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Euro-Zone Crisis

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FMI

Espagne. ECB. Grèce : Bruxelles sommée de s'expliquer sur sa gestion de la crise. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par .Jean-Pierre Stroobants Bruxelles, Bureau européen. Vivement attaquée par la presse, jeudi 6 juin, pour sa gestion de la crise grecque, la Commission européenne a difficilement répondu aux critiques formulées contre elle dans un rapport confidentiel du Fonds monétaire international (FMI), dévoilé quelques heures plus tôt.

Ce texte met en cause "l'impréparation" de Bruxelles et son refus, entre autres, de restructurer rapidement la dette de la Grèce. Voyant que des éléments du rapport avaient fuité, c'est le FMI qui a pris la décision de le publier. Il sous-entend clairement que la Commission a préféré satisfaire les desiderata de certains pays de la zone euro plutôt que de sauver la Grèce en limitant les dégâts. La Commission conteste également avoir fait preuve d'inexpérience et d'un manque d'expertise. "Aucune autocritique, donc ? " Lire: "2014, l'année de tous les espoirs pour la Grèce" Merkel party allies accuse Hollande of shaking EU’s foundations - FT.com.

Droits sociaux fondamentaux

Union européenne : Fête du non-travail. Italie. Irlande. Economie : Non, l’euro n’est pas en crise. Ne croyez pas cette “mythologie moderne” qui voudrait que la monnaie unique soit au bord de l’effondrement. Le vrai problème, c’est que les perdants, les pays les moins compétitifs, sont de plus en plus nombreux. Cela fait déjà plusieurs années que dure la soi-disant crise de l’euro. Elle est devenue un phénomène durable, à tel point que la “crise de l’euro” s’est installée comme une rubrique pérenne dans certains médias occidentaux.

Au même titre que la politique intérieure, l’économie, la météo ou le sport. La crise s’est inscrite dans la conscience collective comme un phénomène durable. On peut voir les choses d’un point de vue positif : regardez, citoyens, une crise de l’Histoire sans précédent et l’euro tient bon. Tout cela n’est qu’une mythologie moderne. Oui, elle l’est. Impossible d’être exclu contre son gré Au regard de l’inflation, il n’y a aucune crise. Aucune menace d’effondrement ne pèse sur la zone euro. Tout Etat membre est libre de sortir de la zone euro.

Grèce

Austerity is hurting – but is it working? - FT.com. Bundesbank takes aim at Mario Draghi’s ECB rescue plan - FT.com. Global Insight: Politics draws out accidental truth on austerity Europe - FT.com. Austerity: Is opinion shifting? The end of the line - FT.com. Slovenia rules out bailout - FT.com. A road to freedom for euro taxpayers - FT.com. Chypre : l’Europe est-elle dans l’illégalité. La question que pose la violation du caractère sacro-saint et juridiquement contraignant de la garantie des dépôts imposée depuis 2010 par la loi européenne est grave. Je me permets ici de troquer mon tablier de financier contre ma toque de juriste pour regarder de plus près le caractère légal ou illégal des décisions du sommet européen de la semaine dernière concernant Chypre.[1] La directive européenne Le 12 juillet 2010, la Commission a adopté une proposition législative pour une révision profonde de la directive sur les systèmes de garantie des dépôts.

Cette proposition traite surtout de l'harmonisation et la simplification des dépôts protégés, un remboursement plus rapide, et l'amélioration du financement des systèmes. Les amendements proposés font suite aux changements antérieurs proposés par la Commission en 2008 et entrés en vigueur au début de 2009. La proposition est accompagnée d'un rapport.[2] Dans le communiqué de presse de la Commission, les choses sont claires.

ECB role in bailout comes under scrutiny - FT.com. Chypre, ou le risque d'une panique bancaire. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Éditorial du "Monde" Editorial. En finance, on ne prend pas un risque dont on ne sait mesurer les conséquences. Pourtant, depuis qu'a éclaté la crise mondiale du surendettement en 2007, ce choix a été fait à deux reprises. En septembre 2008, l'administration Bush a laissé Lehman Brothers, la quatrième banque d'affaires américaine, tomber en faillite, créant une syncope bancaire généralisée sur toute la planète. A l'automne 2010, à Deauville, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont décidé que les pays de la zone euro ne rembourseraient pas nécessairement leurs dettes à l'avenir : ils ont ainsi accéléré la crise financière non seulement en Grèce, mais aussi au Portugal, en Irlande, en Espagne et en Italie.

Comme si ces précédents n'avaient pas suffi, les Européens et le FMI ont tenté ce week-end une troisième expérimentation : organiser un prélèvement sur les comptes bancaires des Chypriotes. Nul ne peut mesurer les conséquences de cette décision. Des milliers de manifestants à Bruxelles contre l'austérité. International : Sarkozy-Merkel : un sommet pour sortir de la crise. De fortes divergences séparent encore les deux partenaires, qui se retrouve lundi à Paris. Encore une semaine «historique» pour les Européens. Et encore un tête-à-tête décisif entre la France et l'Allemagne pour tracer le chemin d'une sortie durable de la crise.

Les médias sont unanimes: le round qui commence doit ouvrir sur la perspective d'une Europe enfin solidaire, et enfin disciplinée, ou bien… la zone euro se retrouvera entraînée vers d'autres turbulences, de plus en plus difficiles à traverser. Comme c'est l'usage, le président et la chancelière se retrouvent donc à la veille de ce dernier Conseil européen stratégique de l'année.

Cette fois-ci, c'est au tour d'Angela Merkel de venir à Paris. Les positions d'attente s'efforcent de ménager les opinions intérieures, des deux côtés du Rhin. Un traité à dix-sept À eux, par exemple, d'adopter la règle d'or, et de faire le ménage chacun chez soi. » Merkel inflexible sur les euro-obligations » Une semaine de grands rendez-vous attend l'Euro.

Conjoncture : Une règle d'or obligatoire pour réduire les déficits. L'accord conclu entre 26 des 27 pays membres de l'UE reprend l'essentiel des propositions franco-allemandes établies lundi. Le document de synthèse publié à l'issue du sommet renforce considérablement l'union budgétaire entre les pays européens. Les sanctions envers un État qui dépasserait le plafond de 3% du PIB pour ses déficits publics seront automatiques • Une règle d'or constitutionnelle pour tous Chaque État membre devra s'assurer que ses déficits structurels (hors intérêts de la dette) ne dépassent pas 0,5% du PIB.

. • Des sanctions automatiques en cas de déficits excessifs Les sanctions envers un État qui dépasserait le plafond de 3% du PIB pour ses déficits publics seront automatiques, sauf «si une majorité qualifiée de membres s'y oppose»; leur nature reste à préciser. . • Le secteur privé ne sera plus mis à contribution Le secteur privé (banques, assureurs…) ne sera plus mis à contribution en cas de restructuration de la dette d'un État comme cela fut le cas avec la Grèce. Conjoncture : Paris et Berlin s'accordent sur la gestion des crises. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont présenté les grands axes du nouveau traité voulu par le couple franco-allemand.

«Faire des propositions afin de garantir l'avenir de l'Europe» dans l'optique du sommet européen du 8 et 9 décembre. Tel était le menu du déjeuner entre Nicolas Sarkozy et la chancelière Angela Merkel à l'Élysée ce lundi. Paris et Berlin se sont accordés sur plusieurs points. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont martelé, dans une conférence de presse commune à l'issue de leur rencontre, leur attachement à des modifications substancielles des traités. «Notre préférence va à un nouveau traité à 27, mais nous sommes tout à fait prêts à le faire à 17 et aux autres États membres souhaitant nous rejoindre», a indiqué Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy a précisé les «têtes de chapitres» que le couple franco-allemand imagine pour le futur traité qu'ils souhaitent enterriner d'ici mars : • Pas d'euro-obligations. » Forte de ses réussites économiques, l'Allemagne impose son droit. Flash Eco : Autriche: loi sur la règle d'or votée. Le Parlement autrichien a voté mercredi une loi sur "la règle d'or" budgétaire, imposant une réduction des déficits publics, mais le gouvernement de grande coalition social-démocrate/démocrate-chrétien n'a pas obtenu la majorité des deux tiers requise pour inscrire cette disposition dans la Constitution. La loi votée mercredi prévoit qu'à partir de 2017 le déficit public de l'Autriche ne devra pas excéder 1,25% du produit intérieur brut (PIB) chaque année. Les députés sociaux-démocrates (SPÖ) et démocrates-chrétiens (ÖVP) ont voté en faveur de la "règle d'or", contrairement aux trois partis de l'opposition.

Les Verts, qui voulaient, en contrepartie de leur soutien à la "règle d'or", la création d'un impôt sur la fortune, n'ont pas obtenu gain de cause et ont donc voté contre. La majorité des deux tiers, nécessaire pour pouvoir faire figurer "la règle d'or" dans la Constitution autrichienne, n'a en conséquence pas été atteinte. Flash Eco : Italie: feu vert du Sénat à la règle d'or. Le Sénat italien a donné aujourd'hui un premier feu vert au projet d'inscription dans la Constitution de la "règle d'or" de l'équilibre budgétaire, destinée à rassurer les marchés alors que le pays est empêtré dans la crise de la dette. Cette "règle d'or", qui ne suscite pas d'opposition dans la péninsule, avait déjà été votée une première fois le 30 novembre par les députés mais son adoption définitive n'interviendra pas avant le printemps.

Comme toute modification de la Constitution, elle doit être votée à deux reprises par chacune des chambres du Parlement à un intervalle d'au moins trois mois. Au Sénat, ce projet a été adopté à une écrasante majorité de 255 voix tandis que 14 sénateurs se sont abstenus. Organisme de contrôle des finances publiques Ce principe ne pourra être contourné qu'avec l'accord de la majorité absolue du Parlement en cas de grave crise économique, mais, dans ce cas, un calendrier précis de retour à l'équilibre devra être prévu.

Conjoncture : Le Mécanisme européen de stabilité (MES) mode d'emploi. INFOGRAPHIE - Inauguré ce lundi, à Luxembourg, par les ministres des Finances de la zone euro, le Mécanisme européen de stabilité (MES) sera opérationnel à partir du vendredi 12 octobre, lorsque sera versée une première tranche de capital de 32 milliards d'euros. Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. • À quoi sert le MES? Sorte de FMI européen, le MES est un instrument de solidarité financière permanent qui peut intervenir sur les marchés et voler au secours d'un État membre de la zone euro menacé de faillite, à condition que ce dernier ait ratifié le pacte budgétaire.

Le MES peut intervenir quand les taux d'intérêt d'un État membre deviennent insupportables et menacent la stabilité financière de la zone euro. Le MES fait l'objet d'un traité ratifié par les dix-sept États membres de la zone euro, agrafé au traité de l'UE. • Quels sont ses moyens financiers? La capacité de prêt du MES sera portée à 500 milliards d'euros en 2014. . • Quels sont ses pouvoirs? • Que devient le FESF? Conjoncture : Merkel veut un droit de veto de l'UE sur les budgets nationaux. Pour la chancelière allemande, cette prérogative devrait être confiée, à Bruxelles, au commissaire aux Affaires économiques.

L'Union européenne doit avoir des pouvoirs d'intervention clairement définis pour réagir lorsqu'un État membre viole les règles budgétaires communes, a déclaré jeudi la chancelière Angela Merkel, à quelques heures du sommet européen à Bruxelles. Dans un discours au Bundestag, la chambre des députés allemande, elle a aussi écarté la possibilité de mettre rapidement en place une union bancaire. Angela Merkel s'est ouvertement positionnée contre le président François Hollande et d'autres dirigeants européens qui sont réticents à céder à l'Europe un droit de regard sur leur politique budgétaire et veulent voir la Banque centrale européenne devenir d'ici la fin de l'année le superviseur bancaire. Un satisfecit à la Grèce (Avec Reuters) UE EURO FMI BCE ...(articles) De Baere and Eeckhout et al: Europe, the Prime Minister, and the facts – seven questions for David Cameron | UK Constitutional Law Group. Dear Prime Minister, Much has already been said about your speech on ‘the future of Europe’, delivered on Wednesday 23 January at Bloomberg, and much more remains to be said.

As academics in the fields of EU law and international law, we express our hope that the debate on whether or not the UK should remain in the EU will be conducted on the basis of as complete and accurate a set of facts as possible. We would like to ask you a number of questions with that in mind. They are questions which you have left unanswered, despite the crucial importance of such answers for the debate. What would “a new settlement in which Britain is at the forefront of collective action on issues like foreign policy and trade” entail?

Will you be advocating the repatriation of some of the EU’s trade competences to the Member States, thereby allowing the UK and others to take individual or collective initiatives in that regard? As you accurately put it: “It is time for the British people to have their say.” Face à la crise, vite de la pédagogie ! Photo AFP/Thibault Camus De nouveau le doute, mais un cran au-dessus. En novembre, les Français se demandaient si François Hollande avait bien pris la mesure de la crise. Aujourd’hui, ils s’interrogent sur sa capacité à les en faire sortir. Le spleen a saisi les socialistes eux-mêmes, qui commencent à dire stop. "Stop aux hausses d’impôts ! Stop à la baisse des dépenses publiques ! " Ils n'en contestent pas le principe comme en 1983. Il ne savent pas quoi raconter à leurs électeurs, tétanisés par l’exemple de l’Italie, ce voisin bien-aimé, mais devenu ingouvernable sous l’effet d’une puissante vague populiste qui a saisi le pays en pleine cure de rigueur.

Et si c’était cela qui guettait la France ? Comme à chaque moment de crise, le président de la République est mis à l’épreuve. La faiblesse de la campagne présidentielle, qui s’est essentiellement jouée sur le rejet d’un homme, n’explique pas tout. Du coup, tout semble sous contrainte, tout paraît bouché. An issue of statistical significance in Greece. An issue of statistical significance in Greece By Nick Malkoutzis & Yiannis Mouzakis* The head of Greece’s statistics agency, Andreas Georgiou, is to face a criminal inquiry. An ex-employee of the Hellenic Statistical Authority (ELSTAT), Zoe Georganta, has accused him of colluding with the European Union’s statistical arm, Eurostat, to inflate Greece’s deficit figure for 2009, thereby justifying Greece's EU-IMF bailout, signed in May 2010, and its drastic austerity measures. Georgiou vehemently denies the charges.

Financial prosecutors have referred the matter to a special magistrate and the Greek justice system will have to decide on the validity of each side’s arguments. Beyond the judicial process, some observations about the case are needed as it goes to the very heart of understanding how Greece’s public finances veered dramatically off course and the country turned to the eurozone and International Monetary Fund for emergency loans. [Kathimerini English Edition]

Euro-Crisis France

Grèce : sept plans d'austérité, et maintenant ?