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Disruption

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Ubérisation : observatoire et Assises de l'Ubérisation | Ubérisation : observatoire et Assises de l'Ubérisation. Les disruptions numériques dans les professions libérales. Cela fait un peu plus d’un an que la mode de la frayeur des disruptions numériques bat son plein en France. Elle est alimentée par la thématique de l’uberisation, une notion utilisée à tors et à travers. Je m’en étais fait l’écho dans une série de six articles publiée début 2015 sur “Comment éviter de se faire uberiser”.

L’uberisation a été souvent mal interprétée car le modèle “Uber contre les taxis” a des caractéristiques particulières qui sont loin d’être reproductibles dans les autres secteurs d’activité. Il existe bien d’autres formes et variantes de disruptions par le numérique. C’est ce que nous allons revoir ici, pour l’appliquer ensuite aux professions libérales et évaluer les menaces et opportunités qui les concernent. Segmenter l’origine des disruptions numériques Revoyons cela en détail point par point : Les insatisfactions clients, que l’on trouve notamment de façon manifeste dans le cas des taxis.

Le propos n’est évidemment pas de traiter de toutes les professions libérales. Ubérisation : observatoire et Assises de l'Ubérisation | Ubérisation : observatoire et Assises de l'Ubérisation. Technology has created more jobs than it has destroyed, says 140 years of data | Business. In the 1800s it was the Luddites smashing weaving machines. These days retail staff worry about automatic checkouts. Sooner or later taxi drivers will be fretting over self-driving cars. The battle between man and machines goes back centuries. Are they taking our jobs? Or are they merely easing our workload?

A study by economists at the consultancy Deloitte seeks to shed new light on the relationship between jobs and the rise of technology by trawling through census data for England and Wales going back to 1871. Their conclusion is unremittingly cheerful: rather than destroying jobs, technology has been a “great job-creating machine”. Their study, shortlisted for the Society of Business Economists’ Rybczynski prize, argues that the debate has been skewed towards the job-destroying effects of technological change, which are more easily observed than than its creative aspects. Here are the study’s main findings: Hard, dangerous and dull jobs have declined ‘Caring’ jobs have risen.

Entreprise : comment éviter de se faire Uberiser. Par Olivier Ezratty. En à peine deux décennies, le numérique a transformé tout un tas d’industries, parfois violemment. Il a entraîné de nombreuses migrations de valeur, souvent au profit de grandes sociétés américaines avec en tête les fameux « GAFA » (Google, Apple, Facebook, Amazon). La plupart de ces migrations de valeur sont liées à des mécanismes d’intermédiation et à Internet, comme avec Amazon dans le commerce, Google dans la publicité, Netflix dans la vidéo et plus récemment Uber face aux taxis. On utilise maintenant le barbarisme de l’Uberisation pour décrire une migration de valeur liée à l’intermédiation de services, provoquée par un acteur transnational qui devient rapidement dominant sur son marché et a été généralement copieusement financé par le capital risque.

Il est maintenant de bon ton d’extrapoler ces transformations et de faire trembler tous les secteurs d’activité. Je vais essayer de répondre à deux questions clés : Définir l’Uberisation Comment éviter ce syndrome ? Arduino - Home. Big Bang Disruption ou le cauchemar de l’innovation dévastatrice. Selon Larry Downes et Paul Nunes dans Big Bang Disruption : Strategy in the Age of Devastating Innovation, l’innovation combinatoire fait désormais jeu égal avec la recherche & développement, et donne naissance à une économie plus créative dans laquelle des myriades de geek, de makers et de start-up font et défont des industries entières en quelques semaines, puis subissent et accélèrent de facto le rythme des disruptions dévastatrices. Par Charles Bwele. En 2010, le service en ligne Google Maps – développé cinq ans plus tôt par la firme de Mountain View – avait acquis ses lettres de noblesse auprès des automobilistes.

Dans le modèle traditionnel de l’innovation, des produits matures sont concurrencés puis surpassés en quelques années / décennies par des offres plus innovantes. Deux années suffirent à l’iPhone pour désarçonner le finlandais Nokia et le canadien Blackberry qui ne croyaient guère aux téléphones tactiles multimédia. Rôle moteur des licences ouvertes 1. 47% of US jobs under threat from computerization according to Oxford study. Almost 47 percent of US jobs could be computerized within one or two decades according to a recent study that attempts to gauge the growing impact of computers on the job market. It isn't only manual labor jobs that could be affected: The study reveals a trend of computers taking over many cognitive tasks thanks to the availability of big data.

It suggests two waves of computerization, with the first substituting computers for people in logistics, transportation, administrative and office support and the second affecting jobs depending on how well engineers crack computing problems associated with human perception, creative and social intelligence. Released by the Oxford Martin Programme on the Impacts of Future Technology, the study entitled The future of employment: how susceptible are jobs to computerization? Fraud detection, pre-trial research in legal cases, stock-trading and patient-monitoring are now handled by software after the arrival of big data. Travis Kalanick, l’homme qui veut tuer l’industrie du taxi.

« Nous sommes engagés dans une bataille politique. Notre adversaire est un connard, qui s’appelle Taxi. Personne ne l’aime, personne n’aime ce qu’il fait mais il est tellement impliqué dans les rouages politiques que beaucoup de personnes lui doivent des faveurs ». Travis Kalanick, 37 ans, le fondateur et patron d’Uber, ne mâche pas ses mots lorsqu’il évoque l’industrie du taxi, qui tente d’empêcher le développement du service de VTC (véhicule de tourisme avec chauffeur). Il faut dire que l’essor rapide d’Uber a de quoi effrayer un secteur qui manquait jusque-là cruellement de compétition et d’innovation.

Avec son application mobile permettant de commander une voiture en quelques secondes, le service séduit une clientèle toujours plus nombreuse. . « Nous n’avons pas voulu cette bataille, se défend le dirigeant, interrogé le mois dernier au cours de la Code Conference. M. Mais on le dit arrogant et condescendant. Ce n’est pas la première fois que M. M. Mais M. Et ce n’est pas tout.