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Piracy

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Hadopi en cours de musique | ça dérape. Connaissez vous le célèbre compositeur Hadopi ? Heu non la loi du même nom ? Apparemment, tous les professeurs de musique ne la connaissent pas. Il s'est trouvé un enseignant, qui voulant faire découvrir des auteurs contemporains que lui-même n'avait pas en sa possession, demanda aux élèves de chercher sur YouTube, des morceaux de musique et de les enregistrer sur une clé USB pour le cours d'après. Les morceaux étaient bien disponibles sur YouTube, mais en streaming, c'est à dire qu'il est possible de les écouter, mais pas de les télécharger. Pour télécharger, il fallait payer, ou bien trouver une solution de téléchargement forcément illégale. Au cours d'après, seuls deux élèves avaient récupérés les morceaux de musique, dont l'un grâce une subtilité permettant d'enregistrer un flux audio, subtilité qui ne serait à priori pas du téléchargement.

Les autres faisaient remarquer au professeur de musique que le téléchargement était illégal ! Signaler ce contenu comme inapproprié. 21st Century Breaks: Hip Hop's New Source Of Soul Samples | Discussing Lil' Wayne, Drake & Many More Hip Hop Artists. Musicians behind the resurgence of "modern breaks" powering hits by Jay Z and other popular emcees weigh in on infiltrating mainstream music's scene. Earlier this year, Adrian Younge produced and orchestrated a full-length concept album for Ghostface Killah.

It was yet another come-up for the LA-based musician; he’d already established a steady career as a throwback soul artist releasing music on the Wax Poetics label as well as scoring the nostalgic blaxpoitation flick Black Dynamite in 2009. Still, linking up with Ghostface put Younge and his music directly under the noses of Hip Hop fans that might not have been familiar, and, on the strength of that release, he’s already announced another concept album with the Oakland-based Souls Of Mischief crew. A few months after the release of Twelve Reasons To Die, Younge’s earlier work was sampled by Timbaland on Jay Z’s Magna Carta Holy Grail. Raised On Breaks: The Rise Of Post Hip Hop Soul & Funk Live From Somewhere: Meant For The Taking. Les développeurs ont décidé d'être créatifs pour punir les vilains pirates. - Liste de 59 jeux vidéo.

(Vaut en fait pour l'erotic visual novel "Cross Days") Là les pirates prennent bien cher : dans ce jeu pornographique japonais, la version piratée contenait un trojan, qui, lorsqu'il était activé, demandait au joueur de remplir un formulaire avec tout plein d'informations personnelles. Bon déjà, on peut se dire, qui allait remplir ça ? Eh bien des gens l'ont quand même fait, si bien que leurs infos ont été postées sur le net, visibles par tout le monde. Mais c'est pas le pire, le virus prenait aussi des screenshots de l'ordinateur du pirate et les publiaient, essayant de trouver un quelconque motif pour du chantage...

Ce qui se passa, c'est que pas mal de joueurs se firent prendre en train de faire/lire/regarder des trucs bizarres, dont notamment... de la pornographie avec des plantes. Oui, oui. Au final les sites où étaient postés les sondages ont été supprimés, vu que c'était quand même illégal... Rob Reid : L'iPod qui valait 8 milliards de dollars. Le piratage de Game Of Thrones, mieux qu'un Emmy Awards pour Time Warner. De toutes les séries télévisées actuellement diffusées dans le monde, Game of Thrones est incontestablement celle la plus partagée via le protocole BitTorrent. Pour autant, ce piratage massif n'affecte pas la carrière de l'adaptation audiovisuelle de la saga littéraire écrite par George R. R. Martin. Celle-ci connaît un succès croissant, avec des audiences qui ont doublé en l'espace de trois saisons, pour atteindre 5,4 millions. Cette popularité est d'autant plus remarquable que Game of Thrones est diffusé sur HBO, une chaîne de télévision payante.

Et ce n'est pas tout : en comptabilisant les vues des autres modes de diffusion légaux, comme les services de vidéo à la demande (On Demand, HBO Go...), chaque épisode est vu en moyenne 10,3 millions de fois (calcul effectué en se basant sur la saison 2, moins suivie que la dernière). Évidemment, cette situation particulière ne se retrouve pas nécessairement dans chaque série télévisée.

Lars Ulrich, Chuck D And Charlie Rose On Napster In 2000. Orange perquisitionné : Megaupload et neutralité du Net en trame de fond. L’affaire remonte à Janvier 2011. Nous vous avions relaté la guéguerre entre Cogent et l’opérateur historique. Au coeur de la polémique le trafic généré par Mégaupload via Cogent. Orange est accusé par Cogent de remettre en cause les accords de peering et d’abus de position dominante.

Orange avait d’ailleurs porté plainte contre le transitaire pour dénigrement. On se souvient aussi de Stéphane Richard déclarant que « la majorité du trafic issu de Cogent était illégal », se plaçant ainsi en douanier de ses propres tuyaux et lésant ses abonnés en refusant d’augmenter la capacité des fibres transatlantiques opérées par Cogent. Pour l’opérateur, ce n’était pas à lui de s’acquitter de la facture induite par la consommation de ses propres abonnés. Depuis 2009, les abonnés d’Orange faisaient les frais de ce bridage qui ne disait pas son nom.

L’asymétrie des débits entre les continents américains et européens, c’est surtout une histoire de gros sous. Des ayant-droits de la pornographie menacent de dévoiler vos préférences sexuelles en cas de piratage. On a déjà pu voir un paquet de situations où des détenteurs de droits d’auteur abusaient vraiment de leur pouvoir. Mais là je crois que c’est un des pires cas d’abus de pouvoir et de menace digne d’un chantage mafieux de la pire espèce.

En effet, une entreprise chargée de la protection des droits d’auteur de plusieurs studios travaillant dans le milieu de la pornographie n’hésite pas à menacer de révéler les contenus pornographiques que vous avez téléchargé.. . à moins que vous n’avanciez quelques centaines de dollars pour éviter tout tracas ! Chaque fois que l’on tombe sur un abus de l’industrie du divertissement, on se demande comment ils vont faire pour aller encore plus loin. Et pourtant certains ne manquent visiblement pas d’imagination pour récolter des milliers de dollars sur de prétendus téléchargements (car une adresse IP flashée en train de télécharger un fichier n’est pas une preuve ! Souvenez-vous de l’Elysée et du Ministère de la Culture ). Source. The Pirate Bay en Corée du Nord, itinéraire d’une bonne blague - L'actu Médias / Net.

Condamné sans alertes de l'Hadopi. Piratage : une licence globale à plus de 10 €/mois plébiscitée par les Allemands. La semaine dernière, la Hadopi a publié une étude qui montre que ceux qui se reconnaissent pirates dépensent autant pour leurs consommations culturelles sur Internet que ceux qui jurent les grands dieux qu'ils ne piratent jamais rien.

Le résultat du sondage n'avait rien de surprenant puisqu'il s'agit d'une constante que l'on retrouve dans toutes les études réalisées avec un minimum de sérieux. Certaines montrent même que les pirates sont en fait de meilleurs clients que les autres. C'est notamment la conclusion d'une nouvelle étude (.pdf) réalisée par des chercheurs de l'Université de Columbia, avec le soutien financier de Google. Selon cette étude, les Allemands qui utilisent les réseaux P2P posséderaient en moyenne 3917 fichiers MP3, dont 1034 auraient été achetés. Ceux qui déclarent ne pas utiliser de réseaux P2P indiquent posséder en moyenne 627 fichiers musicaux, dont 376 auraient été achetés. Sur la question des sanctions, les Allemands sont plus stricts... “I’ve seen John Steele preaching”: an insightful comment from a slashdot.org discussion « Fight Copyright Trolls.

By a slashdot.org regular SmallFurryCreature Foreword by SJD: I have worked for the porn industry and seen this guy preaching at industry conventions, once supposedly on a forum that was to discuss how to approach copyright infringement as a porn company/copyright holder. (There are other approaches: the best working is focusing on having your customers become loyal fans of your brand, so they want to pay, beg you to pay.) It wasn’t a discussion really, as I sat by as a 3rd party (I do servers for whatever reason you might have and I make the same amount whether those servers are paid for by copyright owners, commercial pirates, amateurs or cat pictures) and was amazed to see him preach to the converted… well… up until the point you start asking for numbers.

There are a lot of porn producers, a shit load more content and a near infinite amount of downloaders. The internet may consist of cat pictures but torrents are for porn. He ain’t a happy bunny at all. How The Copyright Industry Drives A Big Brother Dystopia. All too often, I hear that the copyright industry doesn’t understand the Internet, doesn’t understand the net generation, doesn’t understand how technology has changed. This is not only wrong, it is dangerously wrong. In order to defeat an adversary, you must first come to understand their state of mind, rather than painting them as evil. The copyright industry understands exactly what the Internet is, and that it needs to be destroyed for that industry to stay even the slightest relevant.

Look at the laws being proposed right now. Having this gatekeeper position – having had this gatekeeper position – teaches somebody what power is, in the worst sense of the word. The ability to share ideas, culture, and knowledge without permission or traceability is built into the foundations of the net, just as it was when the Postal Service was first conceived.

The Internet mimics this. They are pushing for laws that introduce identifiability, even for historic records. That’s their problem. MegaUpload : Kim Dotcom illégalement espionné, l'affaire devient politique. Voilà qui rajoute à la liste désormais impressionnante des irrégularités commises dans le dossier MegaUpload. Mais celle-ci risque d'avoir des répercussions politiques, bien au delà de la simple affaire qui secoue l'ancien site d'hébergement de fichiers. Lundi, le premier ministre de Nouvelle-Zélande, John Key, a fait savoir dans un communiqué officiel que le fondateur de MegaUpload Kim Dotcom avait été illégalement espionné par le GCSB, le Bureau de la sécurité des communications, sorte d'équivalent néozélandais des services de la DGSE ou de la CIA. Le GCSB est chargé d'opérer les écoutes jugées nécessaires pour la sécurité nationale, en principe uniquement à l'encontre des puissances étrangères.

John Key a indiqué qu'il avait demandé l'ouverture d'une enquête sur "les circonstances de l'interception illicite des communications de certains individus", en lien avec l'affaire MegaUpload. Cet épisode, de loin le plus grave, vient compléter un tableau déjà chargé. Une étude pointe les motivations altruistes des uploadeurs de fichiers piratés. Une étude franco-américaine vient de proposer une évaluation des gains réalisés par les personnes rétribuées par les hébergeurs de fichiers du fait du trafic engendré par leurs contributions. Résultat : la plupart des uploadeurs ne gagne presque rien.

De nombreux hébergeurs de fichiers proposent à leurs utilisateurs des programmes de récompenses. Le principe est souvent le même : en fonction du nombre de téléchargements engendrés par le fichier qu’ils ont uploadé, ces internautes peuvent se voir offrir une certaine somme d’argent. Seulement, ce type de dispositif incite plutôt au partage de liens d’une copie pirate d’un DVD récent que de ses derniers films de vacances... Les associations d’ayants droit ne se sont d’ailleurs pas privées de pointer du doigt ces pratiques, qui permettraient selon elles à certains d’engranger des sommes considérables. Une forte concentration des revenus sur un faible nombre d'uploadeurs Le temps, c'est de l'argent Quand la RIAA milite pour un filtrage proactif. Comment RapidShare va modifier l'économie du piratage. Comme l'a détaillé l'acte d'accusation de MegaUpload rédigé par les Etats-Unis et publié en début d'année, le principal reproche fait à MegaUpload était son modèle économique.

Le procureur de Virginie expliquait en effet que le site de Kim Dotcom encourageait activement le piratage en rémunérant les internautes qui partageaient les fichiers les plus populaires, c'est-à-dire essentiellement les films, logiciels et albums de musique piratés. En trois ans, MegaUpload aurait ainsi reversé 9 millions de dollars à ceux qui uploadaient des contenus très populaires, lesquels encourageaient les internautes à acheter des abonnements leur permettant de télécharger ces fichiers sans limitations.

Pour ne pas connaître le même sort que son ancien concurrent, mais pour continuer tout de même à prospérer, RapidShare a décidé de renverser totalement la logique économique. Vers des sites pirates à inscription limitée et payante ? BitTorrent et eMule s'écroulent en Europe, en proportion du reste. La société Sandvine, qui vend des solutions de gestion du trafic aux opérateurs de réseaux, a publié son rapport (.pdf) sur les "phénomènes Internet mondiaux", pour le deuxième semestre 2012. Il fait suite à un premier rapport publié au mois de mai dernier, pour la première moitié de l'année, qui avait montré que les échanges de fichiers en P2P restaient à un niveau élevé en Europe.

Cette fois, la comparaison des deux études montre que la proportion de trafic liée à BitTorrent et à eMule (eDonkey) s'est effondrée en six mois. En mai, lors des pics de consommation, BitTorrent représentait 31,69 % du trafic montant, 17,20 % du trafic descendant, et 20,32 % de l'ensemble agrégé. En cette fin d'année, les parts pour BitTorrent sont respectivement de 31,8 % (+ 0,1 point) en upload, 12,1 % (- 5,1 point) en download, et 14,9 % (- 5,42 point) en agrégé. En 6 mois, le P2P a perdu plus de 10 points de trafic Sur eMule, la tendance baissière est beaucoup plus forte. Téléchargement : Linkstorm, nouvel outil de la Hadopi.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Guénaël Pépin Le bilan annuel de la Hadopi, mercredi 17 octobre, a mis sur le devant de la scène une piste radicale pour lutter contre le téléchargement illégal : la suppression des sites illicites des index des moteurs de recherche (déréférencement), au profit de l’offre légale. Si, pour la présidente de la Commission de protection des droits (CPD) de la Hadopi, il ne s’agit que d’une "piste actuellement explorée dans le cadre du chantier streaming", elle inquiète les défenseurs des libertés numériques.

Lire : "Deux ans après sa création, la Hadopi veut recentrer ses missions" Mais, en parallèle, la Hadopi développe un outil de comparaison du positionnement de l’offre légale et de l’illicite dans les moteurs de recherche, Linkstorm, présenté brièvement par Eric Walter, le secrétaire général de la Hadopi. 'Linkstorm' effectuera des recherches sur les deux principaux moteurs en France, Google et Bing. Digital Music Index report reveals the top 10 BitTorrent countries. Musicmetric just released the first edition of the Digital Music Index, a report claiming to be the most in-depth study ever conducted on the digital music landscape. The DMI looks at a plethora of metrics including the popularity of licensed services like Spotify, Pandora and iTunes as well as how various artists are engaging fans using social networks.

But their data related to worldwide BitTorrent usage is getting the most media attention today. Musicmetric tracked 750,000 artists over a six month span ending in June 2012 and discovered that 405 million releases were downloaded in that time span. Unsurprisingly, the United States topped the list at nearly 97 million downloads. The most popular illegally downloaded album in the world was Rihanna’s Talk that talk. Despite what appears to be rampant piracy, digital music revenues of record companies grew by eight percent in 2011 to an estimated $5.2 billion.