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La chute du sarkozysme

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Sarkozy sparks party revolt as voters lose confidence in him | W. The following correction was printed in the Observer's For the record column, Sunday 12 April 2010 This article said that President Sarkozy's party has held only one of France's 26 regions in the recent second round of regional elections. Sarkozy's party has indeed held only one of France's 22 metropolitan regions (Alsace). It has, however, also held two of the four overseas regions (La Réunion and Guyane). France's president, Nicolas Sarkozy, is facing an unprecedented crisis as a poll showed that fewer than 28% of voters had confidence in his leadership, and deputies in his own UMP party launched a revolt against his tax policies, a pillar of his administration.

Only two serving French presidents have polled lower, François Mitterrand and Jacques Chirac, but both maintained the support of their party. Describing Sarkozy as being "in no position to deliver a majority" in 2012, he called on senior members of the party to "consider all eventualities". Where's Sarkozy? The French President's New Low Profile. During his three years in office, French leader Nicolas Sarkozy has been hailed by supporters and decried by opponents as a ubiquitous "hyper-President": a man who insists on calling all the shots, and with the highest profile possible.

Given that reputation, it's not surprising that many French voters are starting to wonder where Sarkozy has disappeared to in the past few weeks. The recent volcanic-ash travel chaos and the ongoing Greek-economy crisis are two no-brainer spotlight-grabbing opportunities, but the French President is nowhere to be seen. Why is a leader once championed — and criticized — for bringing bling-bling to the Elysée now passing on his moment to shine? The French may not be the only ones perplexed by Sarkozy's vanishing act. Instead, Sarkozy has been quietly carrying out the understated duties of the classic French presidency. But will it last? Sarkozy est-il fichu ? - Causeur.fr. Nicolas Sarkozy fait des grincheux à l'UMP.

La semaine passée, je me trouvais à banqueter dans une joyeuse ambiance avec une brochette de notables politiques montés de la vallée vers mon village perché pour une remise de médailles aux édiles locaux. Tout ce petit monde forme une bande de vieux amis blanchis sous le harnois de la gestion communale et cantonale depuis quelques décennies. La gauche n’a jamais été leur tasse de thé, c’est la région qui veut ça : pays de Contre-Réforme, le haut pays savoyard a été longtemps marqué par une emprise du clergé sur les esprits ruraux.

Les idées collectivistes et l’exercice de la lutte des classes n’ont pas été pourtant totalement absentes de l’histoire locale. Les convives avec lesquels je partageais le pain et le vin, le café et le pousse-café étaient donc encartés à l’UMP, à l’exception d’un jeunot qui s’est inscrit au Nouveau Centre pour faire le mariole. C’était la fête à Sarko, qui est sorti essoré de ce pow wow de sachems alpins. Les risques de la Sarkocaïne. Chouette ! Sarkozy a la trouille ! Tirons sur l'ambulance avec délectation. D'habitude ce n'est pas mon genre... J'aime bien jouer les mères tape-dur mais pas piétiner les gens qui sont à terre. Pourtant dans le cas de Sarko c'est avec un grand plaisir que je me propose de le faire...

Certes il n'est pas encore TOUT à fait à terre, mais le millefeuille d'ennuis se complète de nouvelles couches jour après jour... Crême patissière comprise. Ce depuis environ un an. Voici donc la chronologie des agacements du minus habens pompée très largement dans un article de 20 minutes.fr . Septembre 2009 : Brice Tout Luisant, comme le surnomment les guignols fait une blague douteuse sur le trop plein de couscoussières et de pâtisseries orientales qui mettrait gravement en péril notre bonne cuisine traditionnelle.

On attend la prochaine affaire. Ou encore le Karachigate, éclipsé fort à propos par l'affaire Bettencourt. Pendant ce temps, c'est déjà carrément le festival de Cannes. Ah si personnellement je décerne la palme à Liliane. Finalement Liliane, elle est vachement punk. A qui profite la construction de nouvelles autoroutes ? Anti-Grenelle selon les associations, « indispensable » pour Borloo, le projet devrait bénéficier aux sociétés privées. Explicateur. L’autoroute A13 entre Caen et Paris, le 26 août 2005 (Charles Platiau/Reuters). Trois ans après le Grenelle de l’environnement, le ministère de l’Ecologie vient de publier son Schéma national des infrastructures de transport (SNIT).

Ce document prospectif prévoit de construire 879 kilomètres d’autoroutes supplémentaires. Un vrai reniement pour les associations écologistes, une « révolution » pour Jean-Louis Borloo. Le SNIT remet-il en cause les engagements du Grenelle de l’environnement ? « La priorité ne sera plus au rattrapage routier, mais au rattrapage des autres modes de transport. » Octobre 2007, la promesse de Nicolas Sarkozy ravit les protagonistes du Grenelle de l’environnement qui s’achève. 11 042 kilomètres d’autoroutes, 20 000 kilomètres de nationales, 377 984 kilomètres de départementales, 630 000 kilomètres de routes communales et de rues. Trois ans de Sarkozy : les contrevérités du bilan de l'Elysée | L’Elysée publie un document vantant les « trois ans d’action » du Président.

Un bilan comprenant nombre de contrevérités. Capture d’écran de la page d’accueil du site de l’Elysée « Trois ans d’action : 6 mai 2007-6 mai 2010 ». Dans ce livret de 56 pages disponible depuis mardi sur le site Elysee.fr, la présidence de la République fait la communication des mesures prises par Nicolas Sarkozy depuis son élection. Nous avons voulu vérifier l’honnêteté de ce bilan, ce que les confrères anglosaxons appellent un « fact checking », une vérification des informations livrées. En se basant sur les faits et en suivant le même ordre de présentation, Rue89 a fait le tour d’horizon de toutes ces « actions » et corrigé celles qui étaient le plus inexactes.

Sortir la France de la crise ? ► « En 2009, malgré la crise, le pouvoir d’achat des Français a ainsi progressé de 2,1%. » Pourquoi ne retenir que l’année 2009 ? Un exemple trop beau pour être vraiment exact. . ► Vouloir une France plus forte ? Il précise : L'abécédaire des promesses non tenues de Nicolas Sarkozy (2007-2. Sarkozy président a donc soufflé sa troisième bougie à l’Elysée. Depuis son élection, jamais cet anniversaire n’a véritablement été fêté comme il se doit. Coincé par un mauvais bilan, le Monarque a préféré masquer l’évènement dès la première année.

Toutes les élections intermédiaires ont été perdues (municipales en 2008, européennes en 2009, régionales en 2010). Une lente descente aux enfers qui pousse au questionnement jusque dans les rangs même du camp présidentiel. Il faut avouer que la liste des promesses non tenues s’allonge à fur et à mesure que l’on s’avance dans la mandature. La rupture n’est pas venue, exceptée dans l’outrance médiatique et la vulgarité politique.

Voici donc une mise à jour de l’abécédaire des promesses non tenues, réalisé une première fois en décembre 2008, une forme de réponse incomplète et subjective au court feuillet d'auto-justification publiée par les communicants de l'Elysée sur les trois années d'action écoulées. Politique : Guaino : «Il faut garder son sang-froid» Le conseiller spécial du chef de l'État évoque le gel des dépenses publiques, la crise grecque et tire les leçons des trois premières années du mandat de Nicolas Sarkozy. LE FIGARO. - François Fillon a annoncé jeudi un gel des dépenses publiques jusqu'en 2013. La gauche dénonce un «plan de rigueur». Que lui répondez-vous ? Henri GUAINO.- La «rigueur», c'est l'ajustement économique par la baisse du pouvoir d'achat.

Ce n'est pas du tout la politique du président de la République et du gouvernement. Une telle purge déflationniste casserait la reprise et creuserait davantage les déficits au lieu de les réduire. Quelle est la politique du gouvernement depuis trois ans ? Depuis trois ans, le déficit s'est beaucoup creusé… Comme dans tous les pays, parce que la crise a provoqué une chute des recettes fiscales et une augmentation des dépenses sociales. La situation de nos finances publiques n'est-elle pas dangereuse ? La crise grecque ne pousse-t-elle pas à une politique plus restrictive ? La communication de Sarkozy décryptée par France 5.