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Ouvrages sur l'égalité filles garçons

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Les métiers ont-ils un sexe ? Françoise VOUILLOT, Les métiers ont-ils un sexe ? Ed. Belin, Coll. Egal à égal, 2014 L'orientation sans préjugés est-elle possible ? En France, seuls 12 % des métiers sont mixtes. Existerait-il des métiers plutôt féminins ou plutôt masculins? L’objet de ce livre est de démonter les ressorts de la division sexuée du travail, porteuse d’inégalités, et de révéler tout l’intérêt pour la société d’une réelle mixité des métiers.

Françoise Vouillot est enseignante-chercheuse en psychologie à l’Institut national d’étude du travail et d’orientation professionnelle CNAM. Docteure en psychologie, Françoise Vouillot est enseignante-chercheuse à l'Institut National d'Étude du Travail et d'Orientation Professionnelle (INETOP-Le CNAM). Mise à jour : février 2015. La fabrique des filles de Laure Mistral | Fille d'album. La fabrique des filles est un documentaire de Laure Mistral à destination des adolescents qui a pour sous-titre « Comment se reproduisent les stéréotypes et les discriminations sexuelles ». Ce livre s’ouvre par une partie « témoignages ». On y trouve des entretiens avec 4 adolescentes de 14 à 18 ans à propos de la féminité, de la différence fille/garçon, de l’avenir… Il s’agit là de filles qui ne sont pas forcément militantes ni même féministes, mais qui s’interrogent sur le sujet. Il est intéressant de noter que ce qu’elles soulignent le plus, quand on parle de différence entre les filles et les garçons, c’est la plus grande liberté qu’on laisse aux garçons par rapport à elles.

On trouve ensuite 70 pages de « dossier » qui vont démontrer de manière systématique qu’on éduque différemment les filles et les garçons et qu’on fabrique ainsi des différences entre les sexes. La fabrique scientifique des filles. On trouve ensuite une partie « entretiens » : WordPress: J'aime chargement… Ce que soulève la jupe. La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège - Sylvie Ayral - Partage du savoir - Format Physique et Numérique | PUF. "La Fabrique des garçons": "On éduque les garçons à l'agressivité, à la compétition, à ne pas pleurer" Dans les deux volumes de « La Fabrique des garçons », Sylvie Ayral, professeur agrégée et docteur en sciences de l’éducation, et Yves Raibaud, géographe, maître de conférence à l’université Bordeaux III et chargé de mission pour l’égalité hommes-femmes, enquêtent sur la façon dont la société impose la virilité aux garçons dès leur plus jeune âge. Entretien. Comment fonctionne la "fabrique des garçons" ?

Sylvie Ayral – S’il y a eu beaucoup de travaux sur les femmes dans une approche féministe, il y en a encore trop peu sur les hommes et sur la manière dont se construit leur identité masculine. Dès leur plus jeune âge, on éduque les garçons à l’agressivité, la compétition, à refouler le "je" au profit du "nous" du groupe de pairs, à masquer leurs émotions, à ne pas pleurer.

C’est le prix à payer pour pouvoir dominer, plus tard, presque toutes les sphères de la vie publique. Vous décrivez, en définitive, une "fabrique de machos" ? Yves Raibaud – Non, tous les garçons ne sont pas machos. La mixité à l'école : filles et garçons. Comment promouvoir une véritable égalité des chances entre filles et garçons sans jouer les unes contre les autres ? La mixité rime-t-elle toujours avec l'égalité ?

Comment trouver les termes du « vivre ensemble », d’une vie en commun et non en communautés séparées, dans les établissements scolaires ? La conférence de consensus sur la mixité à l’école, organisée en janvier 2009 par l’IUFM de l'académie de Créteil/Université de Paris 12 Val-de-Marne, s’inscrit dans le débat suscité par la polémique autour des espaces scolaires de non-mixité, et qui justifie la recherche d’un consensus.