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Revue de Presse

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Cyberdépendance: Le Japon lance des camps spéciaux pour les ados accros à Internet. INTERNET - La cyberdépendance est devenu un problème de santé publique au pays du Soleil levant. Plus de 500.000 Japonais seraient concernés. Des adolescents, pour l'essentiel, âgés de 12 à 18 ans. Mais difficile d'avoir des donnés plus précises, à en croire le ministère de la Santé du Travail et des Affaires sociales. "Ce problème prend de plus en plus de place, a déclaré au Daily Telegraph, Akifumi Sekine, un porte-parole du ministère. "Selon nos estimations, il touche environ 518000 enfants, collégiens et lycéens, à travers le Japon. LIRE AUSSI» Au Danemark, des lycéens passent le bac connectés à Internet » 20 ans du Web : le premier site internet est remis en ligne par le Cern » Vie privée sur Internet: il a collecté toutes ses données personnelles et les met en vente Résultat, pour comprendre et endiguer le phénomène, le ministère japonais lance un projet de recherche sur les addictions à Internet d'ici au printemps 2014.

Le Japon suit le mouvement Envoyer une correction. L'addiction à Internet: une nouvelle maladie? | Laurent Schmitt. Au moment où tous les individus sont connectés une question toute simple se pose. Où se trouve la frontière entre un usage répété et une addiction? Cette question n'est pas si facile. Le terme d'addiction est passé dans le langage usuel. Il appartient maintenant à la "pop-psychologie", la psychologie populaire. L'usage d'Internet appartient aussi au domaine professionnel, on peut y consacrer plusieurs heures, il ne s'agit pas d'une addiction.

Dès lors, la ligne de démarcation entre un usage soutenu et une addiction nécessite quelques précisions. Mais qu'est-ce qu'une addiction à Internet? L'addiction se distingue de l'usage intensif par une préoccupation intellectuelle constante, une pensée focalisée sur l'idée, devenue un besoin , d'utiliser Internet.

LIRE AUSSI: Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? Parmi les autres stigmates d'une addiction, figure la tentative de masquer ou de minimiser le temps consacré. Dans ces circuits l'activité est diminuée. Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? ADDICTION - L'information a fait le tour du web car, forcément, c'est le premier concerné. Aux États-Unis: un hôpital privé propose une cure de désintoxication pour accros à Internet. Durée: 10 jours, dont 72 heures de sevrage total, période pendant laquelle le patient sera privé d'accès à Internet, mais aussi de tablette et de smartphone, bref, de tout vecteur d'Internet.

Suivent ensuite des séances de thérapie, séminaires et autres traitements. Coût total de la cure: 14.000 dollars soit un peu plus de 10.600 euros. Lire aussi:» 75% des adolescents dorment avec leur téléphone portable allumé » Ce qu'il arrive quand on se déconnecte vraiment » Êtes-vous accro au boulot ? Une addiction comme les autres Excessive, l'idée d'une cure de désintox? Certains pays qui dénombrent un grand nombre d'individus dépendants ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps. Autant dire qu'à côté, la cure de désintox américaine fait figure de promenade de santé. Trop court Identifier ce besoin à la source. Notes Huffingtonpost (URL) Les employés-modèles souffrent d'addiction à Internet hors du temps de travail. La British Psychological Society a publié les résultats d’une recherche qui prouve que les personnes qui se sentent surchargées par leur travail et sous pression, utilisent internet de manière compulsive pendant leur temps libre comme une stratégie d’adaptation.

Cette recherche présentée à la Conférence annuelle à Brighton a été menée par le Docteur Cristina Quinones-Garcia de la Northampton Business School et le professeur Nada Korac-Kakabadse de la Henley Business School. Ils ont demandé à 516 individus de 18 à 65 ans, employés ou non, de répondre à un questionnaire qui évalue leur stabilité émotionnelle, leur charge de travail, leur satisfaction dans la vie et leur utilisation compulsive d’internet. publicité 60% d'entre eux ont répondu utiliser internet de manière compulsive, se connectant par exemple fréquemment à leur boîte mail professionnelle en dehors de leur temps de travail: une habitude directement liée à une surcharge de travail.

À lire aussi sur Slate.fr. Note Slate - addictio ninternet (URL) Les accros aux réseaux sociaux sont-ils malades ? "Est-ce que vous sortez tout nu ? Non ! Souffrez-vous pour autant d'une addiction aux vêtements ? Non ! Eh bien, ce n'est pas parce que vous ne lâchez pas votre téléphone portable que vous souffrez d'une addiction. " À voir certains adultes ou adolescents pendus à leur smartphone du matin au soir, connectés à Facebook 24 heures sur 24, nombreux parmi leurs proches sont ceux qui se posent la question d'une "dépendance".

Une pathologie derrière la pathologie Certes, il existe des addictions sans substance, comme celle aux jeux d'argent, mais elle est à ce jour la seule reconnue unanimement par la communauté scientifique. Pour Serge Tisseron, le terme "addiction" est tellement galvaudé qu'il est en passe de perdre tout son sens, alors qu'il correspond à un ensemble de signes biologiques bien définis. Mais le psychiatre reconnaît que cela ne signifie pas pour autant qu'il n'existe pas de problème. Simple bataille sémantique ? "Addiction" ou non : s'agit-il d'une simple bataille sémantique ? Note Le Point - enjeux commerciaux (URL) Pourquoi devient-on accro à son téléphone portable ? Afin de comprendre le phénomène appelé "nomophobie" (contraction de no mobile phobia), il faut avant tout revenir à l’analyse d’Otto Fenichel, datant de 1946, qui évoque, pour la première fois, la notion de "toxicomanie sans drogue".

Le téléphone, de fait, n’est pas une drogue mais simplement l’outil qui va révéler la tendance addictive d’un individu. Journée sans portable à la saint Gaston, 08/02/2012, BFMTV Une addiction à "l'autre" L’un de mes professeurs avait parfaitement résumé toute la complexité de ces pathologies addictives liées à la cyberdépendance à travers cette citation : "La main est la métaphore du moi dont le but est de serrer le monde dans son poing fermé. " Cette phrase résume mieux que tout autre commentaire la teneur de l’addiction liée aux smartphones : avec l’accès à internet, aux réseaux sociaux et à diverses applications, ces téléphones sont devenus un véritable concentré ultra-réduit du monde contemporain. Des individus aux tendances narcissiques. Note Nouvel Obs (-Nomophobie URL) Téléphone portable : de l'excès à la dépendance - A la une - La Quotidienne.

75% de la population mondiale possède un téléphone portable, soit environ 6 milliards de personnes. Notre pays, lui, compte 70 millions de mobiles, plus que le nombre de Français. Le portable est devenu indispensable. L’an prochain, le nombre de connexions à Internet à partir du téléphone dépassera celui de l'ordinateur. Mais s'il est ultra-pratique, le téléphone portable peut également s’avérer un objet d’aliénation. Avec l'explosion de l'équipement en smartphone, le mobile est devenu un outil bien pratique et parfois très envahissant pour les français Six minutes, c’est le temps moyen qu’un utilisateur passe à distance de son téléphone portable. Mais alors, que fait-il ? Il écrit des mails, envoie des SMS, prend des photos, surfe sur le net. Thierry Crozet en a fait les frais. La nomophobie : un mal qui touche 42% des français Déjà en 1999 Phil Marso avait senti le vent tourné.

Pour une utilisation plus raisonnée de son mobile Gaëlle Grandon. Note France 5 - Nomophobie(URL) La e-dépendance aux réseaux sociaux, ça se soigne. Note Le Parisien - réseaux sociaux (URL)