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Introduction à la Fabrique des Mobilités - Numa Paris - 22 janvier 20… Place Publique - Média citoyen, relais d’engagements associatifs et outil de démocratie participative. Par D.Sabo, le 5/10/2012 De plus en plus d’entreprises, d’établissements ou d’associations s’accordent à penser que la libération des données brutes est tout bénéfice aussi bien sur le plan de la communication entre humains que sur le plan des solutions d’innovations en entreprise. Avec l’Open Data s’installe un nouveau monde : celui de la confiance et de l’autonomie. 2013 devrait être l’année du véritable du décollage du phénomène open data en France. Mais qu’est-ce que l’Open data ? La philosophie de l’open data est proche de celle de l’open source. L’open source développé par Eric Raymond reposé sur un principe libertaire selon lequel la liberté du logiciel est meilleure pour le marché.

Ce principe d’ouverture « open » illustre assez bien ce qu’est en partie l’économie du don. Le mouvement de l’open Data a été initié dans le secteur public. L’Open data couvre deux grands champs complémentaires. Le deuxième champ est plus économique. PermisConduireJeunesEnBaisse-Futuribles. Note de veille, 19 octobre 2012 Une étude, réalisée par l’université du Michigan [1] dans 15 pays, a analysé la part de détenteurs du permis de conduire par classes d’âge dans les années 1980 ou 1990 et plus récemment. Les résultats montrent deux types de profils suivant les pays. Huit pays (les États-Unis, le Canada, la Suède, la Norvège, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Japon et la Corée du Sud) indiquent une baisse du taux de détention du permis de conduire chez les jeunes et un accroissement pour les personnes plus âgées.

Part des détenteurs du permis de conduire en Grande-Bretagne dans chaque classe d’âge Dans sept autres pays (la Finlande, Israël, les Pays-Bas, la Suisse, l’Espagne, la Lituanie et la Pologne), la possession du permis de conduire a augmenté tant pour les classes d’âge les plus jeunes que pour les plus âgées. Part des détenteurs du permis de conduire aux Pays-Bas dans chaque classe d’âge. La voiture Google obtient son permis en Californie, Technologies. Compte National du Transport de Voyageurs. Le Compte National du Transport de Voyageurs : pour qui ? Pourquoi ? M. Jean-Claude Gayssot, ministre de l’Equipement, des transports et du logement a chargé un comité technique, placé sous la présidence de M. Claude QUIN, inspecteur général honoraire de l’Equipement, d’établir un Compte national du transport de voyageurs (CNTV). Le rapport final téléchargeable ci-contre a été remis à M.

Cette étude a été pilotée par le Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques (Certu) avec l’assistance du bureau d’études Systra. Le comité technique a été le lieu d’une large concertation entre quinze organismes publics et privés. Le CNTV constitue donc un outil d’analyse économique reconnu et partagé par les décideurs ainsi que par les professionnels du transport de voyageurs. Ce travail permet de mieux connaître les coûts directs et indirects du transport de voyageurs ainsi que leur mode de financement, à l’échelle de la France métropolitaine. Audi veut faire de la voiture le 5e écran. Qui ? Anupam Malhotra, Manager, Connected Vehicle chez Audi Of America et Tina Unterlaender, Directeur Mobile chez AKQA. Quoi ? Une discussion animée sur le futur de l'automobile connectée, au SXSW 2012. Comment ? "La connectivité du véhicule va changer en profondeur l'expérience dans le véhicule" prédit Anupam Malhotra.

Audi a commencé par intégrer Google Earth dans ses modèles équipés d'Audi Connect : "c'est juste une première façon d'introduire le digital dans le véhicule. " Audi entend construire à l'avenir des véhicules plus intelligents, qui aident le conducteur à prendre les meilleures décisions, avec le maximum d'informations à sa disposition. Le constructeur semble bien frileux à côté de la salle qui s'enthousiasme : "je verrais bien une voiture qui tweete, par exemple pour dire à son conducteur qu'il faudrait penser à un lavage" lance quelqu'un. Edito | Cityzen Mobility. Et si Google se rapprochait de Veolia Transport. L’annonce récente de se séparer de sa branche Transport montre les difficultés pour opérer les systèmes actuels de transports publics collectifs au regard des critères économiques.

Cette situation n’est sans doute pas spécifique à la France et elle risque de durer. Néanmoins nous aurons toujours besoin de solutions de transports mutualisées, et vraisemblablement de plus en plus. Nous sommes dans l’ère de la rareté matérielle et financière ; la mutualisation n’est donc plus une option, c’est une des voies majeures pour faire beaucoup mieux avec les technologies existantes, sans attendre de futures hypothétiques ruptures… Le peer to peer, gadget pour certains, avance… aux USA. Zipcar et Fontinalis mettent 13.7 millions de $ dans Wheelz, solution d’autopartage peer to peer.

En parallèle dans le cœur des industries automobiles, des concurrents industriels « sans histoire, donc sans préjugés » se positionnent. Une application nantaise pour connaitre en temps réel la disponibilité des parkings. Partager Lancée lundi 30 janvier, l’application « Parking Nantes » permet de connaitre en temps réel les places disponibles dans les 23 parkings publics de la ville. L’application géolocalise l’usager à partir de son téléphone et lui donne l’itinéraire le plus rapide pour se rendre au parking le plus proche. Le service renseigne également son utilisateur sur les transports en commun à proximité du parking où celui-ci désire se garer. Disponible sur iPhone pour 79 centimes d’euros, et prochainement sur Android, l’application semble déjà séduire, en témoignent les notes positives sur l’App Store.

Jonas Metayer, étudiant en école de commerce et Patrick Dura, ingénieur en technologie de l’information, se sont servi des données publiques libérées par la ville de Nantes pour développer cette application. « Cette application à pour but de faciliter le quotidien des citoyens nantais. C’est fini, la voiture ne gagne plus de terrain ! - Faits de société. D’une présidentielle à l’autre, qu’est-ce qui a changé dans notre vie ? Le mouvement, amorcé il y a une quinzaine d’années de diminution d’utilisation de la voiture, s’est confirmé. Malgré des villes qui s’étalent et contraignent à habiter toujours plus loin. Bruno Marzloff, sociologue, spécialiste de la mobilité, décortique pour nous ces phénomènes. NOTRE SÉRIE. FORUM : Qu’est-ce qui a changé dans nos vies ? La voiture roule moins « Elle est utilisée dans 84 % des déplacements des Français. En ville, elle fait marche arrière « Dans les centres urbains denses, la limite est atteinte : trop de voitures tue la voiture, La possession d’autos baisse.

Un gouffre dans les budgets « On atteint une deuxième limite : celle du budget des ménages. Les villes s’étalent trop « Toutes les villes sont dans un processus d’étalement urbain, dans une logique d 'écartèlement domicile-travail. Une fuite en avant « Le besoin de mobilité continue de croître. Des jeunes prêts à covoiturer Des voitures à partager.

L'auto, combien ça coûte ? L'UFC Que Choisir a évalué en partenariat avec l'ADEME et la Région les impacts financiers et environnementaux pour un déplacement en région de 3 km, 10 km et 50 km par jour. Notre infographie résume le propos. Par exemple, un déplacement de 3 km par jour en voiture coûte 612 euros à l'année, contre dix fois moins cher si l'usager se déplace en bicyclette. Le choix des modes de déplacement n'est pas anodin du point de vue écologique et économique, puisque plus de 80 % d'entre eux sont réalisés pour moins de 3 km. Autant éviter de prendre la voiture et là, le télétravail peut jouer son rôle d'amortisseur de dépenses et d'empreinte écologique. La part réservée aux transports dans le budget familial est d'environ 16 %, au même niveau que l'alimentation.

Bien sûr, la part de la voiture y tient une part prépondérante. Selon l'Automobile-club, le budget moyen de l'automobiliste se situe autour de 5 000 euros par an. TER et vélo : les plus sobres www.ufc-quechoisir-lille.org. Futuribles. Une société informatique d’Erbray « géolocalise » les ambulances - Erbray - Économie - Un droit au changement et à la diversité. Trafic pendulaire à Miami, États-Unis © V.

Kaufmann Les mots sont parfois trompeurs : que signifie véritablement le droit à la mobilité dans des sociétés contemporaines qui se caractérisent par une déconnexion croissante entre la quantité de kilomètres que l’on parcourt et la diversité d’expériences et découvertes que l’on fait dans sa vie ? Dans ce contexte, peut-on encore considérer qu’il s’agit prosaïquement du droit de se déplacer dans l’espace quand on veut, où l’on veut, comme on le souhaite ? Utiliser les transports rapides est de plus en plus une obligation de l’insertion sociale et professionnelle et n’est pas l’expression, ni même l’exercice d’un droit à la mobilité.

Dans les sociétés occidentales contemporaines, le droit à la mobilité ne renvoie plus essentiellement au franchissement de l’espace, la question du droit à la mobilité nécessite de considérer la mobilité comme renvoyant aussi et plus fondamentalement au changement. Les transports du futur. La mobilité comme bien public. Lorsque, en 2003, sur la suggestion de François Ascher, nous lancions le débat sur le droit à la mobilité dans le cadre du colloque de Cerisy Les sens du mouvement [1], nous touchions un point sensible. Il existe en effet des courants importants du débat public qui adoptent la position exactement inverse en affirmant un devoir de non-mobilité. Ces courants considèrent que la proximité est une commandement moral et que la mobilité est un mal en soi. Faisant comme si la mobilité était en elle-même un danger pour la nature, ils stigmatisent tous les transports à longue distance, sans insister sur les déplacements en automobile, pour l’essentiel intra-urbains, qui produisent pourtant bien plus de dioxyde de carbone.

Droit à la mobilité vs droit à l’immobilité Un autre point de vue lui aussi apparemment contraire au droit à la mobilité mérite d’être signalé : le droit à l’immobilité [2]. Qu’en est-il donc du droit à la mobilité ? La mobilité ne se limite pas aux déplacements. Pour une mobilité durable. Le neo-nomadisme – Mobilités – Partage – Transformations identitaires et urbaines. De Yasmine Abbas Septembre 2011 La mobilité d’aujourd’hui se conjugue au pluriel. À la fois physique, numérique et mentale, elle induit une condition nouvelle, une forme de nomadisme parfois imposé, souvent voulu, parfois jusqu’au-boutiste, pas toujours bien vécu.

Ce néo-nomadisme donne naissance à des modes de vie autrefois atypiques qui, désormais, se généralisent. Quels sont les nouveaux liens qui se tissent entre les personnes, les objets, les données et les lieux ? Dans un contexte néo-nomade, les technologies de l’information sont-elles libératrices ou aliénantes ? Cet essai critique porte un regard sans concession sur les transformations issues de ces nouvelles mobilités, et fournit les clés pour en comprendre les risques et mieux les appréhender. Yasmine Abbas est architecte DPLG, titulaire d’un master au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et d’un doctorat à la Harvard University Graduate School of Design. A propos de ce livre : Antoine Picon, G. WordPress: Dans le monde entier, nous voyons de plus en plus de gens adhérer à cette vie de piéton. La voiture ? J’arrête quand je veux ! FNAU Fausses bonnes idées mobilité 2010. Conditions de vie-Société - Les dépenses d’énergie des ménages depuis 20 ans : une part en moyenne stable dans le budget, des inégalités accrues.

Une part en moyenne stable dans le budget, des inégalités accrues Sébastien Merceron, Maël Theulière, division Conditions de vie des ménages, Insee Résumé Les dépenses d’énergie liées au logement et au transport constituent 8,4 % de la consommation des ménages français, soit autant que les loisirs ou les vêtements. Depuis 20 ans, cette part budgétaire, appelée « effort énergétique », est restée relativement stable, après un pic en 1985. Sommaire Publication Facture énergétique : 2 300 € en moyenne par ménage et par an L’énergie est un poste important de consommation des ménages puisqu’il représente en moyenne 8,4 % de leurs dépenses en 2006 : 4,8 % pour leur résidence et 3,6 % pour leur moyen de transport individuel.

Les dépenses de chauffage, d’électricité et de carburants varient fortement selon le lieu d’habitation. Plus les revenus d’un ménage sont élevés, plus les dépenses d’énergie le sont aussi. Graphique 1 - Les dépenses des ménages en 2006 par postes budgétaires Retour au sommaire. Antrophologie des mobilités M.Auger 2010. Loire Atlantique transport 2030. Les transports du futur. Partout il est question d'accompagner le changement, de le conduire, d'amener les citoyens à changer de moyens de transport. Par de l'information, par des exemples à suivre, par des guides, par des incitatifs ou des contraintes. Ce changement n'est plus une option tant le développement de l'offre de transport est limité. Pour autant, plus la volonté de changer est grande, plus, dans les faits, les pratiques ne changent pas ou très lentement.

"Le vélo, c'est bon pour le santé et pour votre porte-monnaie. "De toute façon, vous serez obligé de changer ... " Dan Pink dans la vidéo TED ci dessous nous décrit que cette approche est scientifiquement une impasse. Changer de mode de transport est donc un bouleversement intégral et personnel (lire l'article Le premier jour où j'ai décidé de me déplacer autrement). Les Transports du Futur. Étude Technologies clés 2015. Mobilité et transition urbaine. Millenaire3-Transports urbains de demain. Chiffres clés Transports 2010. Le Centre d'Analyse Stratégique présente un rapport sur la voiture de demain. Posté le 21/06/2011 à 14:00 par Michaël TORREGROSSA - Lu 3530 fois - 5 commentaires Le Centre d'Analyse Stratégique vient de publier une nouvelle étude qui s'interroge sur le potentiel de développement du véhicule électrique et l'amélioration des véhicules thermiques.

De nombreux obstacles pour le véhicule électrique Selon le rapport, les obstacles au développement de la voiture électrique ne manquent pas avec en premier lieu celui du prix, beaucoup plus élevé qu'un modèle thermique avec un cout de revient kilométrique 20 à 100 % supérieur à celui d'un véhicule conventionnel. "A cela s'ajoute l'autonomie encore réduite et le manque d'infrastructures de charge.

" indique le rapport qui conclut qu'"il ne faut donc pas s'attendre à une irruption du tout électrique sur le marché à court terme". Une marge de progression pour les véhicules thermiques Selon le rapport, le véhicule thermique n'a pas épuisé ses marges d’amélioration. Les propositions du rapport pour une mobilité décarbonée Commentaires. Les portes d’entrée de la France et les systèmes territoriaux des flux « meridianes.