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Au sujet de l’évaluation… Vaste sujet, sur lequel je cogite et re-cogite sans fin… Je suis convaincue que les enfants ont besoin d’avoir un retour sur leur travail, afin de pouvoir se rendre compte des progrès accomplis, ou du chemin qu’il leur reste à parcourir dans les apprentissages.

Au sujet de l’évaluation…

Jusqu’à présent, j’utilisais le système des pastilles de couleurs coloriées sur chaque travail écrit, avec une petite notice explicative à l’attention des parents : Mais on ne peut pas dire que ce système m’ait convaincue…Dès qu’ils me rendent un travail, la plupart des enfants me demandent “Tu vas mettre vert ?”. Et quand ils voient qu’un camarade a une pastille orange, ou rouge parfois, ils commentent :”C’est parce qu’il a pas bien fait son travail !” … Et j’ai beau expliquer et expliquer encore que non, ce n’est pas parce qu’il n’a pas bien fait son travail, c’est juste pour lui dire qu’il doit encore apprendre…rien n’y fait.

Albums intéressants

Ressources sites. Notes de cours de psycho du développement (Piaget) Débat interprétatif et discussion à visée philosophique à l’école. Diotime - Interrogations mutuelles de la pratique du philosopher en terminale et au primaire. Geneviève Guilpain, professeur de philosophie au Lycée Jean-Jaurès à Montreuil (Seine-Saint-Denis) Depuis quelques années se développent des pratiques de la philosophie en école primaire, qui ont reçu presque officiellement le nom de " pratiques à visée philosophique1.

Diotime - Interrogations mutuelles de la pratique du philosopher en terminale et au primaire

Cette dénomination exprime-t-elle une prudence de la part de leurs promoteurs à l'égard des prétentions qu'elles sont en droit d'afficher en comparaison de l'enseignement philosophique au lycée, ou bien, après quelques années de mise en oeuvre cette appellation traduit-elle une plus juste évaluation des fins réelles qu'elles visent et des résultats qu'elles peuvent escompter ? Ce réajustement est-il le signe d'une clarification progressive de ce que certains n'hésitent plus à nommer un nouveau "genre philosophique"2 ? En tous les cas, la tentation de comparer les deux activités en tentant d'y trouver plus ou moins de " philosophicité " semble légitime. (8) Colloques de Rennes, mai 2002 et de Nanterre, juin 2003.

La psychanalyse des contes de fées : les concepts de la théorie psychanalytique de bettelheim examinés experimentalement par le test des contes de fées. La fascination qu’éprouvent les enfants pour les contes de fées a fait l’objet de diverses études, essentiellement du point de vue littéraire (Favat, 1977 ; Applebee, 1978).

La psychanalyse des contes de fées : les concepts de la théorie psychanalytique de bettelheim examinés experimentalement par le test des contes de fées

Les interprétations symboliques des contes des fées ainsi que leur relation avec l’inconscient sont devenues un champ de spéculation où entrent en lice aussi bien des analystes freudiens que jungiens (Bettelheim, 1976 ; Von Franz, 1982 ; Kaës et al., 1989 ; De la Génardière, 1996). Freud (1900) fut le premier à découvrir la nature symbolique des contes de fées.

De même que les mythes et les légendes, ils plongent dans les parties les plus primitives de la psyché. Dans son Interprétation des rêves, Freud se réfère aux contes de fées pour justifier l’analyse des rêves : “Nous savons déjà que les mythes et les contes de fées, les proverbes et les chansons, le langage d’imagination utilisent le même symbolisme” (1916, p.168).

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Diotime - Les débats à partir de la littérature : une voie indirecte qui contribue à la formation du sujet-enseignant. Annick PERRIN, professeur de philosophie à l'IUFM de Créteil (annick.perrin@neuf.fr) Je suis philosophe de formation et je travaille en IUFM.

Diotime - Les débats à partir de la littérature : une voie indirecte qui contribue à la formation du sujet-enseignant

Je voudrais d'abord situer ma pratique des débats à partir de la littérature en formation d'adultes, par rapport à mes objectifs de formation et au contexte actuel de la formation des professeurs des écoles. Je forme des professeurs des écoles à l'éthique du métier, ce qui suppose la mise en place à la fois d'attitudes et de démarches réflexives chez les futurs enseignants. Former des " sujets " relève avant tout d'une éthique de la liberté. Le sujet se définit, non seulement par son autonomie morale et intellectuelle, mais par son ouverture à l'altérité, par l'aptitude à s'arracher à ce qui tend à se figer en soi, du fait de l'habitude et du poids de la norme, dans l'exercice de la pensée comme dans le rapport à autrui.

La réflexion sur les valeurs est nécessaire, mais elle doit déboucher sur des choix d'action. Les effets éthiques du récit (2) P. Diotime - Articuler un débat d'interprétation littéraire à une discussion à visée philosophique. Monique Desault, professeur d'école, doctorante en philosophie pour enfants Analyse comparative entre des séances menées avec des adultes et des élèves de CM.

Diotime - Articuler un débat d'interprétation littéraire à une discussion à visée philosophique

La philosophie pour enfants et la littérature étant deux domaines complètement novateurs à l'école, tout est à inventer. En effet, si la discussion à visée philosophique1 a été introduite en France à partir de la moitié des années 90, et expérimentée dans différentes régions, la littérature n'est au programme de l'école élémentaire que depuis 2002. Bien que la philosophie pour enfants ne soit pas une pratique institutionnalisée à l'école, elle trouve pleinement sa place dans ce que les documents d'application en littérature Cycle 3 appellent des débats d'interprétation et d'idées : "L'interprétation prend, le plus souvent, la forme d'un débat très libre dans lequel on réfléchit collectivement sur les enjeux esthétiques, psychologiques, moraux, philosophiques qui sont au coeur d'une ou plusieurs oeuvres.2".

Choix du texte Partie 1. De « Yacouba est-il courageux ?» à « Qu'est-ce que le courage ? » Le « débat d'interprétation » sur des albums de jeunesse qui « résistent » ouvre au questionnement.

De « Yacouba est-il courageux ?» à « Qu'est-ce que le courage ? »

Une opportunité pour le prolonger par des discusssions « à visée philosophique » La littérature fait son entrée « officielle » dans les programmes du premier degré, non plus seulement comme réservoir de techniques d'écriture à observer et réinvestir, ni comme simple support de « lectures plaisir » souvent autonomes, mais bien pour elle-même.

Diotime - Bibliographie sur la littérature de jeunesse et la philosophie avec les enfants. De « Yacouba est-il courageux ?» à « Qu'est-ce que le courage ? » Débattre à partir des mythes - À l’école et ailleurs. La pratique du débat en classe s’est largement développée depuis quelques années, encouragée à l’école primaire par les programmes de 2002 qui la préconisent notamment en éducation civique et en littérature, et qui donnent une importance particulière à la réflexion sur les valeurs.

Débattre à partir des mythes - À l’école et ailleurs

Elle se nourrit aussi des « nouvelles pratiques philosophiques » qui, dans ou hors l’école, répondent au besoin de réfléchir collectivement sur des problèmes existentiels. À l’école, ces pratiques s’appuient souvent sur des ouvrages de littérature de jeunesse, ce qui pose parfois aux maîtres la question de savoir quand ils font du français et quand ils font de la philosophie.Au croisement de ces deux ensembles, cet ouvrage s’appuie sur un travail collectif auquel ont participé une vingtaine des classes et des professeurs de philosophie.

Élisabeth Bussienne. Le mythe comme support à une réflexion philosophique avec les élèves. Le mythe comme support à une réflexion philosophique avec les élèves Michel Tozzi, professeur émérite en sciences de l’éducation à l’Université Montpellier 3, didacticien de la philosophie Pour animer en classe une discussion à visée philosophique, on part généralement d’une question forte posée par les enfants et les adolescents en classe.

Le mythe comme support à une réflexion philosophique avec les élèves

Une question, car celle-ci met individuellement et collectivement en posture de recherche pour y répondre, amène plusieurs solutions possibles, et suscite donc l’échange. Une question qui émane des intéressés eux-mêmes, ce qui résoud le problème de la motivation, car on a envie de chercher et de trouver une réponse à une question dès lors qu’on se la pose personnellement et vraiment. Nous voudrions ici insister sur l’intérêt spécifique du mythe pour faire réfléchir les enfants. Le mutos et le logos, du mythe à la raison… Pourquoi partir de mythes dira-t-on pour faire réfléchir philosophiquement des élèves ? De « Yacouba est-il courageux ?» à « Qu'est-ce que le courage ? » Le mythe comme support à une réflexion philosophique avec les élèves.

Débattre à partir des mythes - À l’école et ailleurs. Un "Petit Platon" sur Rousseau - Philosophie (avec les enfants) et littérature (de jeunesse). Le blog d'Edwige Chirouter. Philosophie à l'école. Débat interprétatif et discussion à visée philosophique à l’école.