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Yoga

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Le Yoga pour les enfants : aider à la gestion des émotions. Le Yoga pour les enfants : aider à la gestion des émotions ? Posted by Chrystelle on 21 septembre 2013 · 19 commentaires Dans ma famille, on a plutôt le sang chaud.

Rapport à mes origines andalouses, basques et béarnaises. Autant dire que les démarrages au quart de tour, dans la famille, ça nous connaît. Et que des pro en « gestion » des émotions, ben il n’y en a pas. En plus de ça, on est à peu près tous des dingos de boulot. La pomme ne tombant pas loin de l’arbre, ma Zouzou a hérité un peu de tout ça. Quand un jour, j’ai eu l’idée de lui offrir un livre : Mon premier livre de Yoga (enfin le Père Noël mais ça reste entre vous et moi). Pour la poser, la calmer, lui apprendre à bien respirer et souffler. Ou encore le mouvement de Merlin le Castor pour détendre tout son corps et se recentrer Ou encore le mouvement de Doug le Cobra idéal après l’école pour évacuer la nervosité. Personnellement mon préféré est celui de la licorne blanche qui calme les peurs. J'aime : J'aime chargement… La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau.

Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite.

Résultat ?