des moyens. Millau - Les professeurs dénoncent une nouvelle baisse des moyens. Collège Joliot Curie d'Aigues-Mortes : enseignants et parents se mobilisent contre la fermeture des classes.

Mobilisation contre la suppression de deux classes au Bosquet. Mobilisation au Lycée de Verneuil dans l'Eure - France 3 Normandie. Dijon. Lycée Montchapet : un haka pour dénoncer la suppression d’heures. Cherbourg : un boycott au lycée Millet pour dire "non" à la suppression de moyens | La Presse de la Manche. Les dotations du 77 insuffisantes : grève, demandes d’audience, communiqués des établissements. Essonne: professeurs, parents et élèves ont occupé pacifiquement le lycée Camille Claudel à Palaiseau, vendredi soir, pour protester contre la baisse des heures d'enseignement. Bayeux. Les profs du Lycée Chartier sortent les banderoles contre la dotation horaire globale.

Genlis. Au collège, les profs se mobilisent contre la baisse de la dotation horaire. 80 % de grévistes au lycée de Gaillac contre les suppressions de postes. Pétition - Ouvrir deux classes au collège Georges Braque de Dieppe. Pétition : 56 heures pour le collège des Petits Ponts ! "On n'est pas des sardines" : des enseignants et parents d'élèves rassemblés devant le collège Albert-Camus d'Auxerre. Vitry-sur-Seine : crêpes party des parents et personnels pour dénoncer le manque de moyens. Nemours - Les personnels du lycée en grève le 15 février. Perpignan - Collèges : parents et enseignants se rassemblent contre les baisses de dotations. Education : parents et enseignants du secondaire exigent des moyens supplémentaires pour la rentrée scolaire 2022.

Pyrénées-Orientales : "L'équivalent de dix postes en moins" à la rentrée prochaine dans les collèges. Cany-Barville. Professeurs, parents et élèves manifestent pour défendre leur classification, menacée à la rentrée. Saint-Martin-de-Ré : la fermeture programmée de deux classes au collège fait des vagues. Gard : un rassemblement pour faire de l’éducation prioritaire "une priorité" "On va nous fermer une classe pour un élève?" Professeurs, parents et collégiens en colère se mobilisent à Grasse. Ardèche. Annonay : les professeurs du lycée Boissy-d’Anglas en colère contre leurs conditions de travail. Latresne : les professeurs dénoncent un collège trop plein et un manque de moyens.

Saint-Denis : parents et personnels appelés à manifester le 12 février. ROANNE. Lycée J.-Puy : manifestation contre la suppression de postes et de classes. Hauts de Seine : des établissements mobilisés contre les conditions de la rentrée 2022. Préparation de la rentrée 2022 : les établissements normands se mobilisent. Albi. Les professeurs du lycée Rascol alertent sur les effectifs. 30 élèves en plus mais 110h en moins au lycée Jean Zay d'Aulnay-sous-Bois : inacceptable ! Cotentin : inquiets pour les collégiens, parents et professeurs se mobilisent | La Presse de la Manche. Cahors : Suppression d’une classe de 5ème, 30 élèves par classe… les enseignants du collège Gambetta dénoncent « des choix inacceptables » Rentrée 2022 : dans l'académie de Toulouse, les collèges et lycées mobilisés. Suppression d’une classe à la rentrée 2022 : mobilisation au collège André Boulloche de Bart.

Blocage du collège Saint-Exupéry à Perpignan : parents et profs mobilisés contre la fermeture d'une classe. Lot : "lycée mort" à Champollion à Figeac, les professeurs indignés en grève. À Lesneven, des enseignants mobilisés contre le projet de fermeture de classe au collège Saint-Exupéry - Lesneven. Grève des profs au collège Herriot de Maisons-Alfort. « Une aberration administrative »: un collège de la Nièvre lutte contre une fermeture de classe alors que le nombre d'élèves augmente. Rochefort : moins d’heures pour le collège Grimaux à la rentrée, les professeurs s’inquiètent. Auxerre : on ne veut pas de classes à 30 élèves au collège Albert Camus. Le personnel du collège Eugène-Vigne mobilisé. Annonay. Les enseignants mobilisés devant le collège Les Perrières. Cahors : Suppression annoncée d’une classe de 6ème au collège Olivier de Magny  Valentigney. Cinq élèves en moins, cent heures supprimées : opération "lycée mort" mardi.

A Dieppe, le collège Braque se mobilise pour sauver deux classes menacées de fermeture. Enseignement secondaire Lycée Blaise-Pascal. 7 suppressions de postes à la rentrée, espèce en danger ? Beaucourt : des profs se mettent à nu pour dénoncer un "collège à poil" Nouvelle mobilisation contre la baisse de la dotation horaire globale au collège de Puy-Guillaume (Puy-de-Dôme) - Puy-Guillaume (63290) Dijon. Deux classes menacées de fermeture au lycée Montchapet : enseignants, parents et élèves mobilisés. Ribécourt-Dreslincourt. Les professeurs du collège de Marly protestent contre la fermeture d’une classe de 6 ème - Oise Hebdo. Les profs du collège Alain de Crozon manifestent contre une possible fermeture de classe - Crozon. « Lycée mort » à Jules Haag : 70 % d’enseignants en grève ce lundi.

Joué-lès-Tours : enseignants, parents et élèves bloquent le collège contre la menace d'une fermeture de classe. Lormont : des suppressions d’heures d’enseignement dénoncées au lycée Elie-Faure. Fin du blocage au collège Beaulieu de Joué-lès-Tours. Dans les écoles, collèges et lycées de Bourgogne, l'enseignement se mobilise face aux suppressions de classes. Besancon-on-vous-explique-pourquoi-les-professeurs-du-lycee-jules-hagg-sont-en-greve-2441758. La cité scolaire Raymond-Loewy de La Souterraine (Creuse) se mobilise pour réclamer du personnel - La Souterraine (23300) Perpignan : le collège Jean-Moulin entre en résistance contre la baisse annoncée de sa dotation. Villefranche-de-Rouergue : les profs du lycée Savignac mobilisés contre la baisse de dotation. Après une semaine de grève, la rectrice attendue à la cité scolaire de La Souterraine samedi. Nîmes : le collège des Oliviers menacé de fermeture d’une classe de sixième et de perte d’heures de soutien.

Ostwald. Lanceurs d'alerte, les parents d’élèves organisent une journée « collège mort » Un lycée en grève ce jeudi 3 février à La Rochette. Levallois. Grosse mobilisation au Collège Bleriot contre la fermeture de 3 classes.