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Occupation de familles roms : le coup de gueule du maire de La Madeleine - Actualité Marcq. La loi n'oblige pas un maire à prendre en charge la question rom. La préfecture et la communauté urbaine de Lille ont en revanche leurs responsabilités. Sébastien Leprêtre juge que toutes deux ne les assument pas. C'est ce que le maire UMP de La Madeleine a tenu à faire savoir hier après l'arrivée de deux familles roumaines sur un terrain privé situé rue Marceau, à La Madeleine.

Revenons-en aux faits : les deux familles en question, une quinzaine de personnes, dont neuf enfants, ont été expulsées vendredi d'une maison inoccupée qui n'a pas encore été détruite en raison de la présence d'amiante. Les familles s'y étaient installées au début du mois. « On a été alertés par les riverains.

La police municipale est venue sur place. À peine sorties, les familles se sont installées sur un petit terrain situé derrière la maison qu'il avait occupée. 1. La Voix du Nord. Le casse-tête de l’aide aux réfugiés tunisiens. 150 migrants expulsés du squat de la rue de Fougères. Les cars de CRS ont envahi la rue de Fougères hier matin à 6 h pour déloger les 150 migrants qui y étaient installés. Réquisitionné par le DAL (Droit au logement) en février, le bâtiment appartenant au ministère de l'Agriculture est maintenant vide. Les demandeurs d'asile quittent les lieux à pied, sans savoir trop où aller. « C'est un peu démesuré comme intervention.

La route est même fermée aux piétons ! Et on n'a aucun moyen légal de contester l'expulsion », explique avec agacement Yannick Cottin du DAL 35. 56 personnes relogéesHier, les camions de déménagement ont évacué le mobilier accumulé depuis février . Les tentes ont disparu du jardin et les fenêtres ont été murées. « La plupart des gens vont se retrouver à la rue ou baladés par le Samu social, sans savoir où ils dormiront le soir.

Ici, c'était un havre de paix pour eux. Camille Allain Le maire réagit. Charleroi: Solidarités Nouvelles offre de la lecture au Conseil | Marcvama. Demandeurs d'asile : Daniel Delaveau demande au préfet d'"assumer les responsabilités de l'Etat" Aucun news_id n' a été donné Vous devez être identifié pour commenter. Aujourd'hui, 00h51 22 avril 2014, 18h12 22 avril 2014, 10h43 18 avril 2014, 22h20 18 avril 2014, 17h57 18 avril 2014, 14h29 17 avril 2014, 22h21 16 avril 2014, 15h43 12 avril 2014, 21h57 12 avril 2014, 21h12 11 avril 2014, 10h07 9 avril 2014, 18h04 Nathalie Appéré après sa victoire Aujourd'hui, 11h11 24 avril 2014, 22h50 23 avril 2014, 18h27 23 avril 2014, 16h16 23 avril 2014, 15h12 Commenté 5 fois Commenté 4 fois Commenté 3 fois.

Fil Web | Ces familles à la rue en attendant l’asile. Interpellations de migrants ''choquantes'' Une soixantaine d'étrangers soupçonnés d'être en situation irrégulière, en majorité des Tunisiens, ont été interpellés hier soir à Paris et à Pantin (Seine-Saint-Denis) et placés en garde à vue Le maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë a dénoncé aujourd'hui des interpellations "choquantes" et demandé à l'Etat de cesser ces opérations de police. De source préfectorale, on précise que les interpellations ont eu lieu dans les Xème, XVIIIème, XIXème et XXème arrondissements de la capitale ainsi qu'à Pantin. Cette opération visait à faire un diagnostic de la situation de ces étrangers en majorité des Tunisiens, mais aussi des Algériens, des Libyens soupçonnés d'être en "infraction à la législation sur le séjour", précise-t-on de même source.

Ce soir, une majorité devait faire l'objet d'un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière, ajoutait-on de même source. "Je demande à l'Etat de cesser ces opérations de police" « On dort où on peut, dans la rue ou les parcs » - 27/04/2011. Squatteurs de La Courneuve: le Dal débouté. Des réunions en série au sujet de la bagagerie. A mairie de Bordeaux s'efforce de reprendre le dossier de la bagagerie de la rue Ausone en mains. Rappelons qu'il s'agit de l'installation d'une consigne de 150 casiers permettant à des SDF sur le chemin de la réinsertion de déposer leurs affaires pour aller par exemple chercher du boulot (notre édition du 27 avril). Mercredi soir, une première réunion a permis de mettre les choses au point entre les commerçants et riverains opposés au projet, en tout cas à sa dimension et les élus concernés.

Plusieurs séances de travail y ont été annoncées. La première série sera animée par Alexandra Siarri, adjointe aux nouvelles précarités, et concernera le fonctionnement de la bagagerie, le nombre de gens accueillis, les horaires etc. En quelque sorte, il s'agira d'établir une charte du lieu entre les parties concernées, habitants compris. L'opposition demeure.

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