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RÉBELLIONS

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Brochure patriotes - Les patriotes. Depuis plusieurs années, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) coordonne l’ensemble des activités commémorant la Journée nationale des patriotes. Cette année, en plus de soutenir des dizaines d’activités qui se tiendront partout au Québec entre le 19 et 23 mai, nous publions une brochure pédagogique de 32 pages de grande qualité sur l’histoire des patriotes.

Conçue selon les standards et la forme des manuels scolaires, cette brochure propose du contenu et des exercices pédagogiques qui permettront aux lecteurs, principalement des élèves de 3e et 4e secondaire, de comprendre en quoi les rébellions de 1837-1838 constituent un moment charnière de l’histoire du Québec. Ainsi, les textes aborderont notamment : La chronologie des évènementsLes forces en présenceLe contexte international dans lequel ils s’inscriventLes enjeux politiques, économiques et sociauxLe rôle joué par les femmesLes différentes interprétations historiques des évènements et de leurs conséquences.

Débats historiques. Images du Bas-Canada (1790-1816) par le peintre George Heriot « Silhouette de George Heriot, vers 1810 Georges Heriot est né à Haddington (Écosse) en 1759. Il a fait ses études à la Royal High School d’Edinbourg (1769-1774). En 1781, il publie A Descriptive Poem Written in the West Indies. Un peu plus tard, il aurait étudié à la Royal Military Academy de Woolwich. En 1792, il est à Québec, toujours à l’emploi du Ordnance Department. Il expose a la Royal Academy of Arts en 1797 certaines de ses oeuvres. George Heriot démissionne en janvier 1816 et retourne quelques mois plus tard en Angleterre. Il est décédé le 22 juillet 1839 à Chelsea, Angleterre. Oeuvres Plusieurs lieux sont représentés dans ses oeuvres: l’Irlande, le Québec, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, la Grande-Bretagne, etc.

Les oeuvres qui suivent proviennent du site du musée McCord. Montréal, 1810 Vue de la baie Saint-Paul depuis le fleuve Saint-Laurent. v. 1807 Canadiens des provinces d’en haut près de Montréal, 1815 Le menuet des Canadiens, 1807 Bibliographie Billets reliés. Les patriotes de 1837: la Rive-Sud à l'avant-garde | Gilles Laporte. La Journée nationale des patriotes a lieu cette année le 19 mai autour du thème « À la grandeur du Québec ».

Loin de se limiter au Richelieu et à St-Eustache, le mouvement patriote avait en effet de profondes racines dans pratiquement toutes les régions du Québec. D'ici la mi-mai, dix-sept articles retraceront l'histoire des patriotes de 1837 dans autant de régions, de l'Outaouais à la Gaspésie. De Longueuil à Sorel, l'autoroute 30 « de l'acier » traverse aujourd'hui une région particulièrement soulevée en 1837 du côté patriote. Les historiens ont depuis cherché à expliquer cette mobilisation étonnante par des causes indirectes, tel le contexte économique ou social. Plus que nulle part ailleurs, c'est là où furent initiées la plupart des doctrines et des organisations patriotes : première région à tenir des assemblées anticoercitives, à déléguer des représentants au comité de Montréal, à entreprendre le boycottage des produits importés, puis à engager les actions armées.

HISTORIQUE - LA MAISON DES PATRIOTES. De la prison de Montréal au centre d’exposition La-Prison-des-Patriotes Construite entre 1831 et 1840, la prison Au-Pied-du-Courant est un des plus anciens bâtiments d’architecture néo-classique conservé à Montréal. Cette prison incarnait à son époque un renouveau de la tradition carcérale suivant l’influence de la philosophie des Lumières. Suite au passage des Patriotes de 1837 et de 1838, il deviendra fréquent d’appeler couramment cet édifice La-Prison-des-Patriotes. Classée monument historique en 1978 en raison de son architecture, de sa tradition carcérale renouvelée et surtout, de son lien privilégié avec l’histoire des Patriotes, l’édifice héberge depuis 2003 un centre d’exposition. La construction et les premiers détenus (1831-1840) Pendant neuf ans, le premier bâtiment est construit dans ce qui deviendra le quartier Sainte-Marie.

Située à l’extérieur de la ville de Montréal, la Prison neuve recevra ses premiers prisonniers bien avant la finalisation du chantier de construction. Rébellions de 1837 et 1838 (C179) | Fonds. 1837-1988. - 5 cm de documents textuels. Histoire administrative - Notice biographique : Parmi les principales causes des Rébellions, qui ont duré de 1837 à 1838 au Bas-Canada, on peut noter les premières immigrations britanniques et irlandaises en 1815. En effet, des tensions surgiront entre les immigrants et les Canadiens. Les Anglais ont des ambitions qui se heurtent à celles des Canadiens qui eux, sont exaspérés et désemparés de voir les Anglais prendre possession des terres agricoles. En 1832, une épidémie de choléra fait près de 10 000 victimes, les récoltes sont médiocres et les divergences politiques qui surgissent aggravent les divergences économiques déjà existantes.

En 1834, 92 résolutions, nées de l'initiative du Parti canadien, sont remises à Denis-Benjamin Viger, délégué permanent à Londres. Portée et contenu : Cette collection porte sur les Rébellions de 1837 et 1838 dans le Haut et le Bas-Canada. Le collection contient un journal du général James Thompson, une lettre d'A. Rébellion du Nord-Ouest. La Rébellion du Nord-Ouest (ou, Résistance du Nord-Ouest) est un soulèvement violent de cinq mois contre le gouvernement canadien, mené surtout par des militants métis et leurs alliés autochtones, dans ce qui est aujourd’hui la Saskatchewan. Bataille de Fish Creek À Fish Creek, le 24 avril 1885, la colonne de quelque 800 hommes menée par le général Middleton rencontre environ 150 Métis et alliés autochtones.

Affligé par ses pertes, Middleton se retire. Dumont bat en retraite dans la direction opposée (avec la permission des Bibliothèque et Archives Canadanada/C-1728). Gabriel Dumont Gabriel Dumont était un homme faisant preuve de grande chevalerie et de savoir-faire sur le plan militaire, superbement à l'aise dans la vie précoloniale des Prairies (avec la permission des Archives du Glenbow Museum). bataille de batoche La prise de Batoche, lithographie du sergent Grundy (avec la permission des Bibliothèque et Archives Canada/C-2424).

Riel, Louis Peuples mécontents Retour de Riel Derniers coups. 1837.