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Logiciel libre

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Le mouvement du logiciel libre : sentinelle des libertés en ligne. Par Farid Gueham. surveillance credits jonathan McIntosh (licence creative commons) Lorsque Lawrence Lessig, fondateur de Creatives Commons parle de Richard Stallman, leader du mouvement du logiciel libre, les superlatifs fusent : « Chaque génération a son philosophe, un écrivain ou un artiste qui capte l’air du temps. Notre génération a un philosophe. Il n’est ni artiste, ni écrivain professionnel.

Plus qu’un développeur engagé, Stallman s’affirme comme activiste politique, défenseur des libertés et de la circulation de l’information Récemment invité à l’European Lab qui s’est tenu à Lyon du 13 au 15 mai, le créateur de GNU s’insurge et s’indigne face à la loi sur le renseignement et l’effondrement des derniers remparts à notre liberté sur internet. « Un Smartphone en sait plus sur son propriétaire que ses proches et la tentation d’en utiliser ou d’en détourner un, est une menace à notre intimité, à nos envies et nos secrets ». Sur le web. Creative Commons : la licence la plus permissive traduite en français. Cela fait désormais treize ans que la fondation Creative Commons s'efforce de proposer une alternative légale et viable au droit d'auteur exclusif avec un système de licences offrant une grande souplesse aux créateurs pour encadrer l'utilisation et la diffusion de leurs œuvres. Ainsi, ces licences permettent de déterminer quels sont les droits qu'un artiste veut bien accorder au public et quels sont ceux qu'il souhaite garder.

Dans le système Creative Commons, il existe six grands contrats qui combinent en fait quatre règles : paternité, commercial ou non , modifiable ou non et créations dérivées à partager selon la même licence. Ainsi, une licence peut se contenter de la signature de l’auteur initial (BY), tandis qu'une autre peut s'avérer plus restrictive : signature, pas d'utilisation commercial, pas modifiable : BY-NC-ND. Avec le temps, un septième contrat a fait son apparition : Creative Commons Zéro. Un travail international. Économie collaborative : Pourquoi Jeremy Rifkin se plante sur toute la ligne. Par Eric Raymond. J’ai reçu une note de l’éditeur de Jeremy Rifkin m’indiquant que l’auteur a procédé lui-même à une demande afin qu’il m’adresse une copie de son dernier livre intitulé La nouvelle société du coût marginal zéro. La raison en est très claire : comme j’ai écrit sur l’économie des logiciels libres, il pense que je lui fournis l’un des cas paradigmatiques de son livre, à savoir la destitution des marchés de biens rares par la production à coût marginal nul.

L’ouvrage de Rifkin est le prolongement de l’argument selon lequel cette production à coût marginal nul est une tendance émergente qui va non seulement faire tomber en désuétude le capitalisme tel qu’on le connait mais, en plus, va entraîner avec elle toutes les formes de propriétés privées. Hélas pour M. Rifkin, mon analyse de la façon dont la reproduction des biens à coût marginal nul transforme les économies du logiciel me fait écrire que sa logique ne s’applique pas non plus à tout autre type de biens. Dégooglisons Internet. Offre Libre : un label pour les vrais professionnels du logiciel libre. Puisqu'il ne suffit pas de fournir des logiciels open-source pour respecter la lettre et l'esprit des logiciels libres, l'Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres (AFUL) a annoncé mardi le lancement d'un label Offre Libre, destiné à clarifier la nature des offres commerciales.

"Nombreuses sont les entreprises à s'être engagées dans le mouvement de l'Open Source, notamment au vu de la supériorité du modèle en terme de qualité, de contrôle et de compétitivité. Malheureusement, si ces entreprises ont toutes plus ou moins bien intégré les avantages du logiciel libre et de l'Open Source pour elles (les méthodes d’ingénierie, d'ouverture, la disponibilité d'une quantité considérable de composants, les possibilités de modifier le code), trop peu d’entre elles respectent à leur tour les libertés de leurs utilisateurs, notamment dans leurs rapports commerciaux", constate l'association. Pour gage de sérieux, le label n'est pas lui-même pas libre.

Le logiciel libre : un dispositif méritocratique ? 1 Selon l’étude du MERIT (2006), on estime que le logiciel libre était à l’époque, utilisé par 40 % d (...) 1Le monde de la production logiciel est très mondialisé et concentré autour de quelques acteurs. Que l’on pense à Microsoft ou Apple, c’est grâce à la fermeture du logiciel et à sa protection par des droits de propriété intellectuelle qu’a pu émerger le marché du logiciel à proprement parler et la formation de l’empire industriel que l’on connaît. L’histoire du marché du logiciel commence plus précisément en juin 1969, lorsque la firme IBM prend une décision dite de « unbundling », qui correspond à une dissociation entre le logiciel et le matériel, qui auparavant étaient systématiquement vendus conjointement. En effet, l’entreprise menacée de poursuite antitrust pense alors qu’en « lâchant du lest » du côté du logiciel, elle pourrait maintenir sa position avantageuse sur le matériel (Dréan, 1996).

La « révolte des managers » contre les « computers boys » Creative Commons. MediaGoblin. Le système d'exploitation GNU. Qu'est-ce que le copyleft ? [Traduit de l'anglais] Le copyleft est une méthode générale pour rendre libre un programme (ou toute autre œuvre) et obliger toutes les versions modifiées ou étendues de ce programme à être libres également. La manière la plus simple de faire d'un programme un logiciel libre est de le mettre dans le domaine public, sans copyright.1 Cela autorise les gens à le partager si le cœur leur en dit, avec leurs améliorations éventuelles.

Mais cela autorise aussi des personnes indélicates à en faire un logiciel privateur.2 Elles peuvent très bien y effectuer des changements, nombreux ou non, et distribuer le résultat en tant que logiciel privateur. Ceux qui recevront le programme dans sa forme modifiée n'auront pas la liberté que l'auteur original leur avait donnée ; l'intermédiaire l'aura fait disparaître. Notre but, au projet GNU, est de donner à tous les utilisateurs la liberté de redistribuer et de modifier les logiciels GNU. Le copyleft est un moyen de se servir du copyright du programme. Licence BSD. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Licence BSD La licence BSD (Berkeley software distribution license) est une licence libre utilisée pour la distribution de logiciels.

Elle permet de réutiliser tout ou une partie du logiciel sans restriction, qu'il soit intégré dans un logiciel libre ou propriétaire. La version originale de la licence BSD incluait une clause de publicité particulièrement contraignante qui obligeait la mention du copyright dans toute publicité ou document fourni avec le logiciel, ce qui pouvait provoquer quelques problèmes en cas d'utilisation d'un grand nombre de composants sous cette licence. La nouvelle version de cette licence ne contient pas cette clause de publicité. Texte de la licence[modifier | modifier le code] Copyright (c) 1998, Regents of the University of California All rights reserved.

Différence par rapport au domaine public[modifier | modifier le code] la notion de domaine public varie selon les législations. Portail des logiciels libres. Licence publique générale GNU. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir GPL. Licence publique générale GNU Logo de la licence publique générale GNU, version 3. Cette licence a depuis été adoptée, en tant que document définissant le mode d'utilisation, donc d'usage et de diffusion, par de nombreux auteurs de logiciels libres, en dehors des projets GNU.

Principe de la licence GPL[modifier | modifier le code] La GPL met en œuvre la notion de copyleft, un jeu de mots anglais faisant référence à la notion de copyright (right en anglais signifie à la fois le droit, c'est-à-dire la règle juridique, et la droite, qui marque une direction) que l'on peut transposer en français en parlant de « Gauche d'auteur » par référence au Droit d'auteur. La GPL est la licence de logiciel libre la plus utilisée. L'esprit et l'objectif[modifier | modifier le code] Son histoire[modifier | modifier le code] Richard Stallman en discussion au deuxième jour de la première conférence GPLv3 le 17 janvier 2006.

FDN -- Association fournisseur d'accès RTC et ADSL. TuxFamily : l'hébergement libre pour les gens libres. Patent Absurdity — How software patents broke the system. Logiciel libre « Korben Korben. Cet article est une ébauche. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant : Compléter l'article Restructurer le contenu Rajouter des illustrations Créer des pages Alerter dans les discussions si le sujet n'a pas lieu d'être et veiller à ce que la ligne éditoriale de ce wiki soit bien respectée Un Logiciel "Libre", C'est quoi?

Un logiciel libre (ou logiciel "libérateur") est, en opposition à un logiciel propriétaire (ou logiciel "privateur"), un logiciel qui ouvre son "code source" aux développeurs de logiciels et aux utilisateurs des logiciels, c'est à dire VOUS! Les principes du logiciel libre ont étés posés par Richard Stallman qui a créé avec Eben Moglen la licence libre GPL (General Public Licence) qui est la plus utilisé dans le monde du logiciel libre, lorsqu'il écrivit le système d'exploitation GNU et son noyau le Hurd. Les principes du logiciel libre sont axés sur 4 principes, appelés "libertés": La liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).

Le Web 2.0 est-il un retour vers le minitel ? Connecting the Collaborative Economy. Quand l’économie collaborative transforme l’industrie du logiciel. Par Sylvain Le Bon Note: Cet article est la compilation d’une série d’articles postée sur le blog d’Open Initiative. Open Initiative est née du besoin de produire du logiciel d’une autre manière. De produire du logiciel qui fonctionne, qui réponde aux besoins réels. De partager pour aller plus vite. Car l’industrie du logiciel fonctionne aujourd’hui d’une tout autre façon. Mais Internet est arrivé, et tout cela s’est retrouvé bouleversé. Logiciel libre, coûts partagés Il est possible de faire autrement. Le logiciel libre n’est pas seulement plus juste et plus transparent, il est aussi plus efficace, parce qu’il génère un écosystème sur lequel on peut baser son travail pour créer rapidement d’autres logiciels très performants.

Mais ce n’est pas tout. Sans doute vous posez-vous la question suivante : si c’est du logiciel libre, de quoi vivez-vous ? Le dilemme du financement C’est une tout autre façon de procéder. Après tout, nous construisons ces plateformes pour nos utilisateurs. —Sur le Web. Financez votre logiciel - Open Funding. Open Initiative Blog. Agritux : rencontre entre un agriculteur et un artisan du libre. À l’occasion de notre présence lors des RMLLd sur l’île de la Réunion, voir cet article, nous avons eu l’occasion de rencontrer Jean-Noël Rouchon, qui fait partie de ces « artisans du libre » de plus en plus nombreux, sa structure (Mithril) proposant de nombreux services autour du logiciel libre.

Mais Jean-Noël est aussi le développeur du logiciel de gestion pour le suivi d’exploitations agricoles Agritux. Et l’histoire de la naissance de ce logiciel étant plutôt intéressante, nous souhaitions vous la faire partager. Bonjour Jean-Noël, peux-tu te présenter ? Je m’appelle Jean-Noël Rouchon, j’ai 32 ans et je vis à Saint-Joseph, sur l’île de la Réunion. Je suis passionné d’informatique depuis tout jeune ce qui m’a poussé à en faire mon métier. J’ai découvert Linux et le monde du logiciel libre quand j’étais étudiant en 2000 avec une mandrake (la 7.2 si je me souviens bien) et j’ai très vite été happé par cet univers-là et la philosophie qui en découle.

Comment est né ce logiciel ?