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Breeder reactor. A breeder reactor is a nuclear reactor capable of generating more fissile material than it consumes.[1] These devices are able to achieve this feat because their neutron economy is high enough to breed more fissile fuel than they use from fertile material like uranium-238 or thorium-232. Breeders were at first considered attractive because of their superior fuel economy compared to light water reactors. Interest in breeders declined after the 1960s as more uranium reserves were found,[2] and new methods of uranium enrichment reduced fuel costs. Fuel efficiency and Types of Nuclear Waste[edit] Breeder reactors could, in principle, extract almost all of the energy contained in uranium or thorium, decreasing fuel requirements by a factor of 100 compared to traditional once-through light water reactors.

Nuclear waste became a greater concern by the 1990s. The physical behavior of the fission products is markedly different from that of the transuranics. Types of breeder reactor[edit] Les USA s'intéressent aux petits réacteurs nucléaires civils > Nucléaire. Une étude récemment publiée par l'Institut politique de l'énergie à l'Université de Chicago (EPIC) conclut que les petits réacteurs atomiques modulaires (SMR) pourraient détenir la clé de l'avenir de la production nucléaire américaine. "De toute évidence, une industrie robuste du SMR serait très avantageuse pour de nombreux secteurs aux États-Unis", a conclu l'étude, dirigée par Robert Rosner, directeur de l'Institut et par William Wrather Professeur en astronomie et astrophysique. "Ce serait un énorme stimulus pour la création d'emplois à forte valeur ajoutée, que de restaurer le leadership américain en matière de technologie de réacteurs nucléaires et, surtout, de renforcer son influence dans un monde post-Fukushima, sur des questions liées à la sûreté nucléaire, la sécurité nucléaire, la non-prolifération, et la gestion des déchets nucléaires", a noté aussi le rapport.

L'un des deux rapports SMR a été dévoilé ce mois-ci au Centre d'études stratégiques et internationales de Washington. Www.academie-sciences.fr/activite/cr/CRPhys_article.pdf. L'accident majeur de Fukushima - Rapport du groupe de travail Solidarité Japon de l'Académie des sciences. "L'accident majeur de Fukushima" Considérations sismiques, nucléaires et médicales Rapport du groupe de travail Solidarité Japon présidé par Alain Carpentier avec Étienne-Émile Baulieu, Édouard Brézin et Jacques Friedel Éditions EDP Sciences - Mars 2012 - 29,00 € [Disponible en texte intégral sous ce lien] Pour commander ce rapport "Le 11 mars 2011, le district Nord-Est du Japon a été frappé par un tremblement de terre massif suivi d'un tsunami majeur et d'une série d'accidents à la centrale nucléaire de Fukushima avec fuites d'éléments radioactifs". Tel est le message que le professeur Kanazawa, président du Science Council of Japan adressa quelques jours après la catastrophe aux présidents des académies des sciences étrangères, ajoutant qu'il nourrissait l'espoir que ces académies aideraient à la réhabilitation nécessaire.

Lire la présentation de Alain Carpentier, Président de l'Académie des sciences Lire les recommandations de la première partie : "Mégaséismes et mégatsunamis" Financement des charges nucléaires de long terme : publication du premier rapport de la CNEF. 25 juillet 2012 (mis à jour le 16 décembre 2013) La Commission nationale d’évaluation du financement des charges de démantèlement des installations nucléaires de base et de gestion des combustibles usés et des déchets radioactifs (CNEF) a remis son premier rapport triennal au Parlement et au Haut-Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN), conformément au code de l’environnement (art. L-594-11). Cette Commission a pour rôle d’évaluer le contrôle des exploitants nucléaires dans le domaine du financement des charges de long terme, mission confiée conjointement aux ministres de l’économie et de l’énergie.

Ce rapport est public et disponible en téléchargement ici (PDF - 1708 Ko). L’article ci-dessus rappelle le dispositif de sécurisation du financement des charges nucléaires de long terme. World Nuclear Industry Status Report - The Independent Assessment of Nuclear Developments in the World. Nucléaire : une culture du risque et de l'anticipation est indispensable. Après un voyage d'étude à Tchernobyl, Nicolas Imbert, directeur exécutif de Green Cross France, fait le point sur la situation locale vingt-six ans après la catastrophe. L'occasion pour lui d'insister sur les externalités de l'énergie nucléaire, avant le grand débat national sur l'énergie. Nicolas ImbertDirecteur exécutif de Green Cross France Actu-environnement : A l'occasion du vingt-sixième anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl, vous vous êtes rendu, avec une délégation internationale, dans la région de Tchernobyl. Quel était l'objet de ce voyage ? Nicolas Imbert : L'objectif était de revenir sur les impacts sanitaires et environnementaux des catastrophes nucléaires et d'affirmer que, plus de vingt-cinq après, on ne peut pas considérer que Tchernobyl est derrière nous.

Dans les zones rurales, les populations font encore face à de nombreuses difficultés, que ce soit pour l'accès à l'alimentation ou plus généralement dans la capacité de reconstituer une vie économique et sociale. Un an après fukushima, quels enseignements pour le CEA ? > Nucléaire. Perspectives de l'énergie nucléaire : vers un monde bipolaire ? > Nucléaire.

Au cours des dernières décennies, l'énergie nucléaire a été perçue par de nombreux analystes, décideurs publics et investisseurs comme une option abordable et raisonnable pour produire massivement de l'électricité tout en satisfaisant à la fois la sécurité d'approvisionnement et les préoccupations liées au changement climatique. L'accident de Tchernobyl en 1986 avait mis un sérieux coup d'arrêt au développement de l'industrie nucléaire mondiale dans son élan; mais 25 ans plus tard, une relance du nucléaire commençait à d'esquisser. Cependant après l'accident de Fukushima, l'avenir du nucléaire est redevenu incertain car les pays ont réagi de manière contrastée. Si certains, comme l'Allemagne, ont décidé de sortir de cette énergie, d'autres, comme la France et la Chine, se sont engagés à maintenir la place du nucléaire tout en en renforçant sa sécurité. [ Cliquez sur l'image pour zoomer ] Aujourd'hui, les projets les plus ambitieux au monde sont prévus dans toute l'Asie.

Nucléaire : "le coût du MWh produit s'élève à 49,5 euros" > Nucléaire. La Cour des comptes a publié mardi un rapport inédit sur l'ensemble des coûts liés à la production d'électricité nucléaire en France, une initiative qui fait suite à la demande de François Fillon de tenter de rétablir une vérité chiffrée sur la filière tout entière. Dans la matinée sur France 2, la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet avait affirmé avant la publication officielle du rapport avoir perçu "des incertitudes sur certains coûts", tout en ajoutant qu'il faudra "préciser pour être sûr que tout soit bien intégré.

" "Le nucléaire reste, même avec ces incertitudes, une énergie relativement peu chère", a déclaré la ministre. Au contraire, les élus et associations écologistes ont affirmé le matin même que le rapport de 400 pages "met en pièce le mythe du nucléaire bon marché", pointant du doigt une "énergie aux coûts non maîtrisés".

Que dit le rapport ? A - Des dépenses passées relativement bien identifiées 1 - Un investissement initial lourd Accés aux rapports de la Cdc : Cdc : "Il faudrait construire 11 EPR d'ici la fin de 2022" > Nucléaire. Prolonger la durée de fonctionnement des centrales nucléaires au delà de 40 ans semble inévitable au vue des chiffres et des arguments énoncés par la Cour des comptes, à moins de réaliser des investissements colossaux tout en baissant drastiquement la consommation d'électricité. Explications : "La durée de fonctionnement de chaque centrale fait l'objet d'un examen décennal par l'Autorité de sureté nucléaire (ASN) qui précise les conditions d'une éventuelle autorisation de poursuivre l'exploitation. Actuellement, seuls deux réacteurs des centrales du Triscastin et de Fessenheim ont reçu une autorisation de fonctionnement jusqu'à 40 ans, sous réserve de la réalisation de travaux significatifs pour en améliorer la sécurité.

" "Toutefois, comptablement, les centrales d'EDF sont amorties sur 40 ans depuis 2003. La Cour constate que d'ici une dizaine d'années (fin 2020), "22 réacteurs sur 58 atteindront leur quarantième année de fonctionnement". Eric Besson confirme l'avantage économique du parc nucléaire > Nucléaire. Nucléaire: comment Sarkozy a piégé les écolos. La construction du parc nucléaire a coûté 96 milliards d'euros. La Cour des comptes a rendu, ce matin, son rapport sur les coûts de la filière du nucléaire. Le meilleur est à lire entre les lignes. En mai 2011, les anti-nucléaires sont à la fête. Pour la première fois depuis qu’a été lancé le programme électronucléaire français, un président de la République accède à l’une de leurs demandes historiques: révéler les coûts du nucléaire tricolore.

Un exercice auquel s’était déjà attelé le trio Charpin-Dessus-Pelat, en 2000. Tenant la promesse faite par le président Sarkozy, le Premier ministre mandate, le 17 mai dernier, la Cour des comptes pour «expertiser les coûts de la filière nucléaire, y compris ceux relatifs au démantèlement des installations et à l’assurance des sites». Coordonné par l’ancienne présidente de l’Ademe, la conseillère-maître Michèle Pappalardo, le rapport est bouclé en moins de 8 mois.

Mais ses 440 pages reforgent d’autres pépites. La suite ne l’est pas moins. Le coût de production du nucléaire va augmenter, selon la Cour des comptes. Même si elle estime que de nombreuses données sont incertaines, la Cour des comptes évalue à 10 % minimum la hausse prochaine du coût de production de l'électricité nucléaire qui est estimé aujourd'hui à 49,50€ le mégawatt heure. La Cour des comptes a remis ce mardi 31 janvier son rapport sur les coûts de la filière électronucléaire, demandé par le gouvernement le 31 mai dernier afin d'éclairer le débat sur l'avenir du nucléaire, relancé par la catastrophe de Fukushima. Si les dépenses passées et présentes sont relativement bien identifiées par les exploitants et chiffrables, analyse la Cour des comptes, les dépenses futures sont incertaines. Malgré les incertitudes, la Cour des comptes estime à 49,50€ le coût du mégawatt heure produit en 2010, en se basant sur un parc d'une durée de vie de 40 ans.

Ce coût devrait augmenter au minimum de 10 % dans un avenir proche. Des dépenses passées et présentes plutôt bien connues Des dépenses futures incertaines mais à la hausse. "Il vaut mieux prolonger les centrales nucléaires existantes que de renouveler le parc" La Cour des comptes a rendu son rapport sur les coûts de la filière électronucléaire en France, mardi 31 janvier. Mathieu Chaouat, consultant chez SIA conseil spécialiste de l’énergie, répond aux questions de L’Usine Nouvelle. L'Usine Nouvelle - Dans son rapport, la juridiction financière chiffre les coûts de la prolongation de la durée de vie des centrales. Les investissements de maintenance annuels vont gonfler, pour atteindre un total de 55 milliards d'ici à 2025. La France en a-t-elle les moyens ? Mathieu Chaouat - Il faut d’abord souligner que le coût du MWh est bien moindre pour les centrales existantes, même si on doit investir dans leur prolongation, par rapport aux coûts annoncés de l’EPR (entre 70 et 90 euros du MWh).

Il vaut donc mieux prolonger le plus possible les centrales existantes plutôt que de renouveler massivement le parc dans les prochaines années. Le coût global retenu pour le nucléaire est de moins de 50 euros le MWh. Le démantèlement coûterait plus cher ? Energie nucléaire : l'Académie des sciences met en avant quelques défis à relever. Dix mois après l'accident de Fukushima, l'Académie des sciences a rendu public son avis sur les défis que devra relever la filière nucléaire française.

Pour l'institut, l'énergie nucléaire est devenue une composante essentielle et incontournable des ressources énergétiques de l'Hexagone, car "les centrales nucléaires sont aujourd'hui le seul moyen de produire en base de l'électricité concentrée, permanente et sans émission de gaz à effet de serre". Toutefois, l'Académie que certaines leçons doivent être tirées des accidents nucléaires majeures intervenus dans le passé et souligne "l'importance du respect des normes parasismiques et celle de la protection contre tout événement extrême d'origine naturelle ou malveillante".

Une recommandation porte également sur le besoin de favoriser les projets de regroupement du retraitement et de la fabrication du combustible au plutonium pour diminuer au maximum les transports de matières sensibles. Www.academie-sciences.fr/activite/rapport/avis170112.pdf. A Post-Nuclear Future Might Not Be as Safe and Clean as You Think | ParisTech Review. In the wake of the March 11 tsunami in northeast Japan, which added Fukushima to Chernobyl and Three Mile Island on the short list of nuclear disasters, many countries have been reconsidering their nuclear programs. On May 30, Germany became the first to make a major decision: Chancellor Angela Merkel committed her country to phasing out all of its nuclear plants by 2022. German environmentalists greeted the announcement with enthusiasm, but officials in France, which generates more than 70 percent of its power from nuclear plants, described the decision as irresponsible, and bound to worsen global warming.

Are the Germans taking a far-sighted step in eliminating a dangerous technology? Or are the French correct that the Germans are misjudging the true consequences of their energy choices? Coal Coal generates 42 percent of the world’s electricity, according to the International Energy Agency, and its share is growing. There could be other knock-on effects as well. Des réacteurs nucléaires russes au bord de la catastrophe - Production d'électricité. Dans un rapport adressé au président Dimitri Medvedev, Rosatom pointe des graves failles de sûreté sur les réacteurs du pays. Un document qui donne des sueurs froides. La Russie est fortement nucléarisée avec 32 réacteurs en production (58 en France).

Après l’accident de Fukushima, le 11 mars dernier, les autorités publiques ont lancé un audit de ces installations. Le rapport d’étape, confidentiel, a été en partie révélé et médiatisé par l’ONG norvégienne Bellona. En premier lieu, le document indique que de nombreuses installations ont été construites sans vérifier la sismicité de la région. Troisièmement, certains bâtiments sont littéralement en train de s’effondrer. Face à ce document alarmant, Erik Lahnstein, ministre norvégien des Affaires étrangères, a demandé que ce rapport soit envoyé en son intégralité à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Le rapport Rosatom en téléchargement : doc PDF (70 ko) L’AIEA veut rendre les centrales plus sûres rapidement. Plus de trois mois après la catastrophe de Fukushima, les pays membres de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) incitent à des contrôles réguliers dans toutes les centrales nucléaires.

Reste la question des modalités à fixer. Dans une déclaration finale, les 151 membres de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) estiment qu'après la catastrophe nucléaire japonaise, les contrôles doivent être réguliers et renforcés dans les centrales nucléaires. Au cours de leurs discussions, les pays ont repris les propositions faites par le responsable de l’AIEA, le Japonais Yukiya Amano. Elles portaient notamment sur l’intervention des équipes internationales de l’agence pour mener les tests dans les centrales.

"Les évaluations nationales sont le point de départ, mais elles doivent être suivies par des tests d'experts internationaux de l'AIEA", explique le Japonais. Autre question à régler : le financement d’une telle mesure. Fukushima : Tepco face à la colère de ses actionnaires - Production d'électricité. L’arrêt du nucléaire a déjà des conséquences sur l’électricité en Allemagne. EON et RWE prudents sur le nucléaire britannique. Areva : l’AMF donne son accord à l’OPE - Production d'électricité. Uranium appauvri. Dozens of countries queue up to go nuclear - tech - 24 June 2011. Germany To Completely Phase Out Nuclear Power by 2022.