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Vous trouverez ici des informations sur des forums, des sites d'articles et des blogs sur les comportements addictifs liés au numérique

Les jeux vidéos violents liés au risque de délinquance et d'abus d'alcool - 5 août 2014. COMPORTEMENT. L'incessant débat autour des effets potentiellement néfastes induits par la pratique de jeux vidéo violents refait surface. Une étude américaine publiée lundi 4 août dans la revue de l'Association américaine de psychologie Personality and Psychology, établi un nouveau lien entre certains jeux vidéo et le risque de développer un comportement à risque chez les jeunes. Selon cette étude, les jeux vidéo violents glorifiant des personnages antisociaux accroîtraient le risque de délinquance et d'autres comportements risqués comme le tabagisme et la consommation d'alcool chez les adolescents. Des jeux qui affectent l'idée que les jeunes se font d'eux-mêmes Plus généralement, ces jeux destinés à des adultes paraissent affecter l'idée que ces jeunes se font d'eux-même, ce qui peut influer potentiellement sur leur ego dans le monde réel, précisent les chercheurs du Darmouth College, une université située dans le New Hampshire (nord-est).

Génération Z : le cerveau des enfants du numérique - 12 février 2015. La génération Z (12-24 ans), qui a grandi avec les jeux vidéo et les téléphones portables, a gagné des aptitudes cérébrales en termes de vitesse et d’automatismes, au détriment parfois du raisonnement et de la maîtrise de soi, explique le professeur de psychologie Olivier Houdé. Dans cet entretien accordé à l'AFP, le directeur du Laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l’enfant du CNRS-La Sorbonne (LaPsyDé) et auteur du livre "Apprendre à résister" (Le Pommier), il préconise un apprentissage adapté à ces mutations. Le cerveau des enfants nés à l’heure du digital est-il différent ? Olivier Houdé : Le cerveau reste le même, mais ce sont les circuits utilisés qui changent.

Face aux écrans, et du coup dans la vie, les natifs du numérique ont une sorte de TGV cérébral, qui va de l’œil jusqu’au pouce sur l'écran. . © J.Bonnard/E.d'Epenoux/I. de Véri jub-etb/vl / AFP Qu’appelez-vous "résistance cognitive" ? Il y a en fait trois systèmes dans le cerveau humain. L'abus de télévision peut-il nuire au cerveau ? - 4 décembre 2015. Tout le monde se souvient de cette saillie très critiquée de l'ancien président de TF1 Patrick Le Lay : "Ce que nous vendons à Coca Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible". Cette fameuse "libération" du temps de cerveau pourrait avoir des conséquences plus sérieuses que le simple mépris des téléspectateurs dont elle témoignait.

En effet, les jeunes adultes qui regardent trop la télévision pourraient connaître des problèmes cognitifs plus tard au cours de leur vie, suggère une étude publiée mercredi 2 décembre 2015 dans le Journal of the American Medical Association Psychiatry (JAMA). Des résultats qui, à peine publiés, ont immédiatement fait l'objet de contestations. 2 fois plus de risques d'avoir des problèmes cognitifs ? Avec AFP. Science et vie. Utiliser tablettes ou smartphones avant d’aller se coucher est mauvais pour le sommeil / Ph.

Rafiqs via Flickr CC BY SA 2.0 Parents, méfiez-vous des petits écrans dans les chambres de vos enfants ! Ils affectent leur sommeil, à la fois en quantité et en qualité. Tel est en substance le message d’une étude publiée lundi dans la revue Pediatrics, menée sur plus de 2000 collégiens américains interrogés sur leurs habitudes quotidiennes entre 2012 et 2013. Il en ressort que les enfants possédant dans leur chambre à coucher un smartphone ou une tablette dorment en moyenne 21 minutes de moins par jour que ceux qui s’endorment loin de tout écran. Les petits écrans engendrent une privation de sommeil encore plus accentuée que le grand écran : la présence de la télévision dans la chambre réduit, elle, de 18 minutes le sommeil quotidien des enfants.

En cause, la lumière bleue émise par les écrans, ainsi que l’interruption de la routine du repos Fiorenza Gracci Le point sur les LED — S&V n° 1121. Science et vie. Une compétition de jeux vidéos / Ph. The Digitel Myrtle Beach, via Flickr – CC BY 2.0 Attention, tous les jeux vidéo ne sont pas à mettre dans le même panier. En ce qui concerne les adolescents qui, scotchés à leurs manettes, passent avérer problématique, mais elle est le plus souvent transitoire. Elle relève davantage de la passion que de la véritable accoutumance.

Pour les psychiatres, la véritable dépendance concerne les jeux en réseau, les fameux jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs (MMORPG selon le sigle anglais). Un monde fantastique Dans ce type de jeux vidéo, tels “World of Warcraft” ou “Everquest”, le joueur, représenté par un avatar – son double virtuel – interagit aux côtés d’autres joueurs connectés, dans un monde fantastique riche en aventures et combats de toute sorte. Tout d’abord, ils sont sans fin : ils mettent en scène un monde dit persistant, qui continue d’évoluer même lorsque le joueur n’est pas connecté. Le jeu vidéo devient un refuge > Lire aussi : Trouble d’utilisation d’Internet et addiction à Facebook. Est-ce que l’utilisation de Facebook affecte le cerveau et la façon de penser ?

Une nouvelle infographie proposée par Best Masters In Psychology : Facebook psychology : Is addiction affecting our minds a capitalisé des données chiffrées de différentes études sur la captation de l’attention, la concentration ou les modifications du cerveau produites par une utilisation intensive (temps passé) de Facebook et plus largement de l’Internet.

Trouble d’utilisation d’Internet (UID) officiellement reconnu par les psychiatres américains Si l’on souligne habituellement les bénéfices du numérique pour les individus et les organisations, l’infographie indique que l’addiction à l’Internet est reconnue comme telle officiellement par l’Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association, APA) avec le trouble d’utilisation d’Internet, Internet Use Disorder (IUD) défini ainsi par l’association en partant de 9 dispositions de l’Internaute « affecté » : A. B. C. D. E. F. G. H. I. Tribune : la cyberdépendance chez les jeunes. Ci-dessous, un communiqué qui nous a été transmis cette semaine. Une enquête réalisée sur 100 000 adolescents japonais révèle qu'utiliser Internet peut engendrer une dépendance au même titre qu'une drogue.

Nicolas Oliveri, enseignant-chercheur en communication à l'IDRAC et auteur de « Cyberdépendances. Une étude comparative France-Japon » et « Les jeux vidéo : quand jouer c'est communiquer », revient sur le phénomène de l'otakisme japonais, phénomène de relation fusionnelle aux nouvelles technologies et donne sa vision de cette cyberdépendance en France chez nos jeunes et ses risques. 1.

Cette enquête révèle que 8,1% des lycéens et collégiens japonais souffrent d'une dépendance à Internet, que cela soit aux échanges de messages, aux jeux ou aux autres activités en ligne et seraient incapables d'arrêter (les lycéens (9,4%), collégiens (6%), mais aussi plus les filles (9,9%) que les garçons (6,4%)). 2. 3. 4. On ne peut pas véritablement parler de caractère nuisible pour la santé. 5.

Dépendance à Internet ou e-addiction - marseille-psychologie. Les nouvelles technologies sont partout au point qu'on ne peut pas y échapper, ou presque. Ainsi, entre usage régulier et vraie addiction au numérique, la frontière est mince. Premier épisode de l'addiction numérique, demain : Comment s'en sortir. Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ?

Avec l'omniprésence du numérique, sommes-nous tous, dans une certaine mesure, accros aux nouvelles technologies ? Quelles thérapies Atlantico : Des thérapies d'un nouveau genre font leur apparition : les cures contre l'addiction aux nouvelles technologies. Ces cures proposent donc de faire un séjour 100% off-line, sans internet ni connexion. VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. L’occasion pour 20 minutes de faire le point sur ce fléau avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique à l’université de Nantes.

Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France? Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés.

Qui en sont les principales victimes? Les «digital natives». Comment savoir si l’on est cyberdépendant? Definition - La Dépendance Numérique. Il faut différencier deux types de dépendances : celle liée à l’outil lui-même, qui est la cause de l’addiction à travers les chats, les blogs, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…), les jeux vidéos en ligne, les jeux de rôle, et la recherche d’information. Et celle qui est liée aux opportunités offertes par internet, le support de la dépendance: sites sexuels et pornographiques, sites d’achats et d’enchères, et sites de jeux de hasard et d’argent (casinos en ligne, Française des jeux…). Décomposons cette expression en deux: Dépendance : qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. Numérique : Se dit des systèmes, dispositifs ou procédés employant ce mode de représentation discrète, par opposition à analogique. On peut donc résumer la dépendance numérique en une addiction pour tout système utilisant le système numérique, en particulier l'ordinateur.

Internet et cyberdépendance - Développement personnel - Psychologie. Aujourd'hui environ 27 millions de Français se connectent à Internet. Le web a fait naître des addictions d'un nouveau genre, de plus en plus fréquentes. Comment prévenir ces dépendances numériques ? La réponse avec le psychologue Jean-Charles Nayebi, auteur de « La cyberdépendance en 60 questions ». Doctissimo : Qu'appelle-t-on cyberdépendance et quel est le profil des individus qui en souffrent ? Jean-Charles Nayebi : A l'origine, la cyberdépendance désigne toute dépendance à l'univers informatique. Doctissimo : En France, parmi les 27 millions d'internautes, combien peuvent être considérés comme cyberdépendants ? Jean-Charles Nayebi : Pour l'instant aucune statistique n'a été établie. Doctissimo : Quels signes doivent alerter ? Jean-Charles Nayebi : La cyberdépendance s'exprime par différents signes spécifiques. Doctissimo : Les jeunes sont-ils les plus susceptibles de devenir cyberdépendants ?

Doctissimo : Les deux sexes sont-ils égaux face à la cyberdépendance ? Ecrit par: Portable, télé, Internet... êtes-vous un techno-addict ? Forum Cyberdépendance. Forum Cyberdépendance. [La cyberdépendance - Reportage TV] Selon une étude récente menée aux Etats-Unis, 6 % des internautes américains seraient cyberdépendants, c'est-à-dire, accrocs au net. En France, on compte environ 25 millions d'internautes mais on n'a pas de chiffres précis sur la dépendance. Seule certitude : le phénomène touche les adolescents, mais aussi les adultes. Dr Mario Sanchez : La cyberdépendance n'altère pas les fonctions neurobiologiques jusqu'au point de très rapidement tomber dans un malaise profond. C'est beaucoup plus long, c'est beaucoup plus insidieux, c'est d'une certaine manière plus psychologique que ce qui se passe avec les produits.

Il y a des gens qui se retrouvent véritablement dans des impasses très difficiles à comprendre pour leur famille et leur milieu. On distingue trois catégories de cyberdépendants : ceux qui envahissent les forums de discussions, ceux qui fréquentent les sites pornographiques et enfin les joueurs qui passent plusieurs heures par jour dans un monde virtuel.

Addiction - Définition du mot Addiction. Cyberdépendance: être dépendant du monde virtuel d’Internet. (Agence Science-Presse) - Paupières lourdes après une nuit passée sur Internet, sautes d’humeur, perte d’efficacité au travail, tensions au sein du couple… mais toujours cette irrépressible envie d’aller naviguer. La cyberdépendance semble être l’un des nouveaux maux de notre époque, mais reste encore mal comprise des cliniciens. «Nos connaissances sont fragmentaires et il faut d’abord déterminer ce qu’on entend par dépendance à Internet. Il n’y a d’ailleurs pas de définition officielle dans la classification internationale des maladies» explique Louise Nadeau, directrice de l’Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. «Pourtant au Québec, 100 personnes sur 40 000 auraient déjà consulté un spécialiste à ce sujet alors qu’aucun centre de santé publique n’offre de service spécifique.»

Une vie hors de la réalité Dans 10 ans? Lu dans la presse : Pour les insatiables.