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Euro-Crisis France

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Le FMI recommande à la France de ralentir le rythme de réduction du déficit. Hollande : "La Commission ne dit pas à la place des Etats ce qu'ils doivent faire" Au lendemain de l'annonce des recommandations de la Commission européenne aux Etats membres, François Hollande a profité d'une rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel, jeudi 30 mai, pour réaffirmer ce qu'il avait déclaré la veille, à savoir que la France respecte les recommandations européennes mais que la manière de mener ces réformes relève de sa souveraineté. "La méthode, les mesures, c'est de la responsabilité de la France. Le détail, les procédures, les manières de faire relèvent de la responsabilité du gouvernement et de l'Etat, sinon il n'y aurait pas de souveraineté possible. La souveraineté, elle doit être dans la mise en œuvre. La Commission donne des recommandations, elle ne dit pas à la place des Etats ce qu'ils doivent faire .

" La Commission a entre autres demandé à Paris de faire des réformes structurelles, notamment en matière de retraites, tout en lui accordant deux ans de plus, jusqu'en 2015, pour parvenir à ramener son déficit public à 3 %. M. M.

Doctrine

L'offre calibrée de François Hollande à Angela Merkel. L'Europe : c'est d'abord sur ce terrain-là, jeudi 16 mai, que François Hollande a tenu à montrer qu'il était à l' "offensive" . Devant les quelque 400 journalistes venus l'écouter dans la salle des fêtes de l'Elysée, c'est par l'annonce d'une "initiative sur l'Europe" que le président de la République a tenu à ouvrir le long propos liminaire de la deuxième conférence de presse de son quinquennat.

Ce choix ne doit rien au hasard : face aux Français, M. Hollande a compris qu'il devait afficher son volontarisme pour contrecarrer l'idée que sa politique lui est dictée par Bruxelles ; sur la scène européenne, il sait qu'il a tout intérêt à chercher à exister face à l'Allemagne, tout en tentant de se rabibocher avec Angela Merkel. Reste que derrière les mots, ambitieux, se cachent des idées anciennes, et souvent difficiles à mettre en œuvre. Cette idée d'un "gouvernement économique" européen, avancée il y a vingt ans pa... Bruxelles donne à Paris deux ans de plus pour réduire son déficit public. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Ricard Bruxelles, bureau européen. Deux ans pour ramener les déficits dans les clous, contre des réformes structurelles précises : la Commission européenne et la France s'orientent vers un donnant-donnant aux allures de feuille de route pour François Hollande d'ici à 2015.

Olli Rehn, le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, devait ouvrir la porte vendredi 3 mai à un tel délai, pour permettre à Paris d'assainir ses finances publiques sans entraver ses chances de reprise économique. Pour le commissaire européen, le retour sous les 3 % dès 2014 nécessiterait un effort "très important". Le changement de pied soudain de Bruxelles tient à un constat : à politique constante, le déficit public français devrait en effet, selon les prévisions de printemps publiées à Bruxelles, se situer à 4,2 % du PIB, pour une croissance de l'ordre de 1,1 % en 2014.

"Ce qui importe, c'est l'esprit des traités. France relaxes budget targets - FT.com. EU intensifies reform pressure on France - FT.com. Bernard Cazeneuve, avocat d'un "oui de résistance" Souvent, il commence ainsi : "Je suis très heureux de débuter comme ministre avec un texte qui emporte à ce point le consensus…" Face à lui, généralement, les visages se décrispent. Alors il peut enchaîner. Détailler le contenu du "pacte de croissance" obtenu "de haute lutte" par François Hollande les 28 et 29 juin. Convenir qu'il s'agit d'un compromis imparfait et non d'"un solde de tout compte", autrement dit qu'il reste encore fort à faire.

Puis expliquer que c'est précisément pour cela qu'il faut voter "oui", que c'est la seule façon de "consolider cette première étape si l'on veut franchir toutes les autres". Un "oui de résistance" contre le "fédéralisme technique" et pour une "intégration solidaire", comme il le dit parfois. Cette démonstration, c'est peu dire que Bernard Cazeneuve l'a en bouche. >> Lire aussi : Comment le traité budgétaire européen va s'appliquer en France. Bernard Cazeneuve, un ex-"noniste" au budget. Austérité: à l'heure du dépit, pas de répit. Pour son dernier conseil européen, Mario Monti, tombé au champ d’honneur de l’austérité, a mis en garde contre «la montée du populisme et la désaffection à l’égard de l’Union européenne» (UE). S’adressant aux vingt-sept chefs d’Etat et de gouvernement réunis en sommet à Bruxelles, le président sortant du Conseil italien a souligné vendredi que le long décalage entre le moment où les réformes structurelles sont lancées et celui où elles portent leurs fruits sur la croissance se traduit par un «déclin spectaculaire» du «soutien public à la réforme et, encore plus inquiétant, à l’UE», rendue responsable de ces politiques douloureuses.

Une désaffection qui commence à inquiéter les Vingt-Sept : «Nous sommes pleinement conscients du débat qui monte et même du désespoir de certains», a reconnu Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen. La grande majorité des gouvernements estime que le moment de ralentir le rythme de la rigueur et de se concentrer sur la relance est venu. N.B. EU leaders avoid clashes at lacklustre summit on growth. The first day of a lacklustre EU summit dedicated to economic issues ended last evening (14 March) with France and Italy winning support for a slightly more growth-friendly interpretation of European Union budget rules. France's push for a more growth-friendly interpretation of EU budget rules appears to have paid off. French officials said they were satisfied with the summit conclusions, which state that "the possibilities offered by the EU's existing fiscal framework to balance productive public investment needs with fiscal discipline objectives can be exploited in the preventive arm of the Stability and Growth Pact”.

France's budget deficit will hit 3.7% of gross domestic product this year, missing the 3% target. German Chancellor Angela Merkel was careful to avoid any ideological clash, telling reporters: "We made clear in a very consensual discussion that budget consolidation, structural reforms and growth are not in contradiction but are mutually reinforcing. " French satisfied. Pour Hollande, la France est "le bon élève" de l'Europe. TRAITÉ EUROPÉEN. Conjoncture : Avenir de l'Europe: l'idée d'une consultation chemine.

Les politiques pourraient faire appel au vote des citoyens afin de surmonter les blocages et les impasses. Aveu d'impuissance, diraient certains. Pour sortir de l'imbroglio européen et d'une crise de la dette qui butte toujours sur le front grec, les politiques sont tentés d'en appeler aux citoyens. À croire que les nuits de négociation à Bruxelles pour arracher de fragiles avancées institutionnelles ne suffisent plus. L'idée fait son chemin en Allemagne, qui veut accélérer l'intégration européenne. Membres du gouvernement ou partenaires de la coalition d'Angela Merkel, ils sont nombreux ces derniers jours à avoir délaissé leur chaise longue estivale pour monter au créneau. Même son de cloche du chef de file de l'Union chrétienne-sociale (CSU), alliée bavaroise de la CDU de la chancelière. La question des euro-obligations pourrait aussi être tranchée par le peuple, préconise-t-il. Contre l'austérité L'appel à référendum trouve un écho aussi en Italie.

Politique : Les Verts se déchirent sur le traité européen. Jean-Vincent Placé et François de Rugy menacent de ne pas le voter, Eva Joly réclame un référendum, tandis que Daniel Cohn-Bendit fait valoir la solidarité gouvernementale. La Rochelle contre Poitiers. En faisant sa rentrée politique à Poitiers, à l'université d'été d'Europe Écologie-Les Verts (EELV), Ségolène Royal a marqué les esprits.

L'ancienne candidate à la présidentielle de 2007, battue lourdement aux dernières législatives dans la circonscription de La Rochelle, avait annoncé qu'elle sécherait l'université du PS pour cause de déplacement opportun à l'Internationale socialiste en Afrique du Sud. Accueillie par Pascal Durand, nouveau secrétaire national d'EELV, et Dominique Voynet, maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis), Ségolène Royal a été chaleureusement applaudie par un amphithéâtre bondé. «La croissance verte est un levier de sortie de la crise très efficace compatible avec un nouveau modèle social», a-t-elle expliqué.

Pourtant, tout n'est pas rose chez les Verts. Politique : Lienemann : « Que Hollande respecte ses engagements » INTERVIEW - Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice de Paris, explique pourquoi elle va voter contre le traité européen. LE FIGARO. - Pourquoi voterez-vous contre le traité européen? Marie-Noëlle LIENEMANN. - Parce qu'il est dangereux pour l'avenir de la France et de l'Europe. Il n'y a dans ce traité qu'un seul choix: l'instauration d'un contrôle budgétaire strict des États par la Commission européenne et l'UE pour que les déficits structurels ne dépassent pas 0,5 % du PIB. Ce qui revient à installer durablement des logiques d'austérité. Or, il y a des périodes où l'on a besoin de booster la croissance par des déficits publics maîtrisés.

Avoir un cadre macro-économique budgétaire fixé ad vitam aeternam n'a donc pas d'intérêt politique, au contraire. À force de faire des coupes sombres dans les dépenses publiques, à force de reculs sociaux, on amène les États à une baisse de croissance, voire à la récession. Mais ils n'ont que ça à dire depuis vingt ans! Bruxelles gagne de nouveaux pouvoirs de contrôle des budgets nationaux. Conjoncture : Bruxelles inflexible sur la réduction des déficits français. Le gouvernement Ayrault ne doit espérer aucune complaisance ni de l'Eurogroupe ni de la Commission européenne sur les comptes publics français. Dans une interview à plusieurs journaux européens, dont Le Figaro, le commissaire aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn demande à la France «de poursuivre de manière opiniâtre son redressement budgétaire, compte tenu d'une dette publique qui atteint déjà le taux élevé de 90 %».

Pour Bruxelles, il s'agit de dissiper un malentendu bien ancré, selon lequel Paris pourrait bénéficier d'un répit sur ses objectifs budgétaires (déficit réduit à 3 % en 2013), dans le cas où la croissance française n'atteindrait pas les 0,8 % escomptés par le gouvernement. Le plan Ayrault en faveur de la compétitivité des entreprises et l'accord arraché la semaine dernière au patronat et aux syndicats «sont des étapes encourageantes, poursuit Olli Rehn, mais elles ne répondent pas nécessairement à toutes les questions». » L'Allemagne garde le cap de l'austérité.

Mon Figaro : Crise de l'euro : où va la démocratie ? Mon Figaro : Déficit : ces 3 % qui empoisonnent la gauche. Politique : Le Front de gauche mobilise contre le traité européen. Jean-Luc Mélenchon appelle à une manifestation nationale pour réclamer un référendum sur sa ratification. Il ne lâche pas prise. Pour la clôture des Estivales citoyennes du Front de gauche à Saint-Martin-d'Hères (Isère), Jean-Luc Mélenchon, adversaire déterminé du traité budgétaire européen, a appelé dimanche à une manifestation nationale à Paris pour réclamer un référendum sur sa ratification.

Un traité qui devient une pierre d'achoppement à gauche et particulièrement dans les rangs des alliés du PS. Non seulement une bonne partie des élus écologistes d'EELV semble déterminée à voter contre la ratification cet automne, mais y compris jusqu'au sein du Parti socialiste certains rechigneraient à voter positivement. Une situation qui irrite au plus haut point le couple Hollande-Ayrault. À La Rochelle, le premier ministre a appelé à l'unité: «Ce traité, (…) ce n'est pas l'alpha et l'oméga de notre politique, ce n'est pas la fin. «La force qui dit “non”» Politique : Traité européen : la droite dira oui sans états d'âme. L'adoption par le Parlement du traité budgétaire devrait voir les voix de la majorité socialiste se joindre à celles de l'opposition UMP contre les alliés de gauche du gouvernement, Verts et communistes. C'est un cas d'école. L'adoption par le Parlement du traité budgétaire devrait voir les voix de la majorité socialiste se joindre à celles de l'opposition UMP contre les alliés de gauche du gouvernement, Verts et communistes.

Une réactivation, vingt ans après l'adoption du traité de Maastricht, de l'alliance tacite entre les forces de gouvernements europhiles contre une partie des écologistes, le Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon, le Front national et même la frange gauche du PS. L'affaire est savoureuse pour la droite qui tient là sa première revanche après la victoire de François Hollande. Le candidat avait annoncé qu'une fois élu, il renégocierait le traité avec les partenaires européens. «Principe de réalité» » Europe: la gauche du PS sous pression.

Politique : UE: Ayrault réclame un «soutien massif» Le « paquet européen », qui doit être voté en octobre, a été présenté mercredi en Conseil des ministres. Sa part du travail est faite. Avant l'été, François Hollande a «renégocié» le traité européen signé par Nicolas Sarkozy l'année dernière. Le texte budgétaire a été complété à défaut d'avoir été modifié. «La donne a changé», affirme quand même un proche du chef de l'État. Mercredi, le «paquet européen» a donc été présenté en Conseil des ministres pour pouvoir ensuite être soumis au Parlement début octobre. Deux textes ont été examinés: le projet de loi autorisant la ratification du traité et, conséquence directe, le projet de loi organique sur les finances publiques limitant l'ampleur des déficits pour les années à venir. Maintenant, c'est à Jean-Marc Ayrault d'agir. Pour solenniser l'instant, Jean-Marc Ayrault a choisi de tenir une conférence de presse à l'issue du Conseil des ministres.

Le traité est contesté par le Front de gauche, une partie des Verts et même une frange du PS. Mon Figaro : Europe : Hollande face à sa gauche. L'éditorial d'Yves Thréard. L'Europe divise le PS. Encore et toujours. Sept ans après le référendum du 29 mai 2005, quand le «non », défendu par la gauche de la gauche et des socialistes emmenés par Laurent Fabius, l'avait emporté. C'est un moment crucial, à hauts risques, que François Hollande s'apprête à vivre avec la présentation au Parlement, fin septembre, du traité européen conclu à Bruxelles les 28 et 29 juin. Le sujet est d'actualité dès cette semaine: le Conseil constitutionnel devrait dire si une révision de notre loi fondamentale est un préalable nécessaire. Comme il en a l'habitude, le président de la République est dans la posture de l'équilibriste. Depuis qu'il est en fonction, il va répétant qu'il a réussi à réorienter la politique européenne d'Angela Merkel vers plus de croissance.

Le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) est fidèle à la volonté de la chancelière allemande. Depuis le début, le tour de prestidigitation n'échappe à personne. Politique : Un traité budgétaire qui divise à gauche. L'extrême gauche réclame un référendum, l'aile gauche du PS s'inquiète, les Verts se divisent. • Le Front de gauche veut un référendum Réunis sous la bannière du Front de gauche, le Parti communiste et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon sont à l'unisson sur le traité européen.

Ils réclament un référendum, en raison des «abandons de souveraineté» auxquels aboutirait la mise en œuvre du pacte budgétaire et de la récession dans laquelle il précipiterait l'Europe. «C'est un cadenassage, une camisole de force pour les politiques budgétaires, économiques et donc sociales» affirme le député européen Patrick Le Hyaric. «C'est le traité de Lisbonne en plus plus!!!» • L'aile gauche du PS s'interroge et hésite La sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann ne décolère pas contre le pacte budgétaire. . • Les écolos avancent en ordre dispersé «Ce traité, c'est quoi au juste? » Traité européen: la gauche traîne les pieds. Ayrault accuse Sarkozy de suivre Merkel. Figaro.Fr : Archive. Conjoncture : Règle d'or : le bras de fer politique reprend.

Mon Figaro : La règle d'or est déjà dans la Constitution ! Flash Eco : Règle d'or: référendum nécessaire (Fillon) Figaro.Fr : Archive. Figaro.Fr : Archive. Figaro.Fr : Archive. Politique : François Hollande face au casse-tête de la règle d'or. Politique : La règle d'or sera-t-elle inscrite dans la Constitution ? Politique : Carrez : «La règle d'or doit figurer dans la Constitution» Traité/UE: Hollande a saisi les Sages. Flash Eco : Déficit:aucune ressources écartées. Figaro.Fr : Archive. Figaro.Fr : Archive. Flash Eco : Règle d'or: le PS votera contre. Règle d'or: détermination de Sarkozy. Politique : Règle d'or : Sarkozy fait monter les enchères. Politique : L'UMP pousse Sarkozy à convoquer le Congrès. Politique : Règle d'or : le Congrès entre parenthèses.

Flash Eco : Règle d'or: une décision fin septembre ? R. d'or: Fillon débute ses consultations. Figaro.Fr : Archive. Flash Eco : ''Règle d'or'', un ''piège'' pour le PS (Delors) Sénat: la ''règle d'or'', 1e victime. Figaro.Fr : Archive. Le Figaro - Recherche. Politique : L'Assemblée approuve le traité budgétaire européen. Politique : Traité européen : le Sénat donne son feu vert. Règle d 'or: le parlement trouve un accord. Flash Eco : Régle d'or: un accord Assemblée-Sénat. Flash Eco : Règle d'or budgétaire: l'Assemblée a voté. Flash Eco : Règle d'or définitivement adoptée. Flash Eco : France: les Sages valident la ''règle d'or'' Politique : Règle d'or : le gouvernement cherche une majorité. Conjoncture : Hollande réaffirme l'objectif de 3% de déficit en 2013. Politique : Un cadre strict pour la politique économique.

Conjoncture : Un nouveau gendarme pour les finances publiques. Conjoncture : Le budget 2013 placé sous le signe d'une rigueur historique. Conjoncture : Une «règle d'or» inscrite dans le marbre. Mon Figaro : La grogne de l'aile gauche du PS contre l'intrusion de l'UE. Conjoncture : UE : une révolution moins révolutionnaire qu'il n'y paraît. Conjoncture : L'UE pourra contrôler les prochains budgets nationaux. Zone euro : Les budgets nationaux sous la tutelle de Bruxelles. Les Vingt-Sept en quête d'un équilibre rigueur-croissance.

Hollande n'espère plus réduire le déficit public à 3 % en 2013. Conjoncture : L'Eurogroupe déchiré entre relance et austérité. L'exécutif prépare une nouvelle cure d'austérité pour 2014. 2012-653 DC du 09 août 2012. Économistes Atterrés. Le pacte de stabilité: ce danger qui nous guette. Moscovici contredit sèchement Montebourg et loue le "rôle positif" de la BCE.

Pourquoi la France préfère-t-elle parler de "déficit structurel" ?