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Cycle 3 [16-17]

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Couleur de peau : miel. Titre : Couleur de peau : miel Titre international : Approved for adoption Réalisation : Laurent Boileau et Jung Sik-jun Musique originale : Siegfried Canto et Little Comet Production : Thomas Schmitt, Patrick Quinet et Nicolas Piccato Montage : Ewin Ryckaert Sociétés de production : 2 Minutes, Dreamwall, France Télévisions, Nadasdy Film, Artémis Productions et Mosaïque Films Distribution : Gébéka Films (France), Cinéart (Belgique), Wide Management Pays : Belgique, France Durée : 75 minutes Format : 1,85:1, couleur Date de sortie : France : 6 juin 2012 Belgique : 13 juin 2012 Directeur artistique et technique : Jean-Jacques Lonni Assistant réalisateur : Thierry Czajko Assistant réalisateur (Corée) : Sanghoon Lee Auteur graphique : Jung Lead storyboarder : Alexis Madrid Création des personnages Supervision designs personnages : Éric Briche Supervision modeling : Samuel Chauvin Supervision modeling / set-up (figurants) : Olivier Druart.

Couleur de peau : miel

Princess Bride - Transmettre le cinéma. Le plaisir d’un paradis perdu et soudain retrouvé Revoir les films qui nous ont fait rêver durant notre enfance, mais avec les yeux amusés et délicieusement nostalgiques d’un adulte un peu magicien, tel est le plaisir que nous propose Rob Reiner.

Princess Bride - Transmettre le cinéma

La Belle et la Bête. La Belle et la Bête reste l’un des films qui illustrent le mieux la » magie » du cinéma.

La Belle et la Bête

Ce qu’un autre grand poête du 7ème art (Jean Epstein) nommait si justement » l’animisme du cinéma « . Le film réalise admirablement l’envoûtement poétique, onirique, dans lequel fusionnent réel et irréel, monde imaginaire ou fabuleux et monde concret. A travers ses images, comme celles du Magnifique, par exemple, qui nous font simultanément admirer l’élégance racée, le dressage parfait d’un beau coursier, et vivre le transport de Belle par ce nouveau Pégase, dans un univers ou démons et merveilles se confondent comme dans les rêves ou les croyances enfantines.

Ce retour au » bain lustral de l’enfance » auquel fait appel le cinéaste pour se et nous replonger dans l’univers d’une poésie spontanée, immédiate, intuitive dont les secrets ou les mystères deviennent familiers, limpides, irrigue tout le film. France Demarcy. Autres points de vue. Quand le documentaire s’anime. Faute d’archives suffisantes, les réalisateurs optent de plus en plus pour ce mode de narration.

Quand le documentaire s’anime

Alésia. Eté 52 avant J. -C. La grande bataille est imminente. Apator, chef du peuple éduen et bras droit de Vercingétorix, escorté de 300 000 compagnons, s’apprête à affronter les légions de Jules César. Le Dernier Gaulois n’est pas un énième péplum hollywoodien, mais une « superproduction » française de 2,7 millions d’euros qui relate le siège d’Alésia sous la forme d’un étonnant documentaire mariant animation et images réelles. Après quatre années de travail, ce film a pour ambition – comme l’a exigé Barbara Hurel, directrice adjointe de l’unité documentaire de France 2 – de raconter l’histoire des Gaulois au-delà du mythe et des clichés.

Donner chair Le Dernier Gaulois illustre l’engouement récent des chaînes et des auteurs pour « cette écriture », explique Barbara Hurel. Lire aussi La luxueuse épopée des « Aventuriers de l’art moderne » Un effort de vulgarisation et beaucoup de travail. Princess Bride - Nanouk. Par Anne Charvin de Benshi, Quand Bouton d’or demandait quelque chose à son valet de ferme, celui-ci lui répondait toujours : « Comme vous voudrez ».

Princess Bride - Nanouk

Un jour, elle se rendit compte que cela voulait dire « Je vous aime ». Et elle s’aperçut qu’elle l’aimait aussi. Voilà comment commence l’histoire de Princess Bride, racontée par un grand-père venu au chevet de son petit fils malade pour partager un livre, lu de père en fils depuis plusieurs générations.Princess Bride est un film malin, qui revisite tous les codes du cinéma d’aventure : ses héros, rusés, beaux et forts, ses vengeances, ses duels, ses magnifiques princesses et ses chevaux blancs, distille une bonne dose d’humour et de distance et se place ainsi, à première vue, aux côtés de films comme Shrek (qui s’en est fortement inspiré).

La singularité du film de Rob Reiner vient en fait du récit qui encadre l’histoire de la princesse et qui est bien plus qu’un prétexte pour dérouler un conte intrépide. Et hop ! la princesse se métamorphosa. Entre naguère et aujourd’hui, la princesse, héroïne des contes pour enfants, a troqué sa robe kitsch et sa crinière blonde pour des vêtements, une coupe et un destin plus cools.

Et hop ! la princesse se métamorphosa

Coup de baguette magique ? Non, c’est juste que le féminisme est passé par là, la libérant peu à peu de son rôle de potiche. A l’occasion du Salon de Montreuil (1er au 6 décembre), qui s’ouvre pour de vrai aujourd’hui, analyse par l’exemple de cette incroyable métamorphose. Accueil. CINÉMANIAQUE - La Belle et la Bête - Partie 1 : Jean Cocteau.